Histoire * OgĂ©e (1780) : PlĂ©lan-le-Grand; gros bourg, sur la route de Rennes Ă  PloĂ«rmel; Ă  15 lieues au S. de Saint-Malo, son Ă©vĂȘchĂ© et Ă  7 lieues de Rennes.Cette paroisse a titre de chĂątellenie, avec une haute-justice, qui ressortit au prĂ©sidial de Rennes. Il s'y exerce, en outre, deux autres hautes-justices et deux moyennes, et il s`y tient un marchĂ© le samedi.
liens LE TRISKELL LE GWEN HA DU CLOCHERS & CALVAIRES Bonjour, VoilĂ  qui est fait, grĂące Ă  Sandrine qui a eu la gentillesse de m'envoyer trĂšs rapidement la traduction de l'hymne breton. Je vous le remets, si vous dĂ©sirez l'Ă©couter dans sa version originale."Nous Bretons de coeur, nous aimons notre vrai pays ! L'arvor est renommĂ©e Ă  travers le monde. Sans peur au coeur de la guerre, nos ancĂȘtres si bons VersĂšrent leur sang pour elle. O Bretagne, mon pays, que j'aime mon pays Tant que la mer sera comme un mur autour d'elle. Sois libre, mon pays ! Bretagne, terre des vieux Saints, terre des Bardes, Il n'est d'autre pays au monde que j'aime autant ; Chaque montagne, chaque vallĂ©e est chĂšre dans mon coeur. En eux dorment plus d'un Breton hĂ©roĂŻque ! Les Bretons sont des gens durs et forts ; Aucun peuple sous les cieux n'est aussi ardent ; Complainte triste ou chant plaisant s'Ă©closent en eux Oh ! Combien tu es belle, ma patrie ! Si autrefois Bretagne, tu as flĂ©chi durant les guerres, Ta langue est restĂ©e vivante Ă  jamais, Son coeur ardent tressaille encore pour elle. Tu es rĂ©villĂ©e maintenant ma Bretagne ! " Bonne journĂ©e Ă  bientĂŽt, annaĂŻg lapaimpolaise DĂ©finition commune de la Bretagne historique, en Bro-Sant-Malo, pays-Ă©vĂȘchĂ© de Saint-Malo.. Aujourd'hui dans la rĂ©gion Ă©conomique non historique dite 'de Bretagne', dĂ©partement du Morbihan; arrondissement de Vannes; canton de Malestroit.. Superficie : 3772 ha. Population : 2000 'communiants' vers 1780; 1818 hab. en 1891; 1259 hab. en 1968; 1087 hab. en 1982; Paroles en Breton Brittany National Anthem - Bro gozh ma zadoĂč Traduction en Français Brittany National Anthem - Bro gozh ma zadoĂč Ni, Breizhiz a galon, karomp hon gwir Vro! Nous Bretons de cƓur, nous aimons notre vrai pays ! Brudet eo an Arvor dre ar bed tro-do. L'Arvor est renommĂ©e Ă  travers le monde. Dispont kreiz ar brezel, hon tadoĂč ken mad, Sans peur au cƓur de la guerre, nos ancĂȘtres si bons A skuilhas eviti o gwad. VersĂšrent leur sang pour elle. O Breizh, ma Bro, me 'gar ma Bro. Ô Bretagne, mon pays, que j'aime mon pays Tra ma vo mor 'vel mur 'n he zro. Tant que la mer sera comme un mur autour d'elle. Ra vezo digabestr ma Bro ! Sois libre, mon pays ! Breizh, douar ar Sent kozh, douar ar Varzhed, Bretagne, terre des vieux Saints, terre des Bardes, N'eus bro all a garan kement 'barzh ar bed, Il n'est d'autre pays au monde que j'aime autant ; Pep menez, pep traonienn, d'am c'halon zo kaer, Chaque montagne, chaque vallĂ©e est chĂšre dans mon cƓur. Enne kousk meur a Vreizhad taer ! En eux dorment plus d'un Breton hĂ©roĂŻque ! O Breizh, ma Bro, me 'gar ma Bro. Ô Bretagne, mon pays, que j'aime mon pays Tra ma vo mor 'vel mur 'n he zro. Tant que la mer sera comme un mur autour d'elle. Ra vezo digabestr ma Bro ! Sois libre, mon pays ! Ar Vretoned 'zo tud kalet ha kreñv; Les Bretons sont des gens durs et forts ; N'eus pobl ken kaloneg a zindan an neñv, Aucun peuple sous les cieux n'est aussi ardent ; Gwerz trist, son dudius a ziwan eno, Complainte triste ou chant plaisant s'Ă©closent en eux. O! pegen kaer ec'h out, ma Bro! Oh ! Combien tu es belle, ma patrie ! O Breizh, ma Bro, me 'gar ma Bro. Ô Bretagne, mon pays, que j'aime mon pays Tra ma vo mor 'vel mur 'n he zro. Tant que la mer sera comme un mur autour d'elle. Ra vezo digabestr ma Bro ! Sois libre, mon pays ! Mar d'eo bet trec'het Breizh er brezelioĂč braz, Si autrefois Bretagne, tu as flĂ©chi durant les guerres, He yezh a zo bepred ken beo ha bizkoazh, Ta langue est restĂ©e vivante Ă  jamais, He c'halon birvidik a lamm c'hoazh 'n he c'hreiz, Son cƓur ardent tressaille encore pour elle. Dihunet out bremañ, ma Breizh ! Tu es rĂ©veillĂ©e maintenant ma Bretagne ! » Letexte breton, sur la mĂȘme musique, Ville de Lothey > Notre RĂ©gion "La Bretagne" Centerblog. Articles; Blogs; Images; Partager sur Facebook Partager sur Twitter. Rechercher. GĂ©rer mon blog. Ajouter en ami. A propos de ce blog. Nom du blog : villedelothey Description du blog : La vie de la petite commune de Lothey en Bretagne. CatĂ©gorie : Blog vous pouvez tĂ©lĂ©charger l'hymne breton dans la section tĂ©lĂ©chargementsBro Goz ma ZadoĂčNi Breizhiz a galon karomp hon gwir Vro, Brudet eo an Arvor dre ar bed tro-dro. Dispont kreiz ar brezel