Parceque c'est là qu'elle vient gonfler Seul est sacré le droit des femmes A disposer de leurs bébés Mais s'il fallait qu'un jour je dise Ce que je pense de la vie avant la vie Je dirais qu'il faut pas qu'on la brise Je dirais qu'elle n'a pas de prix Que le gosse qui pousse dans ton ventre C'est un gros morceau de paradis
C J'ai traversĂ© les ponts de CĂ©C'est lĂ  que tout a commencĂ©Une chanson des temps passĂ©sParle d'un chevalier blessĂ©D'une rose sur la chaussĂ©eEt d'un corsage dĂ©lacĂ©Du chĂąteau d'un duc insensĂ©Et des cygnes dans les fossĂ©sDe la prairie oĂč vient danserUne Ă©ternelle fiancĂ©eEt j'ai bu comme un lait glacĂ©Le long lai des gloires faussĂ©esLa Loire emporte mes pensĂ©esAvec les voitures versĂ©esEt les armes dĂ©samorcĂ©esEt les larmes mal effacĂ©esÔ ma France ĂŽ ma dĂ©laissĂ©eJ'ai traversĂ© les ponts de CĂ© — Louis Aragon, Les Yeux d'Elsa Elsa au miroir C'Ă©tait au beau milieu de notre tragĂ©dieEt pendant un long jour assise Ă  son miroirElle peignait ses cheveux d'or Je croyais voirSes patientes mains calmer un incendieC'Ă©tait au beau milieu de notre tragĂ©dieEt pendant un long jour assise Ă  son miroirElle peignait ses cheveux d'or et j'aurais ditC'Ă©tait au beau milieu de notre tragĂ©dieQu'elle jouait un air de harpe sans y croirePendant tout ce long jour assise Ă  son miroirElle peignait ses cheveux d'or et j'aurais ditQu'elle martyrisait Ă  plaisir sa mĂ©moirePendant tout ce long jour assise Ă  son miroirÀ ranimer les fleurs sans fin de l'incendieSans dire ce qu'une autre Ă  sa place aurait ditElle martyrisait Ă  plaisir sa mĂ©moireC'Ă©tait au beau milieu de notre tragĂ©dieLe monde ressemblait Ă  ce miroir mauditLe peigne partageait les feux de cette moireEt ces feux Ă©clairaient des coins de ma mĂ©moireC'Ă©tait un beau milieu de notre tragĂ©dieComme dans la semaine est assis le jeudiEt pendant un long jour assise Ă  sa mĂ©moireElle voyait au loin mourir dans son miroirUn Ă  un les acteurs de notre tragĂ©dieEt qui sont les meilleurs de ce monde mauditEt vous savez leurs noms sans que je les aie ditsEt ce que signifient les flammes des longs soirsEt ses cheveux dorĂ©s quand elle vient s'asseoirEt peigner sans rien dire un reflet d'incendie — Louis Aragon, Les Yeux d\'Elsa Il n'y a pas d'amour heureux Rien n'est jamais acquis Ă  l'homme Ni sa forceNi sa faiblesse ni son coeur Et quand il croitOuvrir ses bras son ombre est celle d'une croixEt quand il croit serrer son bonheur il le broieSa vie est un Ă©trange et douloureux divorceIl n'y a pas d'amour heureuxSa vie Elle ressemble Ă  ces soldats sans armesQu'on avait habillĂ©s pour un autre destinÀ quoi peut leur servir de se lever matinEux qu'on retrouve au soir dĂ©soeuvrĂ©s incertainsDites ces mots Ma vie Et retenez vos larmesIl n'y a pas d'amour heureuxMon bel amour mon cher amour ma dĂ©chirureJe te porte dans moi comme un oiseau blessĂ©Et ceux-lĂ  sans savoir nous regardent passerRĂ©pĂ©tant aprĂšs moi les mots que j'ai tressĂ©sEt qui pour tes grands yeux tout aussitĂŽt moururentIl n'y a pas d'amour heureuxLe temps d'apprendre Ă  vivre il est dĂ©jĂ  trop tardQue pleurent dans la nuit nos coeurs Ă  l'unissonCe qu'il faut de malheur pour la moindre chansonCe qu'il faut de regrets pour payer un frissonCe qu'il faut de sanglots pour un air de guitareIl n'y a pas d'amour heureux — Louis Aragon, La Diane Française J'arrive oĂč je suis Ă©tranger Rien n'est prĂ©caire comme vivreRien comme ĂȘtre n'est passagerC'est un peu fondre pour le givreEt pour le vent ĂȘtre lĂ©gerJ'arrive oĂč je suis Ă©trangerUn jour tu passes la frontiĂšreD'oĂč viens-tu mais oĂč vas-tu doncDemain qu'importe et qu'importe hierLe coeur change avec le chardonTout est sans rime ni pardonPasse ton doigt lĂ  sur ta tempeTouche l'enfance de tes yeuxMieux vaut laisser basses les lampesLa nuit plus longtemps nous va mieuxC'est le grand jour qui se fait vieuxLes arbres sont beaux en automneMais l'enfant qu'est-il devenuJe me regarde et je m'Ă©tonneDe ce voyageur inconnuDe son visage et ses pieds nusPeu a peu tu te fais silenceMais pas assez vite pourtantPour ne sentir ta dissemblanceEt sur le toi-mĂȘme d'antanTomber la poussiĂšre du tempsC'est long vieillir au bout du compteLe sable en fuit entre nos doigtsC'est comme une eau froide qui monteC'est comme une honte qui croĂźtUn cuir Ă  crier qu'on corroieC'est long d'ĂȘtre un homme une choseC'est long de renoncer Ă  toutEt sens-tu les mĂ©tamorphosesQui se font au-dedans de nousLentement plier nos genouxÔ mer amĂšre ĂŽ mer profondeQuelle est l'heure de tes marĂ©esCombien faut-il d'annĂ©es-secondesÀ l'homme pour l'homme abjurerPourquoi pourquoi ces simagrĂ©esRien n'est prĂ©caire comme vivreRien comme ĂȘtre n'est passagerC'est un peu fondre pour le givreEt pour le vent ĂȘtre lĂ©gerJ'arrive oĂč je suis Ă©tranger — Louis Aragon, La Diane Française L'affiche rouge Vous n'avez rĂ©clamĂ© ni gloire ni les larmesNi l'orgue ni la priĂšre aux agonisantsOnze ans dĂ©jĂ  que cela passe vite onze ansVous vous Ă©tiez servis simplement de vos armesLa mort n'Ă©blouit pas les yeux des PartisansVous aviez vos portraits sur les murs de nos villesNoirs de barbe et de nuit hirsutes menaçantsL'affiche qui semblait une tache de sangParce qu'Ă  prononcer vos noms sont difficilesY cherchait un effet de peur sur les passantsNul ne semblait vous voir Français de prĂ©fĂ©renceLes gens allaient sans yeux pour vous le jour durantMais Ă  l'heure du couvre-feu des doigts errantsAvaient Ă©crit sous vos photos MORTS POUR LA FRANCEEt les mornes matins en Ă©taient diffĂ©rentsTout avait la couleur uniforme du givreÀ la fin fĂ©vrier pour vos derniers momentsEt c'est alors que l'un de vous dit calmementBonheur Ă  tous Bonheur Ă  ceux qui vont survivreJe meurs sans haine en moi pour le peuple allemandAdieu la peine et le plaisir Adieu les rosesAdieu la vie adieu la lumiĂšre et le ventMarie-toi sois heureuse et pense Ă  moi souventToi qui vas demeurer dans la beautĂ© des chosesQuand tout sera fini plus tard en ErivanUn grand soleil d'hiver Ă©claire la collineQue la nature est belle et que le coeur me fendLa justice viendra sur nos pas triomphantsMa MĂ©linĂ©e ĂŽ mon amour mon orphelineEt je te dis de vivre et d'avoir un enfantIls Ă©taient vingt et trois quand les fusils fleurirentVingt et trois qui donnaient le coeur avant le tempsVingt et trois Ă©trangers et nos frĂšres pourtantVingt et trois amoureux de vivre Ă  en mourirVingt et trois qui criaient la France en s'abattant — Louis Aragon, Le Roman inachevĂ© L’EtrangĂšre Il existe prĂšs des Ă©clusesUn bas quartier de bohĂ©miensDont la belle jeunesse s'useÀ dĂ©mĂȘler le tien du mienEn bande on s'y rend en voiture,Ordinairement au mois d'aoĂ»t,Ils disent la bonne aventurePour des piments et du vin douxOn passe la nuit claire Ă  boireOn danse en frappant dans ses mains,On n'a pas le temps de le croireIl fait grand jour et c'est revient d'une seule traiteGais, sans un sou, vaguement gris,Avec des fleurs plein les charrettesSon destin dans la paume pris la main d'une Ă©phĂ©mĂšreQui m'a suivi dans ma maisonElle avait des yeux d'outremerElle en montrait la avait la marche lĂ©gĂšreEt de longues jambes de faon,J'aimais dĂ©jĂ  les Ă©trangĂšresQuand j'Ă©tais un petit enfant !Celle-ci parla vite viteDe l'odeur des magnolias,Sa robe tomba tout de suiteQuand ma hĂąte la ce temps-lĂ , j'Ă©tais crĂ©duleUn mot m'Ă©tait promission,Et je prenais les campanulesPour des fleurs de la passionÀ chaque fois tout recommenceToute musique me saisit,Et la plus banale romanceM'est Ă©ternelle poĂ©sieNous avions jouĂ© de notre ĂąmeUn long jour, une courte nuit,Puis au matin "Bonsoir madame"L'amour s'achĂšve avec la pluie. — Louis Aragon, Le Roman inachevĂ© La Rose et le RĂ©sĂ©da Celui qui croyait au cielCelui qui n'y croyait pasTous deux adoraient la bellePrisonniĂšre des soldatsLequel montait Ă  l'Ă©chelleEt lequel guettait en basCelui qui croyait au cielCelui qui n'y croyait pasQu'importe comment s'appelleCette clartĂ© sur leur pasQue l'un fut de la chapelleEt l'autre s'y dĂ©robĂątCelui qui croyait au cielCelui qui n'y croyait pasTous les deux Ă©taient fidĂšlesDes lĂšvres du coeur des brasEt tous les deux disaient qu'elleVive et qui vivra verraCelui qui croyait au cielCelui qui n'y croyait pasQuand les blĂ©s sont sous la grĂȘleFou qui fait le dĂ©licatFou qui songe Ă  ses querellesAu coeur du commun combatCelui qui croyait au cielCelui qui n'y croyait pasDu haut de la citadelleLa sentinelle tiraPar deux fois et l'un chancelleL'autre tombe qui mourraCelui qui croyait au cielCelui qui n'y croyait pasIls sont en prison LequelÀ le plus triste grabatLequel plus que l'autre gĂšleLequel prĂ©fĂšre les ratsCelui qui croyait au cielCelui qui n'y croyait pasUn rebelle est un rebelleDeux sanglots font un seul glasEt quand vient l'aube cruellePassent de vie Ă  trĂ©pasCelui qui croyait au cielCelui qui n'y croyait pasRĂ©pĂ©tant le nom de celleQu'aucun des deux ne trompaEt leur sang rouge ruisselleMĂȘme couleur mĂȘme Ă©clatCelui qui croyait au cielCelui qui n'y croyait pasIl coule il coule il se mĂȘleÀ la terre qu'il aimaPour qu'Ă  la saison nouvelleMĂ»risse un raisin muscatCelui qui croyait au cielCelui qui n'y croyait pasL'un court et l'autre a des ailesDe Bretagne ou du JuraEt framboise ou mirabelleLe grillon rechanteraDites flĂ»te ou violoncelleLe double amour qui brĂ»laL'alouette et l'hirondelleLa rose et le rĂ©sĂ©da — Louis Aragon, La Diane française Les larmes se ressemblent Dans le ciel gris des anges de faĂŻenceDans le ciel gris des sanglots Ă©touffĂ©sIl me souvient de ces jours de MayenceDans le Rhin noir pleuraient des filles-fĂ©esOn trouvait parfois au fond des ruellesUn soldat tuĂ© d'un coup de couteauOn trouvait parfois cette paix cruelleMalgrĂ© le jeune vin blanc des coteauxJ'ai bu l'alcool transparent des cerisesJ'ai bu les serments Ă©changĂ©s tout basQu'ils Ă©taient beaux les palais les Ă©glisesJ'avais vingt ans Je ne comprenais pasQu'est-ce que je savais de la dĂ©faiteQuand ton pays est amour dĂ©fenduQuand il te faut la voix des faux-prophĂštesPour redonner vie Ă  l'espoir perduIl me souvient de chansons qui m'Ă©murentIl me souvient des signes Ă  la craieQu'on dĂ©couvrait au matin sur les mursSans en pouvoir dĂ©chiffrer les secretsQui peut dire oĂč la mĂ©moire commenceQui peut dire oĂč le temps prĂ©sent finitOĂč le passĂ© rejoindra la romanceOĂč le malheur n'est qu'un papier jauniComme l'enfant surprit parmi ses rĂȘvesLes regards bleus des vaincus sont gĂȘnantsLe pas des pelotons Ă  la relĂšveFaisait frĂ©mir le silence rhĂ©nan — Louis Aragon, Les Yeux d'Elsa Les mains d'Elsa Donne-moi tes mains pour l'inquiĂ©tudeDonne-moi tes mains dont j'ai tant rĂȘvĂ©Dont j'ai tant rĂȘvĂ© dans ma solitudeDonne-moi tes mains que je sois sauvĂ©Lorsque je les prends Ă  mon propre piĂšgeDe paume et de peur de hĂąte et d'Ă©moiLorsque je les prends comme une eau de neigeQui fuit de partout dans mes mains Ă  moiSauras-tu jamais ce qui me traverseQui me bouleverse et qui m'envahitSauras-tu jamais ce qui me transperceCe que j'ai trahi quand j'ai tressailliCe que dit ainsi le profond langageCe parler muet de sens animauxSans bouche et sans yeux miroir sans imageCe frĂ©mir d'aimer qui n'a pas de motsSauras-tu jamais ce que les doigts pensentD'une proie entre eux un instant tenueSauras-tu jamais ce que leur silenceUn Ă©clair aura connu d'inconnuDonne-moi tes mains que mon coeur s'y formeS'y taise le monde au moins un momentDonne-moi tes mains que mon Ăąme y dormeQue mon Ăąme y dorme Ă©ternellement 