hon tadoĂč ken mat, A skuilhas eviti o gwad O Breizh, ma Bro me 'gar ma Bro,Tra ma vo ar mor 'vel mur en he zro, Ra vezo digabestr ma Bro ! Ar Vretoned zo tud kalet ha kreñv, N'eus pobl ken kalonek a-zindan an neñv. Gwerz trist, son dudius a ziwan eno, O pegen kaer ez out ma Bro ! Breizh douar ar sent kozh, douar ar varzhed, N'eus Bro all a garan kement 'barzh ar menez, pep traonienn da'm c'halon zo kaer, Enno kousk meur a Vreizhad taer !Mard eo bet trec'het Breizh er brezelioĂč bras, He Yezh zo bepred ken bev ha c'halon birvidik a lamm c'hoazh en he c'hreiz, Dihunet out bremañ, ma Breizh ! *****Traduction des paroles Vieux Pays de mes PĂšresNous Bretons, aimons notre vraie PatrieL'Armor est cĂ©lĂšbre dans le reste du mondeBravement au coeur des guerres, nos pĂšres si bonsRĂ©pandirent pour elle leur sangO Bretagne, mon Pays, j'aime mon PaysTant que sera la mer comme un mur autour d'elleSoit libre mon PaysLes Bretons sont des gens robustes et fortsIl n'y a pas de peuple plus courageux sous les cieuxLes complaintes tristes, les chansons amusantes y naissentO que tu m'es cher, mon PaysBretagne, terre des vieux saints, terre des bardesIl n'y a aucun autre Pays que j'aime autant au mondeChaque montagne, chaque vallĂ©e, Ă  mon coeur est chĂšreIci repose plus d'un Breton fierSi la Bretagne a Ă©tĂ© vaincue dans les grandes guerresSa Langue est toujours aussi vivante que jamaisSon coeur vivace bat encore dans sa poitrineTu est dĂ©sormais rĂ©veillĂ©e, ma Bretagne*****Partition PrĂ©visualiser la page Imprimer la page
françaisede G. UYONVARC ’ H, Christian l’hymne national gallois comme hymne breton, le Bro gozh ma zadoĂč, sur . une adaptation de François Jaffrennou (dit Taldir, 1879-1956) 13. Puis
Solution finaleTaldir-Jaffrenou Le "Bro Goz" "hymne national breton", le druide et le ReichLe Bro goz ma zadou » vieux pays de mes pĂšres est prĂ©sentĂ© de nos jours comme l’hymne national breton. Son crĂ©ateur, François Jaffrenou, de son nom de druide Taldir Front d’Acier, a Ă©tĂ© condamnĂ© Ă  la LibĂ©ration, puis a bĂ©nĂ©ficiĂ© d’une sorte d’indulgence gĂ©nĂ©rale, malgrĂ© la parution de divers Ă©crits rappelant ses responsabilitĂ©s ainsi, notamment, l’essai de Michel Nicolas Histoire du mouvement breton, Syros, 1982 puis, la biographie de Luzel et Le monde comme si » de Françoise Morvan Actes sud, 2002. Le Grand Druide actuel, Gwenc’hlan Le ScouĂ«zec, ayant pris fait et cause pour son prĂ©dĂ©cesseur, Taldir, selon lui, injustement accusĂ© de collaboration avec les nazis, en un volume paru aux Ă©ditions Beltan sous le titre Le grand druide Ă©tait innocent », la polĂ©mique a soudain connu un regain d’actualitĂ©...Il nous a semblĂ© nĂ©cessaire de procĂ©der Ă  un rappel des faits, documents Ă  l’ BRO GOZL’hymne national breton, bien qu’on ne s’en doute guĂšre Ă  prĂ©sent, est l’invention d’un lycĂ©en qui, calquant l’hymne gallois en breton approximatif, pour satisfaire son professeur, lui-mĂȘme converti au druidisme, a produit un texte sur lequel il serait intĂ©ressant de fournir une analyse critique prĂ©cise mais, pour l’instant, nous ne disposons que d’une brĂšve note du Monde comme si Le Bro goz ma zadou est l’hymne national breton inventĂ© en 1897 par Taldir Jaffrenou, alors Ă©lĂšve de François VallĂ©e au collĂšge de Saint-Brieuc, sur le modĂšle de l’hymne gallois composĂ© en 1846 par Ewan James et son fils James James. Le refrain en est O Bretagne, ma Patrie, j’aime ma PatrieTant qu’il y aura de la mer comme un mur autour d’elle,Que ma Patrie soit libre. Ce refrain Ă©nigmatique a suscitĂ© des interprĂ©tations divergentes. » Le monde comme si, p. 179 Les nationalistes bretons ne se sont jamais fait d’illusion sur le texte du Bro goz ». RĂ©pondant au barde Abalor qui critiquait le drapeau breton dit gwenn-ha-du », Olier Mordrel Ă©crivait le 17 octobre 1937 dans le journal Breiz Atao Le gwenn-ha-du » n'est sans doute pas irrĂ©prochable mais Ă  son principal dĂ©tracteur, le barde Abalor, de son vrai nom LĂ©on Le Berre, l'auteur de l'article oppose le Bro goz, hymne qui pour ĂȘtre national n'en est pas moins suspect, tant d'origine que de teneur Le drapeau Ă  bandes est nĂ© dans les parages de Breiz Atao ? La belle affaire ! Le Bro goz » aussi est bien nĂ© dans les parages d'Abalor, ce qui ne nous empĂȘche pas de le chanter. On n'ira pourtant pas dire que la poĂ©sie en est impeccable. Comme vers bretons, il y a mieux et plus musical que le Douar ar Varzed » et autres trouvailles de mirliton. Mais le Bro goz » existe, c'est un signe de ralliement. Il n'est pas question de l'aimer ou de le rejeter parce que son air est d'origine Ă©trangĂšre et son texte contestable il est