 — Louis Aragon, Fou d'Elsa Les oiseaux dĂ©guisĂ©s Tous ceux qui parlent des merveillesLeurs fables cachent des sanglotsEt les couleurs de leur oreilleToujours Ă  des plaintes pareillesDonnent leurs larmes pour de l'eauLe peintre assis devant sa toileA-t-il jamais peint ce qu'il voitCe qu'il voit son histoire voileEt ses tĂ©nĂšbres sont Ă©toilesComme chanter change la voixSes secrets partout qu'il exposeCe sont des oiseaux dĂ©guisĂ©sSon regard embellit les chosesEt les gens prennent pour des rosesLa douleur dont il est brisĂ©Ma vie au loin mon Ă©trangĂšreCe que je fus je l'ai quittĂ©Et les teintes d'aimer changĂšrentComme roussit dans les fougĂšresLe songe d'une nuit d'Ă©tĂ©Automne automne long automneComme le cri du vitrierDe rue en rue et je chantonneUn air dont lentement s'Ă©tonneCelui qui ne sait plus prier — Louis Aragon, Les Adieux et autres poĂšmes Nous dormirons ensemble Que ce soit dimanche ou lundiSoir ou matin minuit midiDans l'enfer ou le paradisLes amours aux amours ressemblentC'Ă©tait hier que je t'ai ditNous dormirons ensembleC'Ă©tait hier et c'est demainJe n'ai plus que toi de cheminJ'ai mis mon cƓur entre tes mainsAvec le tien comme il va l'ambleTout ce qu'il a de temps humainNous dormirons ensembleMon amour ce qui fut seraLe ciel est sur nous comme un drapJ'ai refermĂ© sur toi mes brasEt tant je t'aime que j'en trembleAussi longtemps que tu voudrasNous dormirons ensemble — Louis Aragon, Fou d'Elsa Est-ce ainsi que les hommes vivent Tout est affaire de dĂ©cor Changer de lit changer de corps À quoi bon puisque c'est encore Moi qui moi-mĂȘme me trahis Moi qui me traĂźne et m'Ă©parpille Et mon ombre se dĂ©shabille Dans les bras semblables des filles OĂč j'ai cru trouver un pays. Coeur lĂ©ger coeur changeant coeur lourd Le temps de rĂȘver est bien court Que faut-il faire de mes nuits Que faut-il faire de mes jours Je n'avais amour ni demeure Nulle part oĂč je vive ou meure Je passais comme la rumeur Je m'endormais comme le bruit. C'Ă©tait un temps dĂ©raisonnable On avait mis les morts Ă  table On faisait des chĂąteaux de sable On prenait les loups pour des chiens Tout changeait de pĂŽle et d'Ă©paule La piĂšce Ă©tait-elle ou non drĂŽle Moi si j'y tenais mal mon rĂŽle C'Ă©tait de n'y comprendre rien Est-ce ainsi que les hommes vivent Et leurs baisers au loin les suivent Dans le quartier Hohenzollern Entre La Sarre et les casernes Comme les fleurs de la luzerne Fleurissaient les seins de Lola Elle avait un coeur d'hirondelle Sur le canapĂ© du bordel Je venais m'allonger prĂšs d'elle Dans les hoquets du pianola. Le ciel Ă©tait gris de nuages Il y volait des oies sauvages Qui criaient la mort au passage Au-dessus des maisons des quais Je les voyais par la fenĂȘtre Leur chant triste entrait dans mon ĂȘtre Et je croyais y reconnaĂźtre Du Rainer Maria Rilke. Est-ce ainsi que les hommes vivent Et leurs baisers au loin les suivent. Elle Ă©tait brune elle Ă©tait blanche Ses cheveux tombaient sur ses hanches Et la semaine et le dimanche Elle ouvrait Ă  tous ses bras nus Elle avait des yeux de faÏence Elle travaillait avec vaillance Pour un artilleur de Mayence Qui n'en est jamais revenu. Il est d'autres soldats en ville Et la nuit montent les civils Remets du rimmel Ă  tes cils Lola qui t'en iras bientĂŽt Encore un verre de liqueur Ce fut en avril Ă  cinq heures Au petit jour que dans ton coeur Un dragon plongea son couteau Est-ce ainsi que les hommes vivent Et leurs baisers au loin les suivent — Louis Aragon Le Roman inachevĂ© Maisla plus connue comporte bel et bien des paroles qui parlent de sexe. Penchons-nous sur chaque couplet, et Ă©claircissons ENFIN ce curieux mystĂšre : Au clair de la lune, mon ami Pierrot. PrĂȘte-moi ta plume, pour Ă©crire un mot. Ma chandelle est morte, je n’ai plus de feu. Ouvre-moi ta porte, pour l’amour de Dieu.
Coupe de champagne le 11 Ă  minuit dans ma chambre, investie par presque toute la mission. Et dĂ©gustation d'un Heidsieck Co Monopole premier cru Merci tonton c'est trop bon! Puis le repas d'anniversaire le soir gargantuesque avec en prime le gĂąteau que je rĂȘvais de rĂ©aliser de A Ă  Z tout seul La forĂȘt noire. Merci Fab pour tes conseils et ton don de transmettre aussi facilement le savoir faire du pĂątissier! DĂ©gustation de mon cadeau des 30 ans offert par l'Ă©quipe de Roanne Un Delord trente ans d'Ăąge... c'est trop bon!!! vous ĂȘtes fous!. Encore merci Ă  la mission 49 pour ma plaque de mĂ©decin! Merci Ă  tous pour vos messages, vos posts, vos mails. Merci Ă  ma famille pour la bouteille et les cartes postales j'ai tenu! pas ouverte avant!. Et Ă  bientĂŽt!
Magali choriste dans N'oubliez pas les paroles, a malencontreusement dévoilé petit à petit un décolleté plongeant en dansant dans l'émission hier

PubliĂ© le 27/05/2018 Ă  1119, Mis Ă  jour le 27/05/2018 Ă  1212 INTERVIEW - Portant le mĂȘme nom que son pĂšre, le journaliste s’est livrĂ© au Figaro sur la mort de Pierre Bellemare, affaibli depuis plusieurs mois. Le Figaro Vous attendiez-vous Ă  la disparition de votre pĂšre?Pierre Dhostel C’est depuis l’étĂ© dernier que la santĂ© de mon pĂšre a commencĂ© Ă  dĂ©cliner. Chaque Ă©tĂ©, quand je venais le voir dans sa maison du PĂ©rigord, il parlait de ses projets, avait toujours quelque chose sur le feu. Et lĂ , en aoĂ»t dernier, cet appĂ©tit avait disparu. Il y avait une sorte de vide. Le fait que plus personne ne pense Ă  lui pour participer Ă  une Ă©mission de tĂ©lĂ©vision ou de radio le peinait beaucoup. Le dĂ©primait, mĂȘme. Et puis, ces derniers temps, il Ă©tait trĂšs affaibli. Il ne s’alimentait plus. Il est mort de fatigue, paisiblement, sans lire aussiBern, Foucault, Hanouna... Le monde de la tĂ©lĂ©vision pleure Pierre BellemareQuel pĂšre Ă©tait-il?C’était un pĂšre absent, il Ă©tait tellement passionnĂ© par son mĂ©tier. Il intimidait beaucoup mes enfants quand ils Ă©taient petits. Il avait cette autoritĂ© naturelle... C’était le patriarche de la famille. On pouvait toujours compter sur lui. On se retrouvait toujours pour les grandes rĂ©unions de famille, Ă  NoĂ«l et aux vous a transmis votre pĂšre? C’était un passionnĂ©, un conteur d’histoire extraordinaire. Il a fait partie de cette gĂ©nĂ©ration, qui, aprĂšs la guerre, a tout essayĂ© et inventĂ© Ă  la tĂ©lĂ©vision. »Pierre Dhostel Ă  propos de son le goĂ»t pour l’animation. Je baigne dans ce mĂ©tier depuis toujours. TrĂšs tĂŽt, je savais ce que je voulais faire. Aujourd’hui, je suis le seul de la famille Ă  faire une carriĂšre dans le mĂȘme milieu que lui. Je n’aurais jamais Ă©tĂ© lĂ  oĂč je suis sans lui. Mais je ne suis pas sa relĂšve. Je n’ai pas cette passion pour tous ces mĂ©tiers . Il s’est essayĂ© au théùtre et mĂȘme Ă  la chanson. J’ai une vie bien plus vous appelez Pierre Bellemare comme lui. Pourquoi avoir changĂ© de nom?Quand j’ai commencĂ© ce mĂ©tier Ă  19 ans, je travaillais dans la mĂȘme maison que lui Ă  Europe 1. J’étais reporter et ce n’était pas possible de porter le mĂȘme nom. J’ai donc pris le nom de famille de jeune fille de ma grand-mĂšre qu’on retienne de lui?Que c’était un passionnĂ©, un conteur d’histoire extraordinaire. Il a fait partie de cette gĂ©nĂ©ration, qui, aprĂšs la guerre, a tout essayĂ© et inventĂ© Ă  la tĂ©lĂ©vision. Un homme simple, bon et honnĂȘte qui a distrait pendant des dĂ©cennies et des dĂ©cennies. Je crois qu’il restera dans le cƓur des Français. Pierre Dhostel, fils de Pierre Bellemare Que plus personne ne pense Ă  lui pour la tĂ©lĂ©vision le dĂ©primait» S'ABONNERFermerS'abonner

\n\n chanson c est mon anniversaire le jour que je préfÚre
Cest pourquoi on parle plus souvent d'adaptation d'une chanson, que de traduction d'une chanson. Il faut aussi possĂ©der une sens certain de la poĂ©sie. Le plus souvent, les chansons Ă©trangĂšres sont traduites par des gens qui sont eux-mĂȘmes dĂ©jĂ  paroliers ou poĂštes. Bonne nuit. Cordialement. Commenter 0. Signaler; Utilisateur anonyme 26 nov. 2015 Ă  21:37.
Je ne peux m’empĂȘcher de vous dire, Ă  la suite de l’émission de Mireille Dumas, vous ĂȘtes un homme rare. Quel maturitĂ© dans votre vĂ©cu avec une luciditĂ© sensible et profonde. SincĂšrement, j’admire la maniĂšre dont vous vous ĂȘtes exprimĂ© posĂ©, droit mais tendre, et avec juste une pudeur si intelligente que vous avez atteint mon coeur. Je vous lis avec beaucoup de passion dans Panorama. Merci de l’éclairage que vous apportez dans ma foi. J’avoue que je suis vraiment ravie d’avoir ce rendez-vous mensuel, avec vous ! Merci “d’exister sur la terre, sans vous, que serait ce caillou ?” Blandine. Si chacun de vos albums reprĂ©sente un petit morceau de votre histoire, chante pour elle » contient votre amour tout entier. C’est sans doute la plus belle dĂ©claration qu’un homme puisse faire Ă  la femme qu’il aime. Mais c’est encore beaucoup plus que cela
 parce que c’est vous. Beaucoup d’hommes vous demanderont de dĂ©dicacer cet album Ă  la femme qu’ils aiment, et ce sera trĂšs beau. Pourtant, quelque part, je me dis que le dĂ©dicacer Ă  quelqu’un d’autre, ce serait en rompre le charme
 , cet album est avant tout pour NoĂ«lle, rien que “pour elle”, et rien que pour vous deux. Nous faire partager tout cela est dĂ©jĂ  un immense cadeau
 Merci du fond du coeur ! Je vous souhaite Ă  tous deux encore au moins 30 ans de bonheur ! Nelly S. Parfois, les paroles font plus mal que les gestes. Parfois aussi, les mots dÂčune chanson peuvent vous aider Ă  survivre. Merci, de tout mon coeur. Marion B. J’ Ă©tais dans la salle de l’ hĂŽtel de ville de Sarreguemines ce soir et je suis encore rempli de ces palpitations qui se sont dĂ©gagĂ©es tout au long du spectacle. Que d’ Ă©motions vĂ©hiculĂ©es au fil de vos interprĂ©tations , naturellement orchestrĂ©es par cette douce alternance entre votre contribution et celle de tous ces jeunes de CM2. 
 Mais si je vous Ă©cris ce soir , ce n’ est pas pour faire l’ Ă©loge de ces jeunes artistes 
 non c’ est bien pour vous remercier avec les mots du coeur parce que , vous , l’ artiste aux multiples reconnaissances , vous avez su vous faire tout petit en mettant les projecteurs sur ces mini artistes. Je n’ en veux pour preuve que la chanson finale oĂč vous vous ĂȘtes transformĂ©s en simple musicien accompagnant ceux qui Ă©taient venus pour vous. Je vous imaginais ainsi , mais la rĂ©alitĂ© va au delĂ  de l’ imagination. Quelle chance d’ avoir pu vivre ce moment. Nous avons besoin de ces signes de sincĂ©ritĂ© dans un monde toujours en quĂȘte d’ exploits nouveaux.. Merci encore , Ă  vous et votre charmante Ă©quipe, pour ce moment de bonheur partagĂ©. Daniel D. Toujours des textes magnifiques, que le musicien perfectionniste que vous ĂȘtes sait si bien mettre en valeur. 
 Ce que j’aime en vous c’est la recherche du toujours mieux, dans les textes, la musique, la voix, c’est aussi la profondeur que vous donnez aux choses, votre gentillesse. Pourtant il m’a semblĂ© au travers de vos chansons lire beaucoup de souffrances vĂ©cues
. Marie Line R. Je me laisse maintenant un peu de temps pour “entrer” dans chaque chanson et me laisser imprĂ©gner par les textes tout emprunts de tendresse, de profondeur, d’émotions dans lesquelles chacun, chacune qui Ă©coute se sent Ă  certains moments rejoint dans son propre vĂ©cu, dans ses propres expĂ©riences de vie. Je dis merci Ă  Dieu de vous avoir mis sur ma route
et quel bonheur de vous entendre encore aujourd’hui avec mon mari et mes 2 enfants. Dominique R. Le 13 septembre je suis allĂ©e au casino de Bordeaux pour la premiĂšre fois. Et, comme en rĂȘve sans doute toutes les personnes qui viennent dans un endroit de jeu 
..je suis repartie les poches pleines, pleines, pleines. Plus riche qu’avant, ravie d’avoir suivi mon instinct et mes intuitions. Car j’ai bien peu misĂ© au dĂ©part et surtout, je n’ai mĂȘme pas jouĂ©!!! Et pourtant, j’ai vu sauter la banque des douceurs, vu s’alignĂ© sous mes yeux les 3 coeurs, vu valser les liasses de tendresses et regardĂ© tomber des tas de belles paroles. Vite, j’ai ramassĂ© tout cela dans mes trop petits gobelets d’émotions et suis partie chez moi partager ma richesse
.. Le 13 septembre, j’ai compris que des autres on a tout a gagner et que de vous, on a tout Ă  entendre. Et mĂȘme si je n’ai pas eu “les dates d’anniversaires” tant aimĂ©es, cette date en demeurera une 
.pour permettre au prĂ©sent de me sembler plus doux. Merci serait bien peu vous dire, sans doute un au revoir me semble bien mieux rempli de mon respect Ă  ce que vous donnez. Sophie O. Je vous remercie de toute la grĂące de l’amour que vous portez a ceux que vous aimez, et cela a travers vos chansons. Anne L. Il n’est pas facile de s’adresser Ă  un joaillier qui sait ciseler les phrases aussi bien que vous, je me lance
 sans plus attendre. Maman, qui ne vous connaĂźt pas aussi bien que moi, a beaucoup apprĂ©ciĂ© le caractĂšre tendre et intimiste du contact que vous avez su tisser avec le public. Emue jusqu’aux larmes par vos chansons les plus graves qui, hĂ©las, ravivent de douloureux souvenirs, elle a aussi Ă©tĂ© touchĂ©e par votre authenticitĂ©, votre humour et l’incroyable force que vous donne cet amour qui vous inspire vos vers les plus beaux et les plus dĂ©chirants. Quant Ă  moi, pauvre petite mouche piĂ©gĂ©e dans votre toile de velours depuis 15 ans dĂ©jĂ , comment vous dĂ©crire ce que j’ai pu Ă©prouver Ă  vous voir lĂ , Ă  quelques mĂštres de moi ? Il serait trop long de vous expliquer ici pourquoi, si je devais Ă  votre façon rendre hommage Ă  ceux qui m’ont fait vivre, vous figureriez en bonne place dans ma chanson, mais vous pouvez imaginer mon Ă©motion. SubjuguĂ©e, je vous ai Ă©coutĂ© chanter votre histoire, mettre votre coeur Ă  nu, et comme toujours, je vous ai entendu me parler
de moi. Etrange mais persistante impression que celle-lĂ , mais Ă  voir l’émotion des gens autour de moi, Ă  lire les tĂ©moignages sur votre site, j’ai pu constater que je ne suis pas la seule Ă  me retrouver ainsi dans vos chansons. Alors je vous pose la question qui me trotte dans la tĂȘte depuis belle lurette quel magicien ĂȘtes-vous, quel langage universel chantez-vous pour nous conduire de la sorte, invariablement, Ă  la rencontre de nous-mĂȘmes chaque fois que nous plongeons dans votre oeuvre ? Ma professeur de français de 1Ăšre, elle, vous demanderait quel genre de faiseur de miracle vous pouvez ĂȘtre pour rendre une handicapĂ©e de la plume comme moi capable d’écrire de telles phrases!! Ces mystĂšres, la scientifique que je suis devenue craint de ne jamais les rĂ©soudre. Mais l’enfant que je suis restĂ©e s’en rĂ©jouit car ils sont la promesse d’éternelles et dĂ©licieuses escapades hors du temps et du monde Ă  vos cĂŽtĂ©s. Alors, du fond du coeur, merci pour tout ce que vous nous apportez; revenez aussi souvent que vous le voulez dans notre jardin de verre, une place vous y est rĂ©servĂ©e Ă  demeure. Christine G. Un grand merci du fond du coeur pour vos chansons extraordinairement simples et pourtant combien profondes
Je vous envoie ce mot, trĂšs court, simplement pour vous dire que si vous n’étiez pas chanteur ni poĂšte, la langue française serait la mĂȘme, mais nous serions certainement moins nombreux Ă  la savoir si belle et si subtile, porteuse d’émotions, espoirs et mots d’esprit. VoilĂ , et encore une fois, merci. Jesus A. G. Je m’appelle Aline, j’ai presque dix-sept ans et mon enfance a Ă©tĂ© bercĂ©e par certaines de vos chansons. Chimay ce samedi 19 juin fut l’un des plus beaux moments de ma vie. L’émotion est intraduisible et les mots disent trop peu, mais sachez que plus qu’un concert ce fut un hymne Ă  la tendresse qui germa ce soir-lĂ  au plus profond de nous
Durant ces trop courtes heures, j’ai dĂ©couvert l’amer d’un combat, l’or d’un sourire et l’empreinte d’un amour plus fort que tout. Il y avait bien plus d’étoiles au fond de nos yeux que dans ce pĂąle ciel d’étĂ©, et assez de votre chaleur pour embraser la ville
 Au-delĂ  des mots, au-delĂ  de la magie d’un soir, ce fut un empire de tendresse bĂąti Ă  la force de votre voix qui nous emprisonna de la mĂȘme Ă©motion. Vous Ă©tiez, face Ă  la mer de nos sourires, “juste” un homme sincĂšre et pourtant tellement plus. Les combats d’ombre et de souffrance que vous menez toujours avec la mĂȘme foi, la douceur de vos mots quand ils sont caresses, la sincĂ©ritĂ© de ce magnifique dialogue avec Bertrand Picard, ont fait de nous une seule voix prise dans une vague d’enthousiasme. Et vous voir revenir, aussi Ă©mu que nous, prĂȘt Ă  nous remercier alors que nous vous devions tout, fut l’apothĂ©ose d’une soirĂ©e de paix
 Je n’ai pas pu vous remercier de vive voix pour ce concert, et je le regrette infiniment. J’aurais eu Ă  vous dire ce qui ne se dit pas. Le poids qu’ont vos mots dans la balance d’un coeur. L’empreinte gravĂ©e en nous par la beautĂ© d’une plume. Le souvenir que vous alliez laisser en moi, celui d’un homme vrai jusqu’à l’extrĂȘme. L’or des larmes qui ont, autant que votre lumiĂšre, fait briller tant de pauvres regards. Et la force de votre prĂ©sence contre trop de blessures, en gage Ă  l’Amour. Le talent d’un poĂšte quand musique et mots fusionnent Ă  l’unisson. Vous dire, aussi, qu’elle frissonna ensemble, cette foule de l’ombre que vous avez charmé Mais tout cela, parce que les mots sont trop pauvres le temps d’un “aprĂšs”, sans doute n’aurais-je pas su le prononcer. Peut-ĂȘtre auriez-vous seulement lu dans mes yeux quelque chose de plus fort que le misĂ©rable mot qui me vient aux lĂšvres “Merci
” Pour ce “Virage” que j’aime tant, pour cette soirĂ©e de lumiĂšres, et pour ce que j’ai du mal Ă  Ă©crire mais qui vibre en moi
 Et s’il vous vient un jour l’envie d’abandonner ou quelque improbable doute, j’ai l’audace d’espĂ©rer que ces Ă©tincelles de beautĂ© dans nos yeux vous seront une rĂ©ponse convaincante
 Aline D. Vous rĂ©veillez dans le coeur des HOMMES des sentiments que certains ne pensaient plus avoir, vos chansons, textes et musiques sont amour, paix, joie, bonheur, partage. Je ne suis pas croyant dans un dieu quelconque, je crois aux HOMMES, Ă  ceux qui comme vous transmettent des messages. Quel dommage que vous ne soyez pas plus Ă©coutĂ©, quel dommage. Merci Yves, continuez, ce que vous avez fait, ce que vous faites est magnifique, vous n’ĂȘtes pas une star de pacotille, mais vous ĂȘtes un grand. Merci. B. Il est des personnes qui façonnent notre vie autant que nos parents, qui nous Ă©lĂšvent par ce qu’elles disent et transmettent. Pour moi, vous en avez Ă©tĂ© l’une d’elles. VĂ©ronique P. Je suis enseignant, j’ai quatre enfants et j’aurai bientĂŽt 50 ans. Depuis longtemps dĂ©jĂ , avec mon Ă©pouse Catherine, nous suivons votre carriĂšre, pour nous, faite d’ombre et de lumiĂšre. D’ombre, parce que parfois, on vous a perdu de vue, on a oubliĂ© quel poĂšte vous ĂȘtes et quelle qualitĂ© de coeur vous avez et que vous transmettez en restant fidĂšle Ă  vous-mĂȘme. LumiĂšre, parce que quand elle rejaillit, elle apaise en nous certaines douleurs par la force des mots et leur authenticitĂ©. Serge C. Merci pour chaque mot de vos chansons, chaque accord de guitare, certains soirs ils se posaient sur mon cƓur pour qu’il continue Ă  battre
.mĂȘme si un simple merci parait bien petit pour un grand homme comme vous, du fond du cƓur MERCI. Nadine M. J’achĂšve la lecture des Choses qu’on ne dit pas » et je me dis qu’elles sont sacrĂ©ment bien dites, ces choses lĂ  et qu’il est doux que quelqu’un ose les dire, ose aller jusque lĂ  dans la mise en mots du subtil, du tendre et du referme l’ouvrage et il me semble qu’il recĂšle toute la tendresse du monde, tout l’or d’une alchimie de poĂšte, tout ce qu’on a su faire de meilleur avec les blessures, les rencontres, les ne doit plus jamais lĂącher son calepin ni son stylo, oĂč qu’il aille, car l’écriture lui va si bien, et si ses chansons nous enchantent », ses pages nous Ă©clairent
 Fabienne M. Je vous remercie du fond du cƓur pour ces Choses qu’on ne dit pas » si bien habillĂ©es par le silence de la lecture. StĂ©phane C. Yves Duteil m’enchante » pourrais je Ă©crire pour parapher un de vos correspondants des Choses qu’on ne dit pas ».Merci infiniment pour ce livre qui vous ressemble tant par sa gĂ©nĂ©rositĂ©, sa poĂ©sie et par la lumiĂšre qu’il fait naĂźtre au cƓur du lecteur. Je ne doute pas que cet ouvrage plein d’humanitĂ©, de sensibilitĂ© et d’espĂ©rance rencontrera la faveur d’un large public. Jacques C. Je me suis laissĂ© conduire cette nuit dans la lecture de ces lettres, vraiment une idĂ©e forte et originale. Comment peut –on en quelques pages seulement, brosser et ciseler ces portraits pour qu’ils deviennent d’aussi jolis tableaux ?Cet exercice dĂ©licat et fort difficile ressemble pour moi Ă  la crĂ©ation du peintre
 Pascal P. J’ai l’impression d’avoir fait une magnifique croisiĂšre, intemporelle et magique sur l’ocĂ©an de ton cƓur
Ce merveilleux livre, je l’ai d’abord dĂ©vorĂ© en gourmande pour le savourer ensuite de la premiĂšre Ă  la derniĂšre lettre en fin gourmet. Nelly S. A la lecture de ton livre, l’évidence de dire et d’exprimer les choses sur le papier m’est apparue.
L’évidence de dire ses sentiments
Au-delĂ  de la forme, de l’écriture et du papier, j’y dĂ©couvre encore l’émotion humaine qui te caractĂ©rise, la force de dire tout haut ces belles choses qu’elles soient faciles ou difficiles .Merci pour cet espoir que tu nous livres Ă  travers tes chansons ou par tes Ă©crits
tu es un vrai fĂ©dĂ©rateur de sentiments
tu as Ă  mes yeux quelque chose d’un Ange
 JerĂŽme S. Les chansons volent, s’envolent, tourbillonnent pour retomber sur le cƓur de chacun qui en retiendra ses propres rĂ©fĂ©rences. C’est tout l’art du poĂšte que vous ĂȘtes de donner aux autres les mots de leurs Ă©motions, les images de leurs Ă©crits restent. De lire le vĂŽtre, me laisse moi sans mot pour traduire tout et tout
Monique L. M. Vous n’imaginez pas combien de fois j’ai souhaitĂ© vous Ă©crire pour vous remercier, vous remercier pour chaque chanson, vous remercier d’exister, d’exprimer avec tant de dĂ©licatesse, de douceur, tous les sentiments que beaucoup refoulent par une fiertĂ© qui n’apporte rien de bon. A vous Ă©couter, je suis toujours Ă©merveillĂ©e que les hommes tels que vous puissent exister. Vous rĂ©pandez le bonheur autour de vous
.vous ĂȘtes une Ă©toile dans notre ciel
Merci d’éclairer le monde Ă  la lumiĂšre de votre amour, de votre droiture et de votre sensibilitĂ©. Merci
merci
merci. Françoise S. Je n’ai pas lu votre livre Les choses qu’on ne dit pas » je l’ai dĂ©gustĂ© avidement d’abord, puis lentement comme on savoure un bon vin ! Madeleine M. Votre livre Les choses qu’on ne dit pas » m’a touchĂ© au plus profond de mon ĂȘtre, chaque lettre a son poids d’humanitĂ©, de fraĂźcheur, de gentillesse

Je vous serre les deux mains avec affection. Maurice M. Sur l’étagĂšre familiale une K7 audio parmi d’autres avait attirĂ© notre attention et du haut de nos 5 ans, c’est elle que nous avons choisie et chĂ©rie la vĂŽtre. Les airs et les paroles ne nous quittaient jamais, ils accompagnaient nos rĂȘveries et Ă©veillaient notre sensibilitĂ© au monde et Ă  la beautĂ© de La langue de chez nous »  .et toute votre magie ne nous a pas quittĂ© depuis
Pour tout merci ! MarlĂšne et AmĂ©lie J’ose vous Ă©crire cette lettre pour vous transmettre toute mon Ă©motion. C’est un beau livre finesse, de tendresse, de subtilitĂ© et d’amitiĂ©. Et je tenais Ă  vous exprimer mon amitiĂ© et vous fĂ©liciter pour la rĂ©alisation de cet ouvrage
Aussi maintenant en toute simplicitĂ©, je tenais Ă  vous exprimer mon admiration pour votre courage, votre engagement et votre talent. Claude A. J’ai lu de suite plusieurs lettres et je pensais toutes les lire en une seule fois, pourtant mes yeux se sont embuĂ©s alors je me suis arrĂȘtĂ©e un instant
C’est Ă©tonnant comme une personne que l’on ne connaĂźt pas puisse paraĂźtre si proche Ă  travers la sensibilitĂ© qui se dĂ©gage de ses mots, les points communs que l’on se dĂ©couvre, et le plus Ă©tonnant encore, on se laisse aller Ă  des confidences, comme Ă  un ĂȘtre cher, un ami de longue date c’est troublant.