sacrĂ© parce qu'une valeur nationale s'est attachĂ©e Ă  lui...» citĂ© par Françoise Morvan in Blanche hermine, noir drapeau », Hopala, juin 1999. En effet, quelle que soit l’inanitĂ© de ses paroles, le Bro Goz » est l’expression d’une idĂ©e simple nous sommes Bretons, nous voulons ĂȘtre libres, la mer est le mur qui nous protĂšge et l’essentiel est d’ĂȘtre protĂ©gĂ©. Contre quoi ? Non pas contre les incursions de la perfide Albion, comme semblerait l’indiquer le texte ; plutĂŽt, pour en venir Ă  l’idĂ©e simple actuelle qui fait de Taldir un prophĂšte, que la mer comme un mur nous protĂšge en nous reliant Ă  nos frĂšres celtes contre l’odieuse liaison avec la France marĂątre. C’est ce qui a permis Ă  ce qui aurait pu n’ĂȘtre qu’une plaisanterie de potache de devenir un hymne national. SON CRÉATEURNĂ© en 1879 Ă  CarnoĂ«t, au centre de la Bretagne, et fils du notaire du bourg, François Jaffrenou n’a pas Ă©tĂ© seulement l’un des membres les plus influents du mouvement autonomiste breton mais l’un de ses prĂ©curseurs. Pensionnaire au lycĂ©e de Saint-Brieuc et, dĂ©cidant de suivre des cours de breton, il a pour professeur François VallĂ©e, Ă©rudit celtomane converti au druidisme, qui le convertit Ă  son tour. Suivant l’exemple de son maĂźtre, Jaffrenou compose, comme on l’a vu, sur le modĂšle de l’hymne gallois, le Bro Goz ma zadou » c’est-Ă -dire Vieux pays de mes pĂšres » - rebaptisĂ© aprĂšs la Seconde Guerre mondiale, dans l’orthographe surunifiĂ©e » du breton imposĂ©e sur ordre du SonderfĂŒhrer Weisgerber, Bro Gozh va zadoĂč ». Cet hymne approximatif est consacrĂ© chant national » au congrĂšs de 1904 de l'Union RĂ©gionaliste Bretonne. Il faut dire qu’en 1901, Yann Fustec et François dĂ©sormais Taldir, pour le meilleur et pour le pire Jaffrenou ont créé une Gorsedd des bardes » sur le modĂšle gallois Jaffrenou en deviendra bientĂŽt Grand Druide. En 1904, dans le mĂȘme temps que son Bro Goz » est proclamĂ© hymne national, il lance la revue Ar Bobl le Peuple, qui paraĂźtra jusqu'en 1914. Le voilĂ  devenu journaliste. Il poursuit ses activitĂ©s militantes Ă  la FĂ©dĂ©ration rĂ©gionaliste de Bretagne et, suivant la dĂ©rive inĂ©luctable du mouvement breton vers le national-socialisme, se charge de recueillir les signatures d’un Placet au marĂ©chal PĂ©tain proclamant que les Bretons et leurs associations culturelles ont accueilli avec joie et avec espĂ©rance la proclamation par le marĂ©chal PĂ©tain de la rĂ©surrection des provinces ».Ce placet remis au marĂ©chal PĂ©tain en dĂ©cembre 1940 se double d’un rapport remis Ă  Pierre Laval et d’un mĂ©moire en français et en allemand rĂ©digĂ© par le Grand Druide lui-mĂȘme Ă  l’intention de son Excellence le gouverneur militaire allemand en Bretagne, donnant la doctrine du bardisme
 et affirmant le dĂ©sir de 90% des Bretons de collaborer dans la paix et, d’accord avec la France, Ă  l’élaboration d’un statut europĂ©en basĂ© sur le droit des minoritĂ©s Ă  dĂ©velopper leur culture. » Ces deux derniers documents sont remis par Jaffrenou Ă  la dĂ©lĂ©gation allemande venue enquĂȘter Ă  l’automne 1940 sur l’opinion bretonne face Ă  la question bretonne » citĂ© par Henri FrĂ©ville, La presse bretonne dans la tourmente, Plon, 1979, p. 202-204. Mais le Grand Druide ne s’en tient pas lĂ . Il participe activement Ă  la presse nationaliste engagĂ©e dans la collaboration avec les nazis et ne se limite encore pas Ă  cela. L’historien Michel Nicolas Ă©crit A la LibĂ©ration, la police a retrouvĂ© Ă  la prĂ©fecture de Quimper la liste des dĂ©nonciations de ce secteur. Les Allemands exigeaient en effet des dĂ©nonciations Ă©crites. Y figurait une dĂ©nonciation, signĂ©e de la main de Jaffrenou, du libraire-Ă©diteur Le Goaziou de Quimper comme rĂ©sistant, ce qui Ă©tait parfaitement exact. Faute de preuve, les Allemands l'avaient relĂąchĂ©. Ces propos ont Ă©tĂ© tenus Ă  de nombreuses reprises par M. Le Goaziou lui-mĂȘme qui fut, Ă  la LibĂ©ration, prĂ©sident de la commission d'Ă©puration du FinistĂšre. » Michel Nicolas, Histoire du Mouvement Breton », p. 103, et p. 97-98En 1945, le tribunal le condamne Ă  cinq ans de prison. Cependant, Gwenc’hlan Le ScouĂ«zec, le Grand Druide actuel, affirme que Jaffrenou fut innocent et que son activitĂ© fut toujours apolitique. Pour prendre la mesure de l’apolitisme revendiquĂ© par Gwenc’hlan Le ScouĂ«zec, il importe de prĂ©ciser qu’il fut dans les annĂ©es 70 l’un des fondateurs de Skoazell Vreizh avec l’écrivain Xavier Grall et l'avocat Yann Choucq et qu’il n’a jamais reniĂ© bien au contraire ce militantisme nationaliste. Qu’est-ce que Skoazell Vreizh ? L'association Skoazell Vreizh est un comitĂ© de soutien aux familles des dĂ©tenus et des personnes mises en examen pour des motifs politiques bretons, personnes impliquĂ©es dans des actes de rĂ©sistance Ă  la politique d'assimilation et d'intĂ©gration de l'État français en Bretagne » site Internet de Skoazell Vreizh Le ScouĂ«zec, qui se dit de gauche, se prĂ©sente ainsi Mon nom est Le SouĂ«zec. Mes prĂ©noms, selon l’État-civil Heol, LoĂŻc, Gwennglan