Merci encore pour tout ce que vous ĂȘtes et ce que vous nous apportez. Marie Claude D. Je vous envoie mon amitiĂ© offerte en toute simplicitĂ©, mais de bon cƓur, je vous souhaite tout le bonheur du monde, et surtout merci d’avoir pris le temps de me lire, c’était important pour moi d’écrire Ă  mon ami chanteur de bonheur, merci d’ĂȘtre vous pour nous. Monique A. Je dois vous dire d’abord que ce sont vos paroles qui ont accompagnĂ© mon ĂąmesƓur pour son ultime voyage et il n’est rien de plus juste que j’aurais donnĂ© ma vie pour qu’elle ne meure aimer quelqu’un au point de lui prĂ©fĂ©rĂ© son absence ?La plus belle preuve d’amour est de vivre Ă  jamais avec l’ĂȘtre disparue !
Respectueusement Le Serge de Juliette Oui toutes vos lettres sont belles, pleines d’émotion, de tendresse, de tact, de mots de ce que vous ĂȘtes et de ce que vous nous donnez Ă  travers vos chansons
On ressent chez vous la sincĂ©ritĂ©, l’amour du travail bien fait, cette grandeur d’ñme et quel talent dans la musique et l’écriture
Me permettez vous de vous charger de saluer et de remercier NoĂ«lle pour ce qu’elle sait ĂȘtre Ă  vos cĂŽtĂ©s, et me permettez vous de vous Ă©crire que je vous embrasse ? Merci. Elisabeth G. Sous votre plume, la langue française est belle pour exprimer l’Amour, l’AmitiĂ©, la Tendresse, la Reconnaissance pour ceux qui ont croisĂ© votre chemin

Merci de remettre les choses Ă  leur vraie place dans cette vie oĂč nous perdons parfois pied

Merci Ă  vous, Yves Duteil d’ĂȘtre lĂ , d’exister pour les vĂŽtres et pour nous. Simone M. Je voulais vous dire un grand merci pour ces mots couchĂ©s sur le papier, tous ces chemins que la vie nous fait prendre, ces signes de la Providence, ces rencontres et ces exemples qui donnent couleur et sens Ă  notre reconnaissance. GĂ©rard F. C’est difficile d’aimer tout le monde, mais c’est dĂ©jĂ  un pas vers la paix de ne dĂ©tester personne !
Aussi, en vous renouvelant mon admiration pour vous deux et en gardant le sentiment de vous que l’un ne pourrait pas ĂȘtre ce qu’il est sans l’autre, je vous dis mon affection fraternelle. RenĂ© P. Vos lettres, adressĂ©es aux autres, en disent beaucoup sur vous .Si le moral prend une place importante dans la guĂ©rison, je tenais Ă  vous rĂ©vĂ©ler mon secret Je me soigne par DuteillothĂ©rapie » ; C’est la meilleure mĂ©thode et je constate tous les jours les progrĂšs qu’elle m’apporte
Je vous remercie d’exister. Monique C. Je connaissais votre talent d’écrivain par les textes de vos chansons, il prend une autre dimension dans vos lettres. On entre dans votre univers Ă  pas feutrĂ©s tant les sentiments exprimĂ©s sont forts
. MarilĂšne M. On a l’image de la cĂ©lĂ©britĂ© dans sa tour d’ivoire. La votre est percĂ©e de fenĂȘtres qui donnent sur le monde. Je voulais vous en remercier .VoilĂ  c’est un mot merci de vous. FrĂ©dĂ©ric S. Au fil des pages, ce petit chef d’Ɠuvre a Ă©tĂ© pour moi un vĂ©ritable oasis de bien ĂȘtre et de dĂ©tente. Maintenant que j’en ai fait le tour, le dĂ©tour et le retour de nombreuses fois sur certaines lettres plus Ă©mouvantes, plus chamboulantes et plus Ă©nivrantes que d’autres, il a fallu le mille fois de m’avoir, par votre Ă©criture si pure et si sincĂšre, apportĂ© tant de toute l’humanitĂ© pouvait penser, Ă©voluer et vivre comme vous, le paradis serait ici

Je tenais Ă  vous exprimer toute mon admiration pour votre ouvrage dans lequel vous vous dĂ©voilez Ă©normĂ©ment et dans lequel nous dĂ©couvrons un ĂȘtre vrai et exceptionnel. Marjorie V. Vous m’avez ouvert le cƓur pendant toute la durĂ©e de mon adolescence. GrĂące Ă  vous, ma sensibilitĂ© est plus grande pour aller vers les gens et ressentir le bonheur de l’instant prĂ©sent au fond de d’ĂȘtre vous. François H. Vos chansons Ă©clairent ce qu’il y a de plus obscur en attendre, je serai à
au prochain spectacle pour rĂ©entendre, dans l’allĂ©gresse et l’ Ă©vidence votre lumineux rĂ©cital et pour exprimer ma gratitude. J’en souris dĂ©jĂ . Thierry M. Merci pour la lumiĂšre, la sagesse, la vraie joie et la musique donnĂ©es en partage. Myriam. L’émotion musicale Ă©tait Ă  son comble! C’était un feu d’artifice !
Je souhaite passionnĂ©ment vous revoir bientĂŽt sur scĂšne pour Ă©prouver cette voluptĂ© profonde et pour que le temps s’arrĂȘte
 Thierry M. Je n’ai pas votre talent d’écrivain, mais je veux simplement vous dire combien je me suis dĂ©lectĂ©e de la poĂ©sie de vos phrases et de la profondeur de vos propos. J’avais bien compris qu’à travers vos chansons vous faisiez passer beaucoup d’humanitĂ©, d’émotion, de sincĂ©ritĂ© et de vĂ©ritĂ©s. Je l’ai senti encore plus profondĂ©ment en vous lisant. Continuez Ă  nous enchanter avec vos Ă©crits et vos chansons. Marie Dominique G. Un grand merci pour vos textes ils sont la vie, ils respirent la BontĂ©, la Sagesse, ils vont Ă  l’Essentiel. Continuez Ă  nous aider, Ă  nous faire rĂȘver, Ă  nous guider sur les sentiers de cette vie parfois si difficile
 Chantal. Nous avons attendu d’avoir Ă©coutĂ© Sans attendre » pour vous remercier ”sans attendre” de ce nouvel album que nous avons retrouvĂ© comme un ami fidĂšle, comme un ami familier » puisque le mot s’impose, pourquoi ne pas lui faire sa place ?, comme un vieil ami car en l’écoutant j’ai soudain vingt ans de moins, reconnaissant les inquiĂ©tudes et les interrogations qui me barraient le chemin de la confiance dans le lendemain ; et il fallait tout un travail de rĂ©flexion, d’écoute attentive des textes d’Yves Duteil, pour se convaincre que vivre peut ĂȘtre beau, utile et vrai. Dominique F. Je dĂ©couvre Sans attendre ». Tous les titres me touchent, presque aux larmes, presque parce que je rĂ©siste, et si je ne le dis pas tout de suite, lĂ , maintenant, aprĂšs l’écoute, je n’oserai plus vous le dire . Merci pour l’émotion. Paule H. Quand nous avons lu, puis Ă©coutĂ©, le texte de Pour que tu ne meures pas », les larmes m’ont embrumĂ© les yeux et ma femme a pleurĂ©. Comme il est parfois magique de voir les mots du poĂšte toucher le plus profond des sentiments de ceux qui l’écoutent ! Nos mots ne saurons jamais traduire la peine que nous avons ressentie, mais aussi, paradoxalement, le bonheur de lire un amour aussi beau . Il nous plaĂźt de rĂȘver que les sentiments, la peine et la joie, qui sont nĂ©s Ă  la lecture de vos mots, soient le plus fort soutien qu’il puisse y avoir entre un artiste et ses admirateurs, entre celui qui Ă©crit et ceux qui Ă©coutent Jean B. A quinze ans, tes mĂ©lodies nourrissaient et berçaient mes pensĂ©es, ma sensibilitĂ© d’alors
 Ces mots que j’aurais aimĂ© recevoir de mon papa apparemment trĂšs proche de ton propre papa
 J’ai aujourd’hui 37 ans, maman est arrivĂ©e Ă  la maison ; elle avait pour moi ton dernier disque Sans attendre » Je l’ai reçu comme un magnifique soleil du matin, tout en douceur et en espoir. Un vrai beau et bon moment qui m’a fait tellement chaud au coeur. HĂ©lĂšne T. Je voudrais vous dire combien je suis touchĂ©e et Ă©mue par votre disque Sans attendre » . Tout est dans le choix des mots, la discrĂ©tion, la pudeur. Vous ĂȘtes le seul chanteur que j’écoute sans rien faire, en me laissant imprĂ©gner par les textes et la mĂ©lodie. Ce sont plus que des chansons des poĂšmes. Est-ce pour cela que vous ĂȘtes absent dans les Ă©missions de variĂ©tĂ©s ? Christiane M. Ne pas attendre le lendemain ce que l’on peut dire » le jour mĂȘme. Bravo pour la qualitĂ© de vos chansons, de vos textes qui traverseront j’en suis persuadĂ©, le temps et les Ă©preuves. Bravo pour votre sensibilitĂ© et la qualitĂ© musicale de vos enregistrements. La chanson vous dit ne nous quittez pas », continuez Ă  penser ce que vous ĂȘtes, ce n’est pas le plus facile mais ça aide Ă  vivre mieux . Armand G. Votre nouvel album s’est fait attendre
 Les dĂ©biles rĂ©fractaires de la chanson en auront pour leur argent, vous revenez plus prĂ©sent que jamais, et encore mieux armĂ© contre les Ă©preuves
 Les choses simples sont si difficiles Ă  dire, et je trouve que vous les dites avec tellement de tendresse et de bonheur, que je pense que rares sont les gens qui comme vous, parlent de la vie sans la brusquer, arrangent le monde pour qu’il prenne encore plus de place dans leur coeur, et partagent le bonheur de vivre, Ă  qui veut l’entendre
 Laurent S. Sans attendre », dans la logorrhĂ©e de prĂ©tendues comĂ©dies musicales mĂ©diocres, de Popstars et autres Star AcadĂ©my, vos mĂ©lodies font du bien Ă  l’ñme. J’ai regardĂ© consternĂ© la derniĂšre soirĂ©e des Victoires de la Musique . J’ai Ă©coutĂ© ce marasme de non-Ă©vĂšnements en pensant Ă  vous. Des gens comme vous font briller une lueur d’espoir . Philippe L. On a Ă©coutĂ© plusieurs fois ton Sans attendre »  et on a eu l’impression trĂšs nette d’entrer dans un coin trĂšs intime de ton Ăąme . Le disque est beau, et vrai, et plein d’espoir . C’est surtout ton histoire, tes peurs, tes amours, tes doutes et tes tendresses qui font de Sans attendre » une oeuvre poignante et majeure. Tu sais, on t’aime bien, et on aime tes chansons, et on a envie de te le dire
 Miquel P. Sans attendre » que d’émotions, de moments trĂšs forts, douloureux, certains joyeux. J’ai beaucoup pleurĂ© en Ă©coutant ce disque, parce qu’il parle un peu de mon passĂ© et sĂ»rement de mon futur. Mettre des mots sur sa vie c’est aller plus loin, et c’est aller mieux. Beaucoup d’hommes pensent comme vous mais peu savent le dire. Merci pour ces moments de bonheur . Il fallait que je vous dise combien j’aime vos chansons et cela sans attendre
 Emmanuelle Ce soir, j’ai dĂ©couvert un Grand Monsieur Merci !!! Je sors tout juste du concert de Mauguio et mon Ă©motion est si vive que je ne puis m’empĂȘcher, de vous adresser ces bien modestes mots. Merci de nous donner autant d’espoir, d’amour et de goĂ»t pour la vie. Aucun mot ne semble Ă  mes yeux assez puissant pour vous prouver mon immense gratitude d’ĂȘtre ce que vous ĂȘtes . Mais je vous le dis sans retenue vous ĂȘtes un grand Monsieur, un de ceux qui me rĂ©concilie avec le genre humain, parfois un peu dĂ©cevant , il est vrai et qui me prouve que la VIE reste belle malgrĂ© tout et vaut vraiment la peine d’ĂȘtre vĂ©cue. ! » Merci d’avoir croisĂ© mon chemin. Muriel M. Je savais que nous verserions quelques larmes en vous Ă©coutant, mais que de bonheur ressenti Ă  vouloir croire que la vie c’est ça ! Quel contraste entre le monde et ce que je voudrais montrer Ă  mes enfants . Je suis heureuse de voir qu’à travers vos mots et vos Ă©motions ma fille, ce soir, comprend que l’extĂ©rieur n’est pas la norme, mais l’énorme erreur de notre sociĂ©tĂ©. Mille mercis de provoquer tant d’émotions ! Merci de si bien exprimer et transmettre l’amour ! Merci pour votre douceur, votre tendresse qui, je vous l’assure, fait du bien au coeur. ValĂ©rie P. Je viens de recevoir le dernier album, dans un moment oĂč la vie ne montre pas que ses bons cĂŽtĂ©s, mais malgrĂ© tout il faut continuer Ă  vivre et Ă  aimer. On retrouve tant de sentiments connus ou refoulĂ©s dans les chansons de cet album qu’il faut prendre un peu de recul pour se dire que c’est une personne qui ne nous connaĂźt pas qui a Ă©crit ces textes . Catherine C. Ce dernier disque ne faillit pas Ă  la rĂšgle et l’émotion est entiĂšre. Nous pleurons votre bonheur, nous hurlons vos colĂšres, nous craignons vos angoisses. Nous vivons tant l’Amour qui ressemble au vĂŽtre. Merci Yves d’apporter tant de tendresse Ă  ce monde qui se dĂ©fend d’en partager. Jean-Michel C. Je vous remercie pour votre dernier album que je trouve excellent, particuliĂšrement sensible et Ă©mouvant. Je l’écoute Ă©normĂ©ment et.. pleure beaucoup. Merci de rester vrai, authentique, en dehors des modes pour nous transmettre l’essentiel de la vie. Odile Vous n’ĂȘtes pas mĂ©decin au sens habituel, mais soyez certain que pour vous, ce sont les mots qui vous ont Ă©tĂ© donnĂ©s pour donner soin Ă  ceux qui les entendent. La parole vraie est porteuse de bien des espĂ©rances et la poĂ©sie de beaucoup de joie. Emmanuelle D. Il est des gens dont on peut dire qu’ils font partie de notre famille sans mĂȘme les avoir rencontrĂ©s, sans mĂȘme qu’ils nous connaissent ; Ă  mes yeux, vous ĂȘtes de ces gens-lĂ . Vous mettez sur mes Ă©motions les mots que je ne trouvais pas et que bien souvent j’aurais aimĂ© inventer. J’ai vingt cinq ans, et je ne peux me satisfaire des valeurs que l’on propose aux gens de mon Ăąge et aux plus jeunes. Cependant, Ă  vouloir vivre honnĂȘtement et simplement, on finit vite par passer pour un ringard. GrĂące Ă  vous et Ă  vos chansons, j’aurai pu rester fidĂšle Ă  mes convictions , rassurĂ© de n’ĂȘtre pas forcĂ©ment dans l’erreur, de n’ĂȘtre pas tout Ă  fait seul. StĂ©phane B. J’ai perdu mon pĂšre il y a un peu plus de deux ans et comme toujours, vos textes m’ont littĂ©ralement pĂ©nĂ©trĂ©s la peau. J’y ai trouvĂ© rĂ©ponse, force, courage et repos. J’ai 35 ans, je suis mariĂ© et pĂšre de deux enfants Ă  qui j’aime apprendre les mots justes mais vous avez Ă©crit et chantĂ© des pensĂ©es enfouies au fond de mon coeur que bizarrement je n’arrivais pas Ă  exprimer. Albert D. Il y a des personnes qui passent dans nos vies en y laissant un petit quelque chose qui fait que tout est autrement, plus beau, plus sensible, plus intemporel, comme la grĂące