 graphie particuliĂšre du nom de Gwenc’hlan. C’est celui d’un druide du Ve siĂšcle, rĂ©el ou imaginĂ© il me fut donnĂ© par mon pĂšre parce que ce nom Ă©tait " antichrĂ©tien et antifrançais " » L’affaire Taldir, p. 15. Le Grand Druide est a su rester fidĂšle Ă  cette haine originelle. Il importe de montrer comment elle explique l’aveuglement sur les activitĂ©s de Jaffrenou pendant la pĂ©riode de l’ Placet Ă  PĂ©tain, Ă  la presse fascisteLe ralliement de Jaffrenou au ReichAvec Jaffrenou, le Pape fait Ă©cho Ă  HitlerJaffrenou, Ami de la LVF »Jaffrenou propage-t-il les thĂšmes du mouvement breton » antisĂ©mite ?"Son chef est François Jaffrenou"Pourquoi vouloir blanchir Jaffrenou, le crĂ©ateur du "chant national bro goz" ?Communautarisme panceltique ?[lire en PDF] GlossaireabcdefghijklmnopqrstuvwxyzINDEX Lebro gozh ma zadoĂč, aujourd'hui l'hymne national breton, fut composĂ© en 1897 par le barde Taldir Jaffrennou (1879-1956). L'air musical est le mĂȘme que celui de l'hymne national gallois, Hen Wlad Fy Nhadau (Vieille Terre
DĂ©cembre 2011 – Presentation du livre – L’Europe aux cent drapeaux – de Yann FouĂ©rĂ©, rééditĂ© . — L’Europe aux cent Drapeaux» – l’essai de Yann FouĂ©rĂ© pour servir Ă  la construction de l’Europe vient d’ĂȘtre rééditĂ© par La Fondation Yann FouĂ©ré». Cet ouvrage est le livre phare de Yann FouĂ©rĂ© oĂč il dĂ©veloppe sa grande idĂ©e le FĂ©dĂ©ralisme EuropĂ©en», l’autonomie des Nations sans État dans le cadre d’une Europe des Ethnies. En vente auprĂšs de la fondation au 09 63 25 93 58 Source ————————————————————————————————————- ConsultĂ© aussi la rubrique NĂ©crologies , et NEWS de notre site ENGLISH pour d’autres NĂ©crologies. 27 Octobre 2011 Article de Christian Martin, paru dans le numĂ©ro 3427 du Journal Le petit Bleu des CĂŽtes d’Armor ». Photo de Christian Martin, prise au 100 ans de Yann FouĂ©rĂ© avec sa fille Olwen, en Juillet de l’annĂ©e derniĂšre. ———————————————————————————————————— La famille FouĂ©rĂ© communique sur la mise en ligne non autorisĂ©e de L’Europe aux Cent Drapeaux ————————————————————————————————————— Sur Agence Bretagne Press- Yann FouĂ©rĂ© part accompagnĂ© d’un dernier Bro gozh DĂ©pĂȘche du 26/10/2011 – 238 de notre correspondant P. Argouarch GUINGAMP/GWENGAMP — Environ 400 personnes ont assistĂ© Ă  l’enterrement du leader breton Yann FouĂ©rĂ© Ă  Notre-Dame-de-Bon Secours Ă  Guingamp parmi une nuĂ©e de gwenn ha du et mĂȘme de banniĂšres tenues par des reprĂ©sentants de cette Europe aux cent drapeaux pour laquelle Yann FouĂ©rĂ© s’est battu toute sa vie. On ne pouvait plus distinguer la vierge noire, cette fameuse vierge qui trĂŽne au coeur de cette basilique bretonne, tant il y avait de drapeaux bretons et europĂ©ens ; comme si chacun avait voulu brandir le sien en tĂ©moignage de son soutien au disparu. EntrĂ© au son du biniou, le cerceuil du dĂ©funt est ressorti accompagnĂ© d’un ultime Bro gozh va ZadoĂč. Les enfants et les petits-enfants de Yann, dont certains venaient d’Irlande, Ă©taient tous lĂ  – ainsi que la vieille garde bretonne composĂ©e d’anciens du Front de LibĂ©ration de la Bretagne FLB ou d’anciens rĂ©sistants et patriotes bretons comme Pierre Le Moine, un des amis du dĂ©funt, et mĂȘme d’un ou deux survivants de l’époque d’avant guerre. Image rare, mais forte de symboles, des nationalistes de droite comme de gauche Ă©taient prĂ©sents pour ce dernier hommage. Le dernier message de Yann FouĂ©rĂ© est un poĂšme qu’une de ses filles a lu durant la cĂ©rĂ©monie En guise d’adieu C’est mon corps seulement que vous mettez en terre » Car je vous laisserai l’écho de mes combats; Que l’exil, la prison, la crainte ni la guerre Qui ne m’ont arrĂȘtĂ©, ne vous arrĂȘtent pas ! Yann FouĂ©rĂ© ————————————————————————————————————————– CommuniquĂ© de Presse du journal L’Avenir de la Bretagne’– Le 20 octobre dernier, la Bretagne a perdu un de ses plus grands dĂ©fenseurs. Yann FouĂ©rĂ© s’est Ă©teint Ă  l’ñge de 101 ans auprĂšs des siens dans son appartement de St Brieuc. Promoteur et apĂŽtre d’une Bretagne fĂ©dĂ©rale dans une Europe fĂ©dĂ©rale, militant infatigable des LibertĂ©s bretonnes, Ă©crivain et journaliste Ă©clairĂ© mais Breton avant tout, Yann FouĂ©rĂ© a Ă©tĂ© un prĂ©curseur. C’est lui qui a créé, en 1934, la premiĂšre association