 Il est bon de leur faire savoir un jour
 C’est aujourd’hui que je viens dire que vous ĂȘtes l’une de ces personnes dans nos vies et je vous en remercie ! Raymonde P. J’ai Ă©tĂ© littĂ©ralement sonnĂ©e » il y a quelques jours lorsque j’ai entendu Ă  la radio Pour que tu ne meures pas » Mon pĂšre 78 ans luttait Ă  l’hĂŽpital contre une attaque cĂ©rĂ©brale. Nous avons eu bien peur pour lui et finalement, nous avons cette grande chance qu’il s’en soit sorti indemne. Mais votre magnifique chanson est Ă  jamais associĂ©e Ă  ces moments difficiles et pleins d’angoisse. Moi , je vous offre la Victoire de la SensibilitĂ©, La Victoire de la FidĂ©litĂ©, et la Victoire de L’Emotion. Marie-AngĂšle Une nouvelle fois je suis tombĂ© sous le charme de votre Ă©criture en Ă©coutant votre dernier disque que je viens d’acheter, et trĂšs souvent je vous envie de savoir si bien marier les mots entre eux. Aucune chanson ne me laisse insensible et me touche comme si elle faisait partie de mon histoire Et bien oui je suis ravie lorsqu’un nouveau disque sort et me rĂ©jouis. Je l’ai dĂ©vorĂ© puis dĂ©gustĂ© et compte bien en profiter encore. A chaque fois j’y trouve une autre dimension, une autre profondeur . J’apprĂ©cie Ă©normĂ©ment que chaque album soit meilleur’ que le prĂ©cĂ©dent. Alors merci, aujourd’hui a Ă©tĂ© une trĂšs bonne journĂ©e, il en sera de mĂȘme demain et ce petit mot terminĂ©, je vais réécouter les chansons
sans attendre Kiki R. Dans Sans attendre » vous semez le meilleur, votre plume trempĂ©e dans l’encre de l’incertitude, c’est beau ! Donnez-nous encore des textes de cette profondeur. Simone R. La vie de ma petite fille se construit autour de vos chansons . Nous vous remercions de les faire si profondes et si riches d’espoir. Dominique G. Chanter, aimer, apprendre, rire, sans attendre
 » que dire de plus simplement que l’album est sublime. C’est l’expression de quelqu’un qui a souffert et qui aprĂšs l’orage ouvre sa fenĂȘtre pour reprendre une bouffĂ©e d’air pur et en mĂȘme temps libĂ©rer son Ăąme et son coeur en partageant ce qu’il a endurĂ©. Parmi les 18 CD Yves Duteil que je possĂšde celui-ci a droit Ă  une place spĂ©ciale, Ă  une enveloppe de velours. Sans attendre » c’est autre chose il faut fermer les yeux et Ă©couter , c’est comme une priĂšre. Evelyne V. Chez vous , sincĂšrement, comme on dit vulgairement il n’y a rien Ă  jeter ! Ce sont 11 vĂ©ritables titres. Plus beaux les uns que les autres. Votre talent nous Ă©clate encore et toujours Ă  la figure, tant pour les textes que pour les mĂ©lodies. Lettre Ă  mon pĂšre » comme l’üle de Toussaint » m’ont bouleversĂ© aux larmes Un beau portrait de famille, pudique, amoureux, Ă©perdu. Merci pour cet album si profond de sens et si Ă©mouvant. Chaque titre illustre Ă  la perfection ce qui est rĂ©ellement essentiel dans nos vies et dont nous devrions nous souvenir bien plus souvent. Elodie M. Tes textes et musiques sont intemporels et dĂ©montrent une trĂšs grande maturitĂ© d’esprit
 et d’amour de tes semblables. FidĂšle Ă  tes convictions, Ă  tes amis, Ă  tes Ă©crits
.. et Ă  ton public. A chaque album, Ă  chaque musique, Ă  chaque chanson, Ă  chaque texte
 je renais, je vis, je ris, je pleure, et je meurs. Richard G. Vous prenez des mots ordinaires, vous les assemblez, et tout Ă  coup, ces mots rient, ces mots pleurent, ces mots chantent, ces mots souffrent, ces mots espĂšrent, ces mots crient, ces mots me touchent , m’émeuvent, ces mots pĂ©nĂštrent au plus profond de moi. J’écoute, je ferme les yeux, ma gorge se noue, mon coeur se serre, des larmes coulent sur mes joues. C est trop grand, trop beau, ça dĂ©borde. Merci pour cette Ă©motion , cet amour qui transparaĂźt tout au long de vos chansons. Merci pour votre regard chaleureux, merci pour votre sourire.. Et vous chĂšre NoĂ«lle, merci d’inspirer Ă  Yves des choses aussi belles, merci de lui apporter force et soutien , merci pour tant d’amour envers lui et les autres, merci enfin, d’ĂȘtre vous. Annick Nous avons pu vous entendre dans une chanson de P. Vassiliu. C’est bizarre que sur les ondes, on ne vous entende plus que dans les chansons des autres ; pas une seule fois, nous n’avons eu l’occasion d’entendre une chanson de sans attendre » Christiane et GĂ©rald L. J’attendais avec impatience l’arrivĂ©e de votre dernier album et je n’ai pas Ă©tĂ© déçue, comme pour tous les autres. J’ai pu y retrouver le style lĂ©ger et fluide, l’écriture qui touche en plein coeur, les harmonies envoĂ»tantes ; quoi de plus simple et de plus surprenant que de se retrouver dans certains de vos textes. ValĂ©rie Dans Sans attendre
 il y a le mot tendre Merci pour ce disque si beau si touchant oĂč j’entends des musiques nouvelles toutes pleines d’envolĂ©es prenantes et comment dire aĂ©riennes. Chef d’oeuvre que cette Ile de Toussaint, langueur de Vivre sans vivre la bossa te convient si bien, l’humour si fin d’Avoir et ĂȘtre et de TombĂ©e des nues !! un bonheur ! .. et partout la tendresse et l’amour qui font si mal Ă  entendre lorsqu’on n’a plus personne a qui dire et j’avance dans la nuit noire, lĂ  oĂč tu poses ton regard ». Le merveilleux cri de Pour que tu ne meures pas Merci encore pour ces moments de bonheur. Mya Depuis bientĂŽt trente ans, Yves Duteil promĂšne guitare et claviers sur les sentiers de l’amitiĂ©, de la spontanĂ©itĂ©. Dans ces ruelles oĂč ne se hasardent que les amoureux du texte, des accords qui sonnent, des mĂ©lodies douce-amĂšres ou gaillardes. Dans ces maisons oĂč les tubes matraquĂ©s par les radios n’entrent pas, dans ces cours d’histoire oĂč l’on prĂ©fĂšre les hĂ©ros aux euros, dans ce pays de cocagne oĂč un refrain de Brassens vaut tous les clips. Et tant pis s’il n’a pas l’heur de plaire aux programmateurs. Duteil garde l’amour des sons, le goĂ»t du risque qu’il avait il y a vingt ans, lorsqu’il s’aventurait sur Le petit pont de bois », quand La langue de chez nous » soignait les blessures de la francophonie, d’Abidjan Ă  Trois-RiviĂšres. C’est le mĂȘme chardon, irrĂ©ductible, qui pousse entre les cordes de sa guitare, l’incite Ă  marier les sons et les nuages, Ă  glisser un souvenir, Ă  risquer une Ă©motion, quoi qu’en pensent les pachydermes des hit-parades. Dans ce CD, parmi beaucoup de rĂ©ussites, une Lettre Ă  mon pĂšre ». Un au-revoir Ă  celui qui meurt, sans pardessus rĂąpĂ© ». La douleur de n’avoir pas eu le temps de tout dire. Orphelin Ă  50 ans. Avec cette pudeur, toutes ces ecchymoses de la vie qu’il avait dĂ©jĂ  osĂ© avouer naguĂšre dans une chanson dĂ©diĂ©e Ă  un arriĂšre-grand-oncle nommĂ© Alfred Dreyfus. Une cohorte d’images qui vous font souvenir qu’il reste quelques Ăąmes pures Ă  dĂ©couvrir
 Sans attendre. Jean-Daniel B. Cher Yves, Merci pour ce beau disque T’as pas perdu la main » !!! Bravo encore Musicales amitiĂ©s Francis Cabrel Monsieur, un petit mot pour vous dire Ă  quel point votre disque “Sans attendre” m’a touchĂ©e et me touche encore. En novembre 2001 nous apprenions que mon mari souffrait d’un cancer du pancrĂ©as. Les chances de guĂ©rison Ă©taient Ă  peu prĂšs nulles. Au printemps 2002 une amie m’a parlĂ© de votre disque en me disant , c’est pour vous ce disque lĂ . Michel et moi l’avons souvent Ă©coutĂ© ensemble et mĂȘme s’il disait toujours qu’il s’en sortirait et qu’il ne pouvait pas mourir, vos textes nous ont permis de communiquer d’une autre façon. Michel est dĂ©cĂ©dĂ© le 25 juillet par une magnifique journĂ©e d’étĂ© et dans les derniĂšres heures, ce sont vos textes qu’il a Ă©coutĂ©s. Grand amoureux de la langue française, il a enseignĂ© le français avant de devenir directeur d’école et je suis moi-mĂȘme enseignante. C’est sans doute vrai que ce disque Ă©tait pour nous et je tenais Ă  vous en remercier et Ă  vous dire qu’il nous a fait grand bien et que je continue Ă  l’écouter avec beaucoup de plaisir et parfois quelques larmes. Michel avait eu 52 ans le 29 juin, et nous avions fĂȘtĂ© nos 29 ans de mariage le 30, les 8 mois de sa maladie ont Ă©tĂ© extraordinaires et d’une richesse insoupçonnĂ©e. Nous avons 3 enfants et il ne connaĂźtra jamais le bonheur d’ĂȘtre grand-pĂšre mais en grand pĂ©dagogue qu’il Ă©tait il nous laisse de grandes leçons de courage et de dĂ©termination ainsi qu’un important hĂ©ritage de valeurs familiales et sociales. Je dois maintenant apprendre Ă  vivre sans lui, ce qui est trĂšs ardu bien sĂ»r mais il ne voudrait surtout pas que j’arrĂȘte de vivre et j’ai bien l’intention de profiter de tous les bons moments qui viendront comme j’ai profitĂ© de tous ceux qui ont Ă©tĂ©. J’ai appris au cours des derniers mois qu’il fallait tout faire et tout dire pour rendre l’autre heureux et ce “sans attendre”
 Merci pour votre disque, merci de me lire et continuez Ă  bien profiter de la vie avec votre NoĂ«lle, mais ça vous le savez dĂ©jĂ , car la vie est si fragile
 Lorraine Cher Yves Duteil, Bravo d’abord pour votre carriĂšre, vos chansons, la prĂ©sence de votre voix chaleureuse. Bravo aussi pour votre site. C’est par l’intermĂ©diaire du site du Gouvernement du QuĂ©bec que je le dĂ©couvre. Je m’étais en effet adressĂ© Ă  eux pour savoir si l’on pouvait visionner le superbe clip qui passe en ce moment Ă  la tĂ©lĂ©vision au Canada. Je voulais en effet l’envoyer Ă  tous mes correspondants en France, pour qui ce dĂ©bat est assez Ă©sotĂ©rique. Plusieurs ici ont dĂ©criĂ© le choix de cette chanson cf. Avec mon Ă©pouse, nous nous sommes portĂ©s Ă  sa dĂ©fense en Ă©crivant une lettre aux mĂ©dias, qui a Ă©tĂ© publiĂ©e dans le quotidien Le devoir ainsi que dans les hebdomadaires Voir » et Ici ». Je vous l’envoie ci-aprĂšs. Avec mes meilleurs sentiments, et en espĂ©rant vous revoir Ă  MontrĂ©al “Regardez-vous le nombril, Messieurs les pseudo-intellos qui vous en prenez au choix de La langue de chez nous, la magnifique chanson d’Yves Duteil, magistralement mise en images, pour cĂ©lĂ©brer le 25e anniversaire de l’adoption de la loi 101. Les rĂ©flexes de colonisĂ©, c’est vous, en l’occurrence qui les avez! Vous chialez parce qu’on a pris un chanteur français? Est-ce que les Français se sont lamentĂ©s lorsqu’on a fait appel Ă  Jessie Norman, une AmĂ©ricaine, pour chanter La Marseillaise en 1989, lors du 200e anniversaire de la RĂ©volution? Est-ce que les AmĂ©ricains se sont plaints lorsque notre CĂ©line nationale a Ă©tĂ© choisie pour inaugurer les Jeux olympiques Ă  Atlanta? Pantoute! C’est que la France comme les États-Unis ne sont pas prĂ©cisĂ©ment des pays affectĂ©s par le complexe du colonisĂ©. Alors, cela ne les dĂ©range pas d’aller chercher ce qu’il y a de mieux ailleurs. Et, ne vous en dĂ©plaise, c’était la chanson d’Yves Duteil qui Ă©tait la meilleure, la plus pertinente et la plus Ă©mouvante. Cette chanson nous ressemble et nous rassemble. Elle fait monter les larmes aux yeux Ă  tous ceux qui ont vĂ©cu la prĂ©caritĂ© du français ici avant l’implantation de la loi 101 mais, on le sait, les pauvres intellos ne sont pas des ĂȘtres capables d’assumer leurs Ă©motions. On vous regarde trĂ©pigner, et on constate que vous avez la maturitĂ© d’un gamin de sept ans. Avec des Ă©lites semblables, nous ne sommes pas prĂȘts de grandir comme peuple et d’accĂ©der un jour Ă  la souverainetĂ©â€. Christian F. et AndrĂ©e G. Que dire que l’on ne vous ai dĂ©jĂ  dit sur votre nouvel album ? Qu’il est beau, qu’il m’a fait pleurer en dĂ©couvrant les textes, car je prĂ©fĂšre lire ces poĂšmes et m’impregner de leur richesse avant de les Ă©couter