rĂ©clamant l’enseignement du breton dans les Ă©coles ar brezhoneg er skol. Il a aussi fondĂ© le premier quotidien de sensibilitĂ© bretonne La Bretagne » Ă  une Ă©poque pourtant troublĂ©e. A son retour d’exil au Pays de Galles puis en Irlande, il fut lĂ  encore, le premier Ă  oser rĂ©clamer, dĂšs 1957, un statut particulier pour la Bretagne. Il a Ă©tĂ© Ă  l’origine du renouveau du mouvement politique breton en lançant, entre autres, le Mouvement pour l’Organisation de la Bretagne » le parti Strollad ar Vro » et en 1982 le Parti pour l’Organisation d’une Bretagne Libre. La somme de ses entreprises au service de la Bretagne est considĂ©rable ainsi, c’est aussi lui qui est Ă  l’origine du ComitĂ© Consultatif de Bretagne, du Parti FĂ©dĂ©raliste des Etats sans Nations, de l’Alliance Libre EuropĂ©enne, de la Ligue Celtique et auteur de nombreux ouvrages de rĂ©fĂ©rence L’Europe aux cent drapeaux » . FĂ©dĂ©raliste plutĂŽt qu’autonomiste, rĂ©gionaliste plutĂŽt que sĂ©paratiste, la Bretagne d’aujourd’hui lui doit beaucoup. Ses amis du et du journal L’Avenir de la Bretagne » qu’il avait fondĂ© en 1958 saluent la mĂ©moire d’un visionnaire pacifiste, qui a toujours refusĂ© la voie de la violence et lui rendront hommage lors de ses obsĂšques qui se tiendront le mardi 25 en la basilique Notre Dame de Bon Secours Ă  Guingamp Ă  14 h 30. Kenavo, Yann, veaji mat d’an Tir na Nog ————————————————————————————————————————— HomĂ©lie de L’AbbĂ© Yann Talbot- Homelienne evit Yann FouĂ©rĂ© Il y a une quinzaine d’annĂ©es, lors d’une cĂ©lĂ©bration du lundi de PĂąques autour de la tombe de l’abbĂ© Yann Vari Perrot, prĂšs de la chapelle de Koatkev en Scrignac, Yann FouĂ©rĂ© m’avait demandĂ© de cĂ©lĂ©brer ses obsĂšques Ă  Guingamp quand le moment serait venu. A cette Ă©poque, il Ă©tait encore trĂšs actif et guilleret, il n’avait encore que 85 ans ! Presque un jeune homme. Je le lui avais promis. C’est que je connaissais Yann FouĂ©rĂ© depuis bien longtemps, depuis que, jeune Ă©tudiant Ă  Rennes au dĂ©but des annĂ©es 60 au siĂšcle dernier
 je participais aux activitĂ©s du Mouvement Politique Breton, le MOB, qu’il venait de fonder. Puis, je le visitai plusieurs fois fin des annĂ©es 60 et dĂ©but 70, en Irlande dans le Connemara, dans son entreprise de mareyage. Ensuite en Bretagne, nous nous rencontrĂąmes assez souvent lors de cĂ©lĂ©brations, de rĂ©unions, ou de manifestations. Je le revis il y a 3 ans pour ses derniĂšres volontĂ©s et un Ă©change de vues sur la Bretagne, son avenir, et sur le sens de la vie et de la mort. Je ne dĂ©taillerai pas ici son rĂŽle dans l’histoire de la Bretagne du XXĂšme siĂšcle, son engagement pour les droits du peuple breton, ses combats, son oeuvre d’écrivain et de journaliste ; d’autres le feront ici ou ailleurs. Je parlerai de l’homme politique chrĂ©tien, et comment il peut se situer dans ce monde. Car Yann FouĂ©rĂ© Ă©tait un chrĂ©tien convaincu. Pour beaucoup d’entre nous, la vie est dure ! Pour beaucoup de gens que nous rencontrons, la vie est difficile ! Les problĂšmes de travail et de chĂŽmage, les difficultĂ©s des enfants Ă  l’école, la drogue qui frappe toutes les classes de la sociĂ©tĂ©, comme aussi l’alcool qui est encore dix fois plus meurtrier que la drogue, les accidents de la route, le cancer, le sida
 Et chez nous les droits de la Bretagne et du peuple breton qui sont niĂ©s, son identitĂ© menacĂ©e, sa langue menacĂ©e de mort programmĂ©e. Tout cela n’est qu’un ensemble de mots quand nous en parlons, mais en rĂ©alitĂ©, ce sont des ensembles de personnes qui sont concernĂ©es par ces flĂ©aux. Ce sont des hommes, des femmes, des enfants qui souffrent de ces choses-lĂ  et qui voient leur vie cassĂ©e ou dĂ©sorganisĂ©e par toutes ces choses redoutables. Nous vivons au milieu de tout cela tous les jours et nous finissons peut-ĂȘtre par nous y habituer. Pourtant, il y a autour de nous des hommes et des femmes qui n’arrivent pas Ă  s’habituer Ă  ces catastrophes et Ă  ces injustices et qui voudraient y apporter un remĂšde. Chacun Ă  sa maniĂšre, en fonction de ces aptitudes, en fonction de ses expĂ©riences passĂ©es, chacun emploie les moyens qu’il peut, les moyens qui lui semblent le mieux adaptĂ©s. Pour les uns, ce sera l’action syndicale, pour d’autres ce sera l’engagement dans des associations familiales ou de quartier, pour d’autres, le mouvement culturel, pour d’autres enfin, ce sera l’action politique. C’est cette voie qu’avait essentiellement choisie notre frĂšre dĂ©funt Yann FouĂ©rĂ©. Il a participĂ© Ă  l’action et au combat politique partout oĂč cela lui Ă©tait possible. DĂšs les annĂ©es 1930, il participait Ă  la dĂ©fense du breton dans l’association Ar brezhoneg er skol », prĂ©curseur en Bretagne pendant et aprĂšs le deuxiĂšme conflit mondial, travaillant Ă  la construction d’une Bretagne fiĂšre d’elle-mĂȘme, en collaboration avec les autres pays celtiques, surtout le Pays de Galles et l’Irlande, agissant pour la crĂ©ation d’une Europe dĂ©mocratique des peuples, n’épargnant pas ses efforts pour la libĂ©ration du peuple breton. Comme beaucoup d’hommes et de femmes de sa gĂ©nĂ©ration, il avait Ă©tĂ© choquĂ©, meurtri, par les carences de la sociĂ©tĂ©. Il avait souffert de voir tant de gens en Bretagne et ailleurs malheureux, sans avenir, tant de capacitĂ©s productives mal employĂ©es, tant de bonnes volontĂ©s déçues. Il s’est engagĂ© rĂ©solument dans le changement de ce monde-lĂ . Il ne pouvait plus supporter un monde oĂč tant de gens sont condamnĂ©s Ă  souffrir toute leur vie. Il avait eu envie de le reconstruire. Refaire le monde ! Relever la Bretagne ! Il nous semble que c’est une ambition impossible, un travail dĂ©mesurĂ©. La Bible nous dit que Dieu lui-mĂȘme a partagĂ© ce rĂȘve. Ce Dieu qui avait créé le ciel et la terre, ce Dieu qui avait rĂȘvĂ© d’un monde harmonieux oĂč tous puissent s’aimer, voilĂ  qu’il connaĂźt la dĂ©sillusion. Les hommes qu’il avait créés dans la joie et l’amour sont maintenant en proie aux dĂ©chirements de la haine et de la jalousie. Dieu ne peut pas se cacher qu’il a Ă©chouĂ© dans son entreprise. Il dĂ©cide alors de tout effacer et de repartir Ă  zĂ©ro. La famille de NoĂ© exceptĂ©e, il va effacer toute vie de la surface de la terre. AprĂšs avoir pratiquement exterminĂ© tout le monde vivant, il veut recommencer l’histoire Ă  partir de NoĂ©. C’est la premiĂšre alliance dont le signe est toujours inscrit dans le ciel, cet arc-en-ciel qui est devenu le symbole de la volontĂ© de Dieu de sauver tous les hommes, et qui est l’emblĂšme du parti des nations sans Etat au Parlement EuropĂ©en de Bruxelles. Pourtant cette nouvelle tentative, venant aprĂšs celle du paradis terrestre, va, elle aussi, Ă©chouer. Quelque temps aprĂšs, Dieu veut tenter de repartir Ă  nouveau. Son peuple l’ayant oubliĂ© est rĂ©duit Ă  l’esclavage en Egypte. J’ai entendu, dit Dieu, la plainte de mon peuple et je t’envoie, toi MoĂŻse, pour le dĂ©livrer. » C’est une nouvelle fois reparti. Mais une nouvelle fois, les choses se gĂątent et le peuple regrette sa terre d’esclavage oĂč il n’avait qu’à se laisser conduire. Il trouve la libertĂ© exigeante et trop lourd Ă  porter le statut d’homme debout, d’homme libre et responsable. Alors, une fois encore, Dieu veut tout recommencer Ă  zĂ©ro. Il veut anĂ©antir son peuple et entreprendre une nouvelle aventure avec les descendants de ce seul MoĂŻse restĂ© fidĂšle. C’est MoĂŻse qui s’y oppose pour sauver la vie des ses concitoyens. Il y a bien un redĂ©part, une nouvelle nĂ©gociation entre Dieu et les hommes mais c’est toujours avec le mĂȘme peuple. Plus tard encore, la mĂȘme situation se reproduit Dieu excĂ©dĂ© par les infidĂ©litĂ©s de son peuple l’envoie en exil. Un prophĂšte, dont les oracles sont conservĂ©s dans le livre d’IsaĂŻe, annonce alors le dĂ©sir de Dieu de nĂ©gocier avec son peuple une nouvelle alliance Voici, dit Dieu, que je vais ĂŽter leur cƓur de pierre pour le remplacer par un vrai cƓur, capable d’aimer. Ce jour-lĂ  je conclurai avec eux une alliance nouvelle qui ne sera pas comme la premiĂšre. » Mais ce nouveau pacte ne rĂ©siste pas Ă  l’usure du temps. Enfin, Dieu, un peu dĂ©couragĂ©, se dĂ©cide Ă  envoyer son fils. JĂ©sus offrira sa vie pour une alliance nouvelle et Ă©ternelle » avec les hommes. Lorsque nous voyons notre Dieu, contre vents et marĂ©es, essayer de refaire le monde, nous comprenons la noblesse de la tĂąche de ceux qui, par goĂ»t ou par dĂ©sir d’amĂ©liorer le monde, se sont consacrĂ©es Ă  la tĂąche politique. Ils essayent eux aussi de faire triompher un ordre plus juste et plus fraternel dans le monde et dans leur pays. Et c’est cette tĂąche-lĂ  que Yann FouĂ©rĂ© a voulu mener Ă  bien dans sa Bretagne, comme dans les autres pays celtiques, et dans l’Europe aux Cent drapeaux qu’il appelait de ses vƓux. Pour ce service de la Bretagne, du peuple breton, ce service des pays celtiques et de l’Europe que Yann FouĂ©rĂ© a accompli, nous adressons Ă  Dieu notre merci reconnaissant. Mais en mĂȘme temps, nous accueillons les invitations de l’Evangile Ă  poursuivre, chacun Ă  notre place, cette tĂąche de refaire perpĂ©tuellement le monde et de reconstruire la Bretagne, parce que perpĂ©tuellement le mal et le mensonge, l’égoĂŻsme et la paresse continuent Ă  les dĂ©grader et Ă  les abĂźmer. Que Dieu nous accorde le courage de poursuivre cette construction d’un monde fraternel, d’un monde de justice, de pax et d’amour, et d’une Bretagne livre de son destin et de son avenir. Kenavo Yann dans la joie du Paradis. Kenavo Yann e levenez ar Baradoz. Amen. ———————————————————————————————————————————– Message d’Adieu Ă  Yann FouĂ©rĂ© par Erwan, un de ses fils. Au nom de toute la famille, je vous souhaite Deutmat, Bienvenus, CĂ©ad Mile FĂĄilte a cette cĂ©rĂ©monie d’adieu. Nous vous remercions beaucoup d’ĂȘtre venus si nombreux rendre un dernier hommage a notre pĂšre, Yann FouĂ©rĂ©. Notre mĂšre Marie-Magdeleine, sa femme et fidĂšle compagne de Papa durant toute sa vie, qui pour des raisons de santĂ© dues a son grand Ăąge, n’a pas pu ĂȘtre parmi nous, se joint avec nous en esprit, ainsi que tous les autres membres de la famille et les nombreux amis et admirateurs de la vie et du travail infatigable de Papa. Durant tous les Ă©vĂšnements qui ont marquĂ© la vie de Papa, que ce soit ses activitĂ©s estudiantines, son premier travail au MinistĂšre, son exile, son activitĂ© politique et culturel, ses convictions profondĂ©ment encrĂ©es dans la Bretagne et le FĂ©dĂ©ralisme EuropĂ©en, et ses nombreux livres – sans compter les centaines d’articles qu’il a Ă©crit tout au long de sa vie, son » BĂąton de PĂšlerin » ne l’a jamais quitte. C’est ce mĂȘme » BĂąton de PĂšlerin » qui a Ă©tĂ© repris par chacun de ses enfants dans leurs activitĂ©s respectives que ce soit les affaires, les oeuvres sociales, les sports, le théùtre et dans mon cas, la diplomatie Rozenn, Jean, Erwan, Benig et Olwen, ainsi que leurs conjoints respectives; ses petits-enfants Yola, Annig,Kareen, Tristan, qui est venu de l’autre cote de l’atlantique pour ĂȘtre avec nous, OisĂ­n, Benjamin, Annik et Jamie; ses arriĂšres petits-enfants Brittany, Asher, Mara, et Tianna. C’est ce mĂȘme » BĂąton de PĂšlerin » qui restera toujours notre boussole dans la vie. MĂȘme dans les moments les plus difficiles, bafouĂ© par les vents de tous bords, Papa favorisait toujours le dialogue et l’espoir, restant fidĂšle a sa devise » ici ou ailleurs ; face a l’obscuritĂ©, il disait toujours » Il est souvent prĂ©fĂ©rable d’allumer une toute petite bougie que de supporter trop longtemps le maintient de l’obscuritĂ© . Son oeuvre et son exemple continueront a briller comme la lueur d’un phare au delĂ  des brumes maritimes de la Bretagne ou de l’Irlande; ils continueront a inspirer les gĂ©nĂ©rations futures et tous ceux qui en Europe et ailleurs oeuvrent pour un monde meilleur au delĂ  des prĂ©jugĂ©s, un monde ou l’esprit de gĂ©nĂ©rositĂ©, de tolĂ©rance et de respect des droits fondamentaux prĂ©valent. Kenavo Yann, Kenavo Papa, merci pour tout ce que tu as accompli et tout ce que tu a fait pour nous, pour la Bretagne et pour l’Europe. CliquĂ© sur le lien ci dessous pour les videos de la cĂ©rĂ©monie . ——————————————————————————————————————— Sur les liens ci dessous – ABP rend hommage Ă  Yann FouĂ©rĂ©. Yann FouĂ©rĂ© La terre de Bretagne est 
 – Agence Bretagne Presse 21 oct. 2011 – Attentive Ă  la forte Ă©motion de nombreuses personnes qui souhaitaient lui rendre hommage, l’Agence Bretagne Presse ouvre ce registre de 
 —————————————————————————————————————— 20 Octobre 2011 Avis du DĂ©cĂ©s de Yann FouĂ©rĂ©. —————————————————————————————————————– 16 Septembre 2011 Photo, prise par Annig Barrett, de la presentation par Lord Dafydd Wigley du livre, La Maison’ in Connemara’, avec au fond une grande photo de Yann FouĂ©rĂ© et, devant la photo deux de ses enfants, Rozenn et Erwan. Pour la Revue de Presse, Articles et Texte de l’hommage d’Havard Gregory, en Anglais et en Gallois, consultĂ© le site Anglais, sous la rubrique NEWS. CliquĂ© sur la photo pour l’agrandir . PrĂ©sentation de ce livre Ă  la BibliothĂšque Nationale du Pays de Galles Ă  Aberystwyth, le vendredi 16 Septembre 2011, Ă  par Lord Dafydd Wigley. ————————————————————————————————– Pour la Revue de Presse et les articles sur cette presentation, consultĂ© le site Anglais, sous la rubrique NEWS. PRESENTATION DE CE LIVRE, À CLIFDEN, IRLANDE, AU STATION HOUSE THEATRE, VENDREDI 3 JUIN Ă  par Maurice O’Scanaill MRCVS. Avril 2011 Traduction en Anglais du livre de Yann FouĂ©rĂ©, par Rozenn FouĂ©rĂ© Barrett, sous le titre – La Maison’ in Connemara – 352 pages, publication de Oldchapel Press, Oughterard, Irlande. – pour commander le livre, contactĂ© ————————————————————————————————————————————————– Avril 2011 Article dans la revue Armor’, sur l’Institut de Documentation Bretonne et EuropĂ©enne/Fondation Yann FouĂ©rĂ©. Aussi un article sur l’association Baie de Saint-Brieuc – QuĂ©bec’, crĂ©e par GĂ©rard Gautier , et NĂ©crologie de Georges Le Meur.