 Et puis je l’ai fait dĂ©couvrir Ă  ma mĂšre avec la mĂȘme rĂ©action. Enfin pour mon plus grand bonheur, j’ai chantĂ© ces douceurs Ă  mon petit bĂ©bĂ© d’un mois qui a Ă©coutĂ© trĂšs attentivement. Depuis le temps que j’attendais cette joie-la, ma “LĂ©onore” tant desirĂ©e, j’ai eu le plaisir de la voir sourire Ă  vos chansons Il n’y a pas d’ñge pour vous apprecier ! Alors travaillez encore et pour notre plus grande joie, faites-nous “sans attendre” un nouvel album ! A trĂšs bientĂŽt sur scĂšne. Beaucoup de bonheur pour vous inspirer. Aline et sa petite Philippine. Le jour de mes quinze ans j’ai reçu un album dans lequel une chanson disait “petite fille qui rit dans ma maison
” aujourd’hui j’en ai trente six et j’écoute toujours vos chansons. Vous seul, savez traduire nos sentiments en paroles et musique et dans chacune de vos chansons on sent que c’est avec le cƓur que vous les Ă©crivez et c’est avec notre coeur que nous les Ă©coutons et les chantons tout au long de nos vies. L”ordinateur me permet aujourd’hui de vous dire merci de tous ces bons moments que vous nous apportez. Pour le premiĂšre fois je vais avoir l’occasion de vous voir sur scĂšne le 25 Mars 2003 et se sera pour moi un grand moment car vous ĂȘtes un vĂ©ritable poĂšte, vos textes sont un rĂ©gal et votre musique un d’accompagner ma vie dans ses bons et ses mauvais moments. Merci d’ĂȘtre ce que vous ĂȘtes. Bien amicalement Dominique. “Incroyable” diraient tous ceux qui me connaissent. Moi, d’habitude si bavarde et pourtant
 Des les premiers instants ou j’ai dĂ©couvert vos textes, j’ai Ă©tĂ© plus que touchĂ©e. Émue, me laissant porter et emporter dans tout ce “merveilleux du quotidien” qu’on remarque si peu. Dans cette façon de parler des choses simples avec tant de grandeur. Un jour, alors que je me baladais avec les 2 enfants de ma soeur et que je chantait Ă  “tout coeur” vos chansons par dessus le son des haut-parleurs, Ă  chaque nouvelle chanson, je devais leur faire un petit rĂ©sumé . Arrive “Pour les enfants du monde entier”. J’explique alors briĂšvement ce que signifie cette chanson et je lĂšve le volume afin qu’ils l’écoutent quand aprĂšs quelques minutes je vois mon petit neveu d’à peine 4 ans qui pleure Ă  chaudes larmes!!! J’ai voulu arrĂšter la musique ou passer Ă  la chanson suivante mais il n’en n’était pas question. Il Ă©tait touchĂ©, c’est vrai, mais il ne voulait pas en rater un seul petit bout! Ma niĂšce ma dĂ©jĂ  racontĂ© qu’à l’école lorsqu’entre copines elles se questionnaient Ă  savoir quel est ton chanteur ou ta chanteuse prĂ©fĂ©rĂ©e, invariablement, elle rĂ©pondait “Yves Duteil” suscitant ainsi des regards interrogateurs de ses copines qui n’avaient jamais entendues ce nom lĂ , envahie sans doute par toutes les “mĂ©ga-vedette-full-vidĂ©o” 
..et de plus nous habitons au QuĂ©bec alors Ă  la question qui venait invariablement “CĂ© qui ça?”, ma niĂšce rĂ©pondait alors “C’est un Français” et la discussion Ă©tait donc instantanĂ©ment close, vous relĂ©guant probablement dans la tĂȘtes de toutes ces petites filles, dans le coin des Brel, Aznavour, et autres chanteurs connus seulement de leurs mamans! Je viens d’acheter “Sans attendre” et j’ai pleurĂ© rien qu’en lisant les textes alors imaginez comment c’est dĂ©roulĂ© mon premier Ă©coute. Je me suis fait pensĂ© Ă  mon petit neveu, il y a quelques annĂ©es!!!
et, comme lui, j’ai continuer jusqu’à la fin
.et encore, et encore. C’est une langue si belle! Merci d’avoir ainsi magnifiĂ© ma vie! Nicole Mapuce va avoir 5 ans au mois de juin et je pensais lui faire un goĂ»ter d'anniversaire chez Mc Donald's avec ses amies. L'avez-vous dĂ©jĂ  fait et si oui quel est votre avis ? "Putain, il m'a retrouvĂ©e." Quand, dĂ©but septembre, Claire reçoit un SMS avec une photo provenant d'un numĂ©ro inconnu, elle panique. "J'ai eu des bouffĂ©es de chaleur, je transpirais." C'est un banal texto mais, l'espace de quelques secondes, Claire en est persuadĂ©e le cauchemar va recommencer. Un cauchemar vieux de trois ans, qui lui a abĂźmĂ© la santĂ©, a dĂ©truit son rapport aux autres et l'a conduite devant la justice. C'Ă©tait un aprĂšs-midi d'aoĂ»t 2011. Claire, 24 ans, fonctionnaire Ă  Paris, reçoit un mail anonyme. Avec la photo d'une paire de fesses les suite aprĂšs la publicitĂ© Le message est assorti d'une formule Ă©nigmatique "Si tu veux pas que ça se diffuse." Le lendemain, de nouvelles photos, avec cette menace "Quitte-le, c'est le seul moyen pour Ă©viter que les photos vidĂ©os circulent." Claire ne le sait pas encore, mais le mĂ©canisme du "revenge porn" est enclenchĂ©. La menace a Ă©tĂ© mise Ă  exĂ©cution Ce phĂ©nomĂšne, nĂ© aux Etats-Unis dans les annĂ©es 2000, consiste Ă  diffuser sur internet, par vengeance, des images de son ex nu, voire des clichĂ©s pornographiques. Les affaires commencent Ă  se multiplier en France lire l'encadrĂ© ci-dessous. Mais il n'est pas facile de trouver des victimes qui acceptent de tĂ©moigner. La plupart n'osent mĂȘme pas aller jusqu'au procĂšs. Si Claire s'exprime aujourd'hui, c'est pour Ă©viter que d'autres tombent dans le mĂȘme piĂšge. A partir de ce moment-lĂ , ma vie a basculĂ©. Tous les matins, avant d'aller au boulot, je vĂ©rifiais qu'il n'y avait rien de nouveau sur les sites pornos. Et le porno Ă  7 heures, franchement, c'est dur. J'ai vĂ©cu deux ans avec ça, deux ans durant lesquels n'importe qui, en tapant mon nom, pouvait me voir nue sur jours aprĂšs les premiers messages, un mail anonyme l'avertit que la menace de diffuser les images a Ă©tĂ© mise Ă  exĂ©cution. "Il y a des photos de toi nue sur internet, il paraĂźt qu'il faut t'Ă©crire pour que tu en republies." Un mois plus tard, elle dĂ©couvre dans sa boĂźte aux lettres une enveloppe contenant des captures d'Ă©cran de sites pornos. Des inconnues, mais aussi des photos d'elle, seins nus, dans sa baignoire, ou Ă  quatre pattes sur son lit
La suite aprĂšs la publicitĂ© Claire prend peur et, cette fois, fonce au commissariat pour porter plainte. L'accueil est plutĂŽt froid On ne me l'a pas dit clairement, mais on m'a fait comprendre que je ne l'avais peut-ĂȘtre pas volĂ© en posant pour ces clichĂ©s - il y en a une vingtaine -, datent de sa relation avec Victor. Elle vient de le quitter, au bout de six ans, pour JĂ©rĂ©my, un de ses collĂšgues. Claire avait stockĂ© les photos sur son ordinateur. Elle se rend alors compte qu'elles ont disparu. "Tape ton nom sur YouTube" Les mails se multiplient - elle en recevra une centaine en un an, jusqu'Ă  quatre par jour. "Tape ton nom sur YouTube", lui ordonne un jour son correspondant anonyme. Claire dĂ©couvre une vidĂ©o d'elle en plein strip-tease, oĂč sont indiquĂ©s son nom, son prĂ©nom et son adresse mail professionnelle. Elle s'effondre La suite aprĂšs la publicitĂ© Il Ă©tait 7h30, je me prĂ©parais pour aller au travail, j'ai pleurĂ© pendant une heure. J'ai vite rĂ©alisĂ© qu'une vidĂ©o postĂ©e sur un site porno Ă©tait reprise sur des tonnes d'autres. C'est quand mĂȘme hallucinant, je me suis retrouvĂ©e sur des sites au Pakistan, au Liban
 Le pire, c'est que je suis la seule personne en France Ă  porter ce nom."Claire et son avocate demandent aux sites de retirer photos et vidĂ©os. "Sur les plateformes grand public, comme Dailymotion, c'est trĂšs efficace. Mais sur les sites pornos, c'est nettement plus compliquĂ©." La jeune femme vit trĂšs mal cette exposition forcĂ©e. J'ai pris 20 kilos en un peu moins d'un an. Je restais chez moi et je mangeais. Je dormais mal, je me suis bloquĂ© le dos ou la nuque plusieurs fois, j'avais des crises d'angoisse."Son mĂ©decin traitant lui prescrit des antidĂ©presseurs, des anxiolytiques, Ă©tablit plusieurs arrĂȘts de travail. "J'avais dĂ©jĂ  entamĂ© une psychothĂ©rapie, j'ai fait de l'hypnose." Surtout, Claire est soutenue par son entourage. "J'en ai parlĂ© Ă  mes parents dĂšs le premier mail. Ça n'a pas Ă©tĂ© facile, mais j'ai prĂ©fĂ©rĂ© avoir honte que porter ce poids toute seule." MystĂ©rieux corbeau Quand le mystĂ©rieux corbeau lui envoie des photos d'elle endormie, tout s'Ă©claire. Le coupable ne peut ĂȘtre que JĂ©rĂ©my. Les photos Ă©taient dĂ©tourĂ©es, le dĂ©cor Ă©tait effacĂ© autour de moi, mais il y avait un halo rouge sur ma peau. J'ai reconnu la couleur de ses relation, qui aura durĂ© Ă  peine trois mois, s'Ă©tait rapidement rĂ©vĂ©lĂ©e toxique. Quand elle a dĂ©butĂ©, JĂ©rĂ©my vivait dĂ©jĂ  en couple, mais lui assurait ne plus avoir de relations avec sa compagne. Ou plutĂŽt ne jamais en avoir eu. "Il racontait qu'ils avaient Ă©tĂ© violĂ©s tous les deux. Il avait l'air gĂȘnĂ© par la sexualitĂ©, il ne supportait pas les films pornos." Il s'Ă©tait prĂ©sentĂ© comme une victime pour mieux la manipuler. Il demande Claire en mariage, alors qu'il vient d'acheter une maison avec sa conjointe. Il m'avait mĂȘme achetĂ© une bague, et le pire c'est que j'ai dit oui ! C'Ă©tait une pĂ©riode oĂč j'Ă©tais fragile, j'avais envie de croire Ă  notre histoire."JĂ©rĂ©my se montre dĂ©pressif, jaloux - notamment de Victor. "Je le sentais nĂ©faste, j'ai progressivement pris mes distances." C'est Ă  ce moment-lĂ  que le jeune homme dĂ©robe les photos sur son ordinateur. Et qu'elle reçoit le premier mail suite aprĂšs la publicitĂ© AprĂšs la sĂ©paration, JĂ©rĂ©my se montre compatissant et suit chaque Ă©pisode du harcĂšlement dont Claire est victime. Il jouait un double jeu. Il m'a bernĂ©e comme une petite collĂ©gienne. Au moment des premiers mails, j'ai fait une recherche d'adresse IP qui menait Ă  l'endroit oĂč il avait passĂ© un week-end. Toutes les preuves Ă©taient lĂ , mais je ne voyais rien. J'ai mis six mois Ă  comprendre."Elle menace alors son persĂ©cuteur "Je sais que c'est toi, et je vais te balancer Ă  la hiĂ©rarchie." Il nie, mais quelques photos sont retirĂ©es des sites. Claire dĂ©pose une deuxiĂšme plainte, cette fois en accusant nommĂ©ment JĂ©rĂ©my. "Il m'espionnait" En janvier 2012, celui-ci finit par passer aux aveux. "J'Ă©tais soulagĂ©e, je pensais que tout allait s'arrĂȘter", se souvient Claire. Las ! Le harcĂšlement continue. "Des vidĂ©os Ă©taient republiĂ©es sur internet, j'ai cru que ça n'en finirait jamais. Je tapais tous les jours mon nom dans Google pour voir ce qui apparaissait." DĂ©sormais, lorsqu'elle rencontre de nouvelles personnes, elle ne donne plus que son prĂ©nom. De peur que ses interlocuteurs ne tombent sur les photos
 Le harcĂšlement dure depuis un an quand Claire reçoit un mail Ă©voquant la couleur de sa chambre, qu'elle vient de repeindre. "J'ai compris qu'il m'espionnait." La jeune femme dĂ©cide d'affronter JĂ©rĂ©my en chair et en os. "Il Ă©tait trĂšs arrogant, avec son petit sourire en coin, il prĂ©tendait que je n'avais rien contre lui, qu'il avait Ă©tĂ© contraint d'avouer." Le rendez-vous produit quand mĂȘme son effet elle n'aura plus jamais de ses nouvelles. "Il a dĂ» trouver d'autres victimes."La suite aprĂšs la publicitĂ© En novembre 2013, JĂ©rĂ©my a Ă©tĂ© convoquĂ© devant la justice pour une audience de Comparution sur reconnaissance prĂ©alable de culpabilitĂ© CRPC, ou "plaider-coupable". Il s'y est prĂ©sentĂ© sans avocat, puis a renoncĂ© Ă  bĂ©nĂ©ficier de cette procĂ©dure. La date de son procĂšs en correctionnelle n'est pas encore fixĂ©e, mais celui-ci n'aura pas lieu avant plusieurs mois. [RecontactĂ©e par "L'Obs" en dĂ©cembre 2015, Claire indique "le jugement a fini par ĂȘtre rendu en septembre. Il a Ă©tĂ© condamnĂ© Ă  8 mois de prison dont six avec sursis et Ă  euros de dommages et intĂ©rĂȘts mais il a fait appel", NDLR]. Claire soupire Ça a Ă©tĂ© un nouveau gros choc, alors que je commençais Ă  aller mieux. J'espĂ©rais que ce serait enfin fini. Je veux qu'il paie, pas financiĂšrement, mais qu'il ait un casier. Qu'il comprenne qu'on ne peut pas faire ça impunĂ©ment."De cette histoire douloureuse, la jeune femme a conservĂ© une grande dĂ©fiance dans ses rapports aux autres. "Je pars du principe que tout est faux, je ne crois plus personne." Elle se mĂ©fie aussi de la technologie. Je stocke tout sur clĂ© USB, rien sur mon ordinateur. Et Facebook, c'est fini."Des photos d'elle sont encore visibles sur certains sites. J'ai beau envoyer des dizaines de mails de rĂ©clamation, ça ne change rien. Sur Google, quand on tape mon nom associĂ© Ă  'sexe', on tombe encore dessus. Elles ne disparaĂźtront jamais, sauf si JĂ©rĂ©my les retire."Elle continue de se "googliser" une fois par mois, pour vĂ©rifier. "Ce dont j'avais honte, c'Ă©tait d'ĂȘtre exposĂ©e Ă  la vue de tous, pas d'avoir fait les photos." Pour autant, elle hĂ©sitera avant de poser Ă  nouveau pour ce genre de clichĂ©s. "Ou alors sans montrer mon visage
"La suite aprĂšs la publicitĂ© *Les prĂ©noms ont Ă©tĂ© modifiĂ©s Anne-Sophie Hojlo et Amandine SchmittIllustrations FrĂ©dĂ©ric RĂ©bĂ©na/Costume 3 PiĂšces “Cindy la suceuse” sur FacebookCindy et Julien se sont connus sur internet. Ils se rencontrent deux ou trois fois. Pour pimenter cette relation de quelques jours, la jeune femme lui envoie des photos d'elle, prises avec un prĂ©cĂ©dent petit ami. Elle y apparaĂźt nue, dans des positions explicites. Quelques semaines plus tard, Cindy reçoit une invitation Facebook illustrĂ©e par une photo d'elle. IntriguĂ©e, elle l'accepte. Et dĂ©couvre un profil au nom de "Cindy la suceuse", oĂč elle reconnaĂźt ses clichĂ©s. Le mĂȘme jour, ces photos, imprimĂ©es, sont distribuĂ©es dans toutes les boĂźtes aux lettres de son immeuble, accompagnĂ©es du mĂȘme sobriquet. Elle accuse rapidement Julien. Lui nie tout, affirme qu'il Ă©tait Ă  l'Ă©tranger le jour de la fameuse distribution. Les magistrats ne le croient pas il est condamnĂ© en premiĂšre instance puis en appel Ă  quatre mois de prison avec sursis et euros de dommages et intĂ©rĂȘts. Surtout, sa condamnation est inscrite Ă  son casier judiciaire. Agent de la RATP, Julien a perdu son H. Le cadre juridique Contrairement Ă  l'Australie, IsraĂ«l et certains Etats amĂ©ricains, en France, aucune loi spĂ©cifique n'encadre le "revenge porn". L’article 226-1 du Code pĂ©nal punit d’un an d’emprisonnement et de euros d’amende le fait de "porter atteinte volontairement Ă  l’intimitĂ© de la vie privĂ©e d’autrui, en fixant, enregistrant ou transmettant sans le consentement de celle-ci l’image d’une personne se trouvant dans un lieu privĂ©." Mais le texte est diversement appliquĂ© par les magistrats et certains avocats l'estiment inadaptĂ©. Les hommes aussi SpĂ©cialisĂ© dans le "revenge porn", le site hĂ©berge des photos et vidĂ©os de nus ou pornographiques. En effectuant une recherche par zone gĂ©ographique, on trouve les fiches de nombreuses personnes en France, nom et prĂ©nom inclus. Celles-ci l'ignorent sans doute
 Sur le site porno Xhamster, Jules, 22 ans, a dĂ©couvert une vidĂ©o de lui en pleine fellation, intitulĂ©e "salope qui suce". Elle avait Ă©tĂ© postĂ©e par son ex-petit ami, et vue par personnes ! Jesouhaite m’abonner aux mises Ă  jour Ă©lectroniques M&M'sÂź concernant les offres spĂ©ciales et les nouveaux produits. S’abonner . Vous possĂ©dez dĂ©jĂ  un compte ? Se connecter ! ROUGE. JAUNE. ORANGE. VERTE. BROWN. BLEU « Je sais d’instinct que je peux faire confiance Ă  mon instinct » « Moi, ce que je prĂ©fĂšre, c’est tout! » « Le fait que rien ne vous inquiĂšte VIDÉOS - Elle vient de publier un joli livre, Moi je joue, consacrĂ© Ă  sa carriĂšre d'interprĂšte. Elle y commente de son Ă©criture ronde les titres composĂ©s pour elle par Sacha Distel, Nino Ferrer, Gilbert BĂ©caud et bien sĂ»r Serge Gainsbourg. SĂ©lection de nos chansons chĂ©ries de BB.Figurez-vous que je trouve que je chante bien!» Le franc-parler de Brigitte Bardot est aussi rafraĂźchissant que dĂ©sarmant. C'est avec ces mots que BB introduit Moi je joueFlammarion, un nouveau joli livre illustrĂ© sur sa carriĂšre de chanteuse. RĂ©digĂ© avec Dominique Choulant et François Bagnaud, il est une sorte d'album en musique qui revient sur l'histoire des chansons composĂ©es sur mesure pour elle» par des auteurs aussi prestigieux que Gilbert BĂ©caud, Nino Ferrer, Guy BĂ©art ... et bien sĂ»r Serge Gainsbourg dont elle devint le temps d'une folle passion, la muse.» LIRE AUSSI - Brigitte Bardot Gainsbourg me sĂ©duisait plus que ses chansons»» LIRE AUSSI - Brigitte Bardot 83 ans, des films inoubliables et... une statue Ă  Saint-TropezLa torride Juliette de Et Dieu... crĂ©a la femme ne s'est jamais considĂ©rĂ©e comme une chanteuse professionnelle. Dans la prĂ©face, Ă©crite il y a quelques semaines Ă  la Madrague, sa rĂ©sidence, elle confesse ... C'Ă©tait ma rĂ©crĂ©ation. Souvent le soir, et mĂȘme la nuit, aprĂšs une dure journĂ©e de tournage, j'allais au studio d'enregistrement comme si j'allais passer une soirĂ©e chez des amis», je joue est une vraie Madeleine de Proust. BB agrĂ©mente chacun de ses souvenirs d'un commentaire manuscrit, Ă©crit de sa jolie Ă©criture ronde et fleuri. Elle parle des poĂštes qu'elle a chĂ©ris et eu la chance de cĂŽtoyer. Brassens est le premier d'entre eux. L'homme de SĂšte avait caressĂ© l'idĂ©e de lui Ă©crire une chanson. Le livre publie un Ă©loge datĂ© de juillet 1999 J'aime Brassens, il est unique, irremplaçable. Il est entrĂ© dans l'immortalitĂ© par la grĂące de son authenticitĂ©.»Au fil des pages, BB Ă©grĂšne les troubadours de sa vie. On croise dans son panthĂ©on , les Gipsy Kings, Johnny Hallyday, Sylvie Vartan, Eddie Barclay, Juliette Greco, Sacha Distel... un cĂ©nacle que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaĂźtre. Toutes ces cigales chantaient, insouciantes, le soleil, le champagne et la sangria». Brigitte aprĂšs Édith Piaf ne regrette rien sauf peut-ĂȘtre de n'avoir pas chantĂ© du Nino Ferrer. De l'homme du Sud et du TĂ©lĂ©fon, elle dit Quel magnifique poĂšte, si romantique, bourrĂ© de talents. Il m'a Ă©crit une chanson sur mesure libellule et papillon trĂšs coquine que j'ai enregistrĂ©e dans la joie et qui, hĂ©las, n'est jamais sortie. Quel dommage!»Et puis, il y a eu cette histoire, aujourd'hui lĂ©gendaire, Ă  la Je t'aime... moins non plus». Tout un chapitre est dĂ©diĂ© Ă  ses aventures chantĂ©es et amoureuses avec Serge Gainsbourg. BB le surnomma trĂšs vite Gaingain». Le poĂšte maudit chavire il a trouvĂ© la muse la plus sexy du monde. Il lui Ă©crit des petits chefs-d'Ɠuvre. Il l'imagine amazone en diable sur une Harley Davidson, une sulfateuse en bandouliĂšre en Bonny Parker. La sirĂšne de Saint-Tropez sait ce qu'elle doit Ă  son Pygmalion. Un seigneur, une intelligence, un talent, un ĂȘtre unique, un gĂ©nie, une sensibilitĂ© Ă  fleur de peau, une meurtrissure latente, cachĂ©s par une timiditĂ© impertinente et sens de l'humour grinçant». Ainsi dĂ©crit-elle le grand dire, que faire aprĂšs un tel hommage? Peut-ĂȘtre Écoutez ce florilĂšge des chansons de Bardot composĂ© par la rĂ©daction du Figaro. On y retrouvera, bien sĂ»r, Moi je joue, La Madrague, Harley Davidson,Tu veux ou tu veux pas... et un cadeau bonus, sa chanson prĂ©fĂ©rĂ©e, Toutes les bĂȘtes sont Ă  aimer signĂ©e Jean-Max À la recherche d'idĂ©es cadeaux? DĂ©couvrez le site Matchesfashion et profitez de la livraison et des retours gratuis avec un code promo● Je me donne Ă  qui me plaĂźt 1963Fini RomĂ©o et Juliette. Cinq ans avant mai 68, vingt ans avant La Femme libĂ©rĂ©e de Cookie Dingler, Brigitte Bardot jette les fondements de la libĂ©ration sexuelle de la femme.● La Madrague 1963Coquillages et crustacĂ©s... Le cabanon de Saint-Tropez deviendra l'un des lieux les plus cĂ©lĂšbres du monde. Brigitte ne quittera jamais le charmant petit port de pĂȘche de la MĂ©diterranĂ©e.● Moi je joue 1964Sans tricher, je vous le promets, j'ai gagnĂ©, tant pis c'est bien fait...»Tous les hommes ont un jour rĂȘver d'aimer la Bardot. Elle jouait et elle gagnait. Casanova avait changĂ© de sexe.●Bubble Gum1965Aimer toujours le mĂȘme homme, c'est des histoires Ă  la gomme...» DĂšs 1965, Serge Gainsbourg compose des chansons taillĂ©es sur mesure pour celle que la France et le monde entier considĂšrent comme une bombe sexuelle.● Je t'aime...moi non plus 1967Gainsbourg l'a Ă©crite en pensant Ă  Bardot. Cette chanson coĂŻncida avec la rupture entre les deux monstres sacrĂ©s. On retiendra un paradoxe de ce poĂšme Ă©rotique L'amour physique est sans issue...»● Harley-Davidson 1967S'il ne doit rester qu'une chanson de Brigitte Bardot, ce sera celle-lĂ . Les paroles trĂ©pidantes de Gainsbourg sont fantasmatiques. Elles vrombissent dans la bouche de l'actrice. Et c'est vrai, elle n'avait plus besoin de personne en Harley-Davidson.● Bonnie and Clyde 1968Gainsbourg et Bardot s'identifient au couple maudit de truands, Bonnie Parker et Clyde Barrow. Une histoire d'amour qui finit mal en gĂ©nĂ©ral...● Ah! Les Petites Femmes de Paris 1965TirĂ© d'une scĂšne du film de louis Malle Viva Maria, Ah! Les Petites Femmes de Paris, interprĂ©tĂ©e par le duo Jeanne Moreau-Brigitte Bardot est le symbole du charme des Françaises. À croire qu'elles ont inspirĂ© Kiraz et de ses Parisiennes.● Tu veux ou tu veux pas 1970Le petit chef-d'Ɠuvre jazzy de Marcel Zanini dĂ©clinĂ© au fĂ©minin. Elle veut un jour, elle ne veut plus le lendemain, c'Ă©tait comme ci, c'Ă©tait comme ça, c'Ă©tait BB.● Ay que viva la sangria 1968Un rythme qui vous emmĂšne dans les fĂ©rias du sud de la France. Une fille se lĂšve et se met Ă  danser..», BB crĂ©e ici une chanson Ă  danser avec joie et frĂ©nĂ©sie.● Toutes les bĂȘtes sont Ă  aimer 1982 Jaime J'aime Pas Liste. Genres Pop, Pop Contemporaine Label Magali DurĂ©e totale 2:58 Morceaux 1 Droits d’auteur Magali Ripoll Format MP3. Magali Ripoll J'aime Pas Ta Chanson lyrics & video : Je descends l'avenue Gambetta Ma maquette sous le bras Et je suis fiÚre, fiÚre, de faire écouter ça. Clip de la chanson "J'aime pas ta
AccueilCultureMusique En partenariat avec Qobuz, plateforme musicale haute qualitĂ© RĂ©servĂ© aux abonnĂ©s PubliĂ© le 27/02/2020 Ă  1734, Mis Ă  jour le 28/02/2020 Ă  1410 Jean-Louis Murat se rĂ©vĂšle fan de Earth Wind & Fire et de Kool & the Gang. MONTEILS Michel/Michel MONTEILS / saif images Le chanteur signe son album le plus inspirĂ© depuis plusieurs annĂ©es. Une dĂ©claration d’amour au genre musical qu’il affectionne. Baby Love est le dix-neuviĂšme album studio de chansons originales signĂ© Jean-Louis Murat. C’est aussi le meilleur disque produit par l’auteur-compositeur-interprĂšte depuis de longues annĂ©es. Le plus fluide, le plus mĂ©lodieux et le plus accessible de cet artiste prolifique et inspirĂ©. J’étais tellement en galĂšre qu’il fallait que je me raccroche Ă  des choses simples», explique-t-il avec pudeur. J’ai fait strictement ce que je voulais. Avant, j’avais toujours l’impression de me retenir» ajoute l’homme, qui semble ragaillardi par cet lire aussiJean-Louis Murat, le changement dans la continuitĂ©Baby Love a Ă©tĂ© conçu Ă  quatre mains avec son collaborateur historique Denis Clavaizolle. Je lui ai donnĂ© ces indications de dĂ©part nous sommes en 1985, il faut qu’on fasse une cassette pour accrocher un directeur artistique et enregistrer un album. Retrouvons cet Ă©tat d’esprit.» Baby Love serait donc une maniĂšre de retour aux sources pour un artiste qui cĂ©lĂ©brera l’annĂ©e prochaine le quarantiĂšme anniversaire de son premier 45 tours, Suicidez-vous