VariĂ©tĂ©Française : Edition: Standard : Composition du CD; Nombre de disque(s) 1 CD : Nombre de titres: 13 titres : Liste des titres: 1 Tri Martolod 2 La Jument De Michao 3 Suite Sudarmoricaine 4 Greensleeves 5 Brest 6 Bro Gozh Va ZadoĂč 7 Mna Na H-Eireann 8 Ma Bretagne Quand Elle 9 Je Ne Serai Jamais Ta 10 Karantez Vro 11 Le Bagdad De
Bro gozh ma zadoĂč Vieux pays de mes ancĂȘtres L'hymne interprĂ©tĂ© par Tri Yann, Alan Stivell, Gilles Servat, Soldat Louis, CĂ©cile Corbel, Gwennyn, Clarisse Lavanant, Rozenn Talec Hymne de Bretagne Paroles François Jaffrennou 1898 Musique James James 1856 Fichier audio "Bro gohz ma zadou "version officielle adoptĂ© par la rĂ©gion Bretagne, recomposĂ©e par FrĂ©dĂ©rique Lory. modifier Le Bro gozh ma zadoĂč Vieux pays de mes pĂšres est un chant en langue bretonne, adoptĂ© en 2021 par la rĂ©gion Bretagne comme hymne officiel[1] et parfois prĂ©sentĂ© comme l'hymne national de la Bretagne[N. 1]. Cette Ɠuvre reprend l'air de l'hymne national du pays de Galles, Hen Wlad Fy Nhadau Vieille terre de mes pĂšres. On trouve un Ă©quivalent en cornique, la langue celtique apparentĂ©e au Breton parlĂ©e dans les Cornouailles britanniques, sous le titre Bro Goth agan Tasow Vieille terre de nos pĂšres, qui reprend aussi l'air de l'hymne gallois. En breton, les paroles sont celles de l'adaptation qu'en a faite François Jaffrennou en 1898 et qui se sont imposĂ©es dans l'usage. Historique[modifier modifier le code] Les origines galloises[modifier modifier le code] Selon la version populaire de ses origines, James James aurait imaginĂ© l'air de la chanson tandis qu'il se promenait au bord du fleuve Rhondda, d'oĂč le fait que le premier nom Ă©tait Glan Rhondda Les rives de la Rhondda. Lorsqu'il le chanta Ă  son pĂšre Evan James, tisserand et poĂšte de Pontypridd, celui-ci en Ă©crivit les paroles[rĂ©f. nĂ©cessaire]. D'aprĂšs François Jaffrennou, le processus de transmission a Ă©tĂ© inverse. Voici ce qu'il explique dans un article en 1935 le pĂšre, un modeste clergyman, membre du collĂšge des bardes gallois sous le nom de Ap Iago » aurait Ă©crit un dimanche de janvier 1846
 un couplet et le refrain d'un hymne patriotique qu'il intitula Hen Wlad Fy Nhadau Vieux pays de mes pĂšres. Puis il appela son fils James James qui savait jouer de la harpe, et lui demanda de composer un air pour la poĂ©sie qu'il venait d'Ă©crire »[3]. La piĂšce fut jouĂ©e publiquement pour la premiĂšre fois en janvier ou fĂ©vrier 1856 Ă  la chapelle de Capel Tabor par une chanteuse appelĂ©e Elizabeth John[rĂ©f. souhaitĂ©e]. En 1895, Williams Jenkyn Jones, missionnaire baptiste gallois envoyĂ© en mission Ă  Quimper en 1882, fait connaĂźtre l'air en Bretagne en l'Ă©ditant dans un recueil de cantiques, Telen ar C'Hristen La Harpe du chrĂ©tien. Le cantique 77, le dernier du recueil, s'intitule Doue ha va Bro Dieu et mon pays » et se chante sur l'air de l'hymne gallois Hen Wlad Fy Nhadau[4],[5]. Contexte de crĂ©ation[modifier modifier le code] La Bretagne connaĂźt Ă  la fin du XIXe siĂšcle un dĂ©veloppement de l'idĂ©e panceltique, et les Ă©changes avec d'autres pays celtiques comme l'Irlande, l'Écosse, ou le Pays de Galles gagnent en importance. Ce dernier devient pour certains rĂ©gionalistes bretons de l'Ă©poque un exemple Ă  suivre[6]. À la mĂȘme Ă©poque, et contrairement Ă  ces pays, la Bretagne ne dispose pas d'un hymne, et l'idĂ©e d'en adopter un commence Ă  ĂȘtre lancĂ©e dans le milieu rĂ©gionaliste, qui commence