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JeprĂ©fĂšre vous avertir, les clips vidĂ©o de ces chansons françaises sont douloureux Ă  regarder pour vos yeux. Ces chansons sont jouĂ©es pour les mariages, les anniversaires, les cĂ©lĂ©brations dans un village ou une ville. La plupart des Français apprĂ©cieraient ces chansons surtout quand ils sont saouls. Ce n’est pas mon cas, probablement parce que j’ai Ă©coutĂ© ces

Avec nos oreilles encore absorbant la gĂ©nialitĂ© qui est Ascension des veilleurs nouvel album sorti Traductions – Apocrypha Remixed, chanteur Burton C Bell s’est arrĂȘtĂ© pour partager avec nous ses sorties heavy prĂ©fĂ©rĂ©es de tout le temps Burton C Bell Pour moi, la musique heavy englobe plus qu’une intensitĂ© sonore brutale, enracinĂ©e avec des BPM Ă©clairs, superposĂ©e Ă  des voix peu perceptives. J’ai toujours Ă©tĂ© attirĂ© par les sons plus mĂ©lancoliques et funĂšbres qui aident Ă  exprimer ma personnalitĂ©. Des albums qui racontent une histoire de bout en bout. OĂč chaque chanson fait partie intĂ©grante de l’enregistrement. Ces sons peuvent ĂȘtre entendus dans mes contributions Ă  la musique tout au long de ma carriĂšre. Bien sĂ»r, il y a quelques albums qui entrent dans la catĂ©gorie prĂ©cĂ©dente qui diffĂšrent grandement de l’habituel. J’ai une liste condensĂ©e d’albums de toute ma collection qui vous donnera un petit aperçu de la musique heavy qui m’attire. Je ne suis autorisĂ© que 5 1 Black Sabbath – Sabotage 1975 Vraiment, un album sous-estimĂ© des maĂźtres du mĂ©tal. Du dĂ©but Ă  la fin, cet album est impeccable. Expert en composition, lyrisme, arrangement et production. Cet album est l’histoire de l’époque oĂč il a Ă©tĂ© Ă©crit. Ma panne musicale prĂ©fĂ©rĂ©e est sur cet album. Symptom Of The Universe’ est une chanson qui me fait voyager. Le riff Ă©touffant et le Ward-driven le rythme qui introduit la chanson me fait pomper le sang. Puis Ozzy arrive avec sa voix douloureusement montante pour m’envoyer par-dessus. La panne aprĂšs l’avance d’Iommi Ă  412 change le cours du voyage. Un temps bas simple et blues, avec une ligne de basse Butler-funky, semble crĂ©er une nouvelle chanson, mais il y a de la cohĂ©sion. C’est la dĂ©claration intensĂ©ment passionnĂ©e d’Ozzy, Tu es mon enfant de la crĂ©ation de l’Amour
 », j’ai des frissons rien qu’en y pensant
. MÉTAL. 2 Sex Pistols – Never Mind The Bollocks
 Voici les Sex Pistols 1977 Ce n’était pas le premier groupe punk, mais c’était certainement le premier que j’ai entendu qui me parlait vraiment. Le punk Ă©tait une dĂ©claration de rĂ©bellion contre les normes de la sociĂ©tĂ©, de la mode et des croyances. Les groupes punk avaient une Ă©nergie folle, parĂ©s Ă  la mode qui Ă©tait l’antithĂšse des groupes pop des annĂ©es 60 et 70. FabriquĂ© par 2 pionniers ; Malcom McLaren et Vivienne Westwood, les Pistolets sexuels sont devenus des icĂŽnes instantanĂ©es. Pas seulement de la musique sauvage et rebelle, mais aussi des dĂ©clarations vĂ©hĂ©mentes et vicieuses sur les dĂ©gradations de la sociĂ©tĂ©, habillĂ©es des couches de dĂ©tritus tombĂ©s au bord du chemin. La livraison caustique de John Lydon pour sa vision du monde dĂ©goĂ»tĂ©e a non seulement influencĂ© mon processus de pensĂ©e et mon style d’écriture, mais aussi toute une gĂ©nĂ©ration. 3 TĂȘte de David – Dustbowl 1988 À la fin des annĂ©es 80, le mĂ©tal n’était pas sur mon radar. Mon oreille Ă©tait Ă  l’écoute d’actes lourds et discordants comme CYGNES, et Grand noir. GrĂące Ă  ce dernier et aux travaux d’ingĂ©nierie de Steve Albini, j’ai Ă©tĂ© initiĂ© Ă  TĂȘte de David. Un groupe de Birmingham, Royaume-Uni. Ces gars ont cochĂ© toutes les cases de mes intĂ©rĂȘts dans un album puissant. Les chansons sont agressives. Les rythmes sont simples, tribaux et entraĂźnants. Les guitares sont discordantes, texturĂ©es et fortes. Les voix sont simplement des chants obsĂ©dants, mais pas joli. J’aime cet album jusqu’au bout. C’est un mouvement complet de pouvoir. J’ai ensuite prĂ©sentĂ© cet album Ă  mes camarades de groupe dans Usine de la peur. Nous avons finalement rĂ©interprĂ©tĂ© Dog Day Sunrise’. Je prĂ©fĂšre toujours l’original. AprĂšs un an d’immersion dans cet album, un de mes amis m’a orientĂ© vers le nouveau groupe du batteur ; chair divine. 4 Champs des Nephilim – Les Nephilim 1984 Ce groupe est devenu mon groupe prĂ©fĂ©rĂ© Ă  l’apogĂ©e du gothique/industriel des annĂ©es 80, quand des groupes comme Bauhaus, Le traitement, Les SƓurs de la MisĂ©ricorde, La mission, Courant 93 et Mort en juin Ă©taient sur mes tours stĂ©rĂ©o quotidiens. Quand j’ai entendu pour la premiĂšre fois Champs des Nephilim album, Rasoir de l’aube, j’étais accro. Ce groupe a incorporĂ© un personnage dystopique occidental tout en incorporant les concepts mystiques derriĂšre les Dead Sea Scrolls » et The Watchers ». J’ai adorĂ© les solos de guitare spaghetti western », ainsi que les rythmes Ă©nergiques. Les vidĂ©os cinĂ©matographiques Ă©taient Ă©galement hypnotiques. Mais plus encore, c’est la voix de Carl McCoy qui m’a vraiment captivĂ©. Sa voix Ă©tait une expression gutturale et obsĂ©dante de perte et d’amour. Bien que le son vocal monotone et profond soit populaire parmi quelques groupes gothiques, celui de Carl est devenu mon prĂ©fĂ©rĂ©. Quand l’album Les NĂ©philim est sorti, mon esprit s’est enracinĂ© dans les concepts qui sous-tendent cet album. Les chansons sont lourdes, mais pas rapides. La plupart des chansons s’accumulent Ă  partir d’un simple rythme, dans une gamme claquante d’intensitĂ© sonore. Il y a une chanson rapide sur cet album, Phobia’, qui sonne comme si cela aurait pu ĂȘtre un TĂȘte de moteur chanson. Ma chanson prĂ©fĂ©rĂ©e est Last Exit For the Lost’. Cette chanson est le voyage que j’ai toujours voulu faire, et elle a surtout influencĂ© mon style d’écriture pour Ascension des veilleurs. J’ai dit une fois Ă  Carl McCoy que Champs des Nephilim EST la plus grande inspiration pour Ascension des Veilleurs; musicalement, lyriquement et conceptuellement. 5 Godflesh – Godflesh 1988 J’ai achetĂ© cet album Ă  sa sortie. J’ai le vinyle d’origine sur Espadon, avant Mal d’oreille a pris le relais. Cet album a changĂ© ma perspective de ce que pouvait ĂȘtre la musique heavy ». En 89, je venais de dĂ©mĂ©nager Ă  travers le pays. J’étais seul, un Ă©tranger dans un pays Ă©tranger. Je n’étais pas dĂ©primĂ©, mais j’étais dans un endroit sombre. Je voulais Ă©couter cet album quand je ne pouvais pas ĂȘtre distrait par mes colocataires, alors qu’ils n’étaient pas Ă  la maison, parce que je savais qu’ils le dĂ©testeraient. Une nuit Ă  Hollywood, j’ai laissĂ© tomber de l’acide, baissĂ© les lumiĂšres et mis le disque sur la platine. Avalanche Master Song » a commencĂ© avec un marteau-piqueur-aimer boĂźte Ă  rythme. Puis la guitare et la basse sont tombĂ©es
 J’étais enveloppĂ© Ă  l’intĂ©rieur de l’Avalanche, incapable de prendre l’air. Le pouvoir de ce chant funĂšbre m’a pris le dessus, et je n’ai jamais regardĂ© en arriĂšre depuis. Chaque chanson me parlait. La prestation vocale de Justin Ă©tait l’expression de la douleur et de la dĂ©ception que je voulais exprimer. La basse de Ben Ă©tait la contrepartie infĂ©rieure qui soutenait mon dĂ©dain pour le monde. Cet album n’est pas seulement chair divine, mais DIEU. Obtenez votre copie de Traductions – Apocrypha Remixed ici. Envie de plus de mĂ©tal ? Abonnez-vous Ă  notre newsletter quotidienne Entrez votre e-mail ci-dessous pour obtenir une mise Ă  jour quotidienne avec tous nos titres.
Jem'appelle Marie, j'ai 17 ans. J'ai mis du temps Ă  apprĂ©cier mon prĂ©nom parce que je le trouvais trop simple et courant, voire vieillot, mais maintenant je trouve que c'est le plus beau, surtout parce que c'est celui de Notre Dame ! Vive les Marie ! Vive notre sainte patronne ! Mon surnom est souvent Mimi ou Mix (je prĂ©fĂšre le deuxiĂšme Mariage IdĂ©es Mariage Avant le mariage Planification du mariage 13 idĂ©es pour refuser une invitation Ă  un mariage de maniĂšre amusante Vous avez Ă©tĂ© invitĂ© Ă  un mariage mais vous aviez dĂ©jĂ  quelque chose d’important de prĂ©vu de mĂȘme jour ? Vous ne tenez pas du tout Ă  assister Ă  un mariage et vous ne savez pas comment annoncer que vous ne viendrez pas ? Cet article est pour vous. À partir d’un certain Ăąge, il est courant de voir se multiplier les mariages dans notre entourage, Ă  notre plus grand plaisir
 ou pas ! Que l’institution du mariage ne signifie rien pour vous ou que cela vous rappelle vos Ă©checs amoureux, que la prĂ©sence Ă  un mariage de quelqu’un que vous connaissez Ă  peine ne vous rĂ©jouisse pas ou que financiĂšrement vous ayez du mal Ă  assumer les dĂ©penses y Ă©tant liĂ©es, nombreuses peuvent ĂȘtre les raisons de ne pas vouloir assister Ă  un mariage. Car non, vous n’ĂȘtes pas obligĂ©s Ă  y assister d’office parce qu’on vous y a invitĂ©, surtout si vous n’allez pas en profitez et que votre mauvaise humeur notoire risque de plomber l’ambiance ! Alors, comment le dire aux principaux intĂ©ressĂ©s sans qu’ils ne le prennent mal ? Notre conseil informez-les Ă  l’avance, et soyez sincĂšres autant que possible. Avec une petite touche d’humour, c’est encore mieux ! Voici des exemples d’excuses pour rĂ©pondre nĂ©gativement Ă  un faire-part de mariage Les finances il m’est inconcevable de venir si je ne peux pas vous offrir un cadeau Ă  la hauteur de cet Ă©vĂšnement. Le travail j’ai des impĂ©ratifs professionnels que je ne peux pas annuler. La famille j’ai un engagement familiar le mĂȘme jour et je ne peux pas manquer. Un engagement autre ça fait des annĂ©es que j’attends le [date du mariage] pour assister au concert de mon groupe prĂ©fĂ©rĂ©. La santĂ© ma grand-mĂšre se fait opĂ©rer... de la prostate ! La situation amoureuse si je viens je vais boire comme un trou pour oublier le fait que je suis cĂ©libataire et je vais finir par pleurer sur les genoux de vos mamans, alors je crois qu’il vaut mieux que je m’abstienne. La situation personnelle votre mariage tombe Ă  une pĂ©riode bizarre de ma vie et je n’ai pas le cƓur Ă  y aller. Les principes Le mariage, c'est faire face Ă  deux aux difficultĂ©s qu'on n'aurait jamais eu si on Ă©tait restĂ© seul »  dĂ©solĂ© mais je ne participerai pas ! Les prĂ©paratifs ma copine n’a pas commencĂ© Ă  se prĂ©parer et en deux mois elle ne va pas avoir le temps. Excuse geek le dernier mariage que j’ai vu a Ă©tĂ© celui de Game of Thrown, et sincĂšrement, je n’ai pas vraiment envie d’assister Ă  un autre. Excuse bidon 1 Mon chien a mangĂ© mon costume. Je pourrais en racheter un mais je suis sĂ»r que le jour de votre mariage il aura de nouveau faim
 Excuse bidon 2 Je prĂ©fĂšre ne pas faire le ridicule parce que je ne sais mĂȘme pas danser la Macarena. Il y a de grandes chances que, si vous expliquiez sincĂšrement les raisons pour lesquelles vous ne pouvez ou ne souhaitez pas venir Ă  un mariage, les mariĂ©s vous en soient reconnaissants. Et si vous pensez qu’ils ne le comprendront pas et vous en voudront, vous pouvez toujours trouver une excuse plus ou moins crĂ©dible. De toute maniĂšre, il vaut mieux prĂ©venir que ne pas confirmer votre prĂ©sence et les laisser dans le doute. Et vous, avez-vous dĂ©jĂ  dĂ©clinĂ© une invitation Ă  un mariage et pour quelle raison ? Comment l’avez-vous annoncĂ© aux mariĂ©s et comment l’ont-ils pris ? Autres articles qui peuvent vous intĂ©resser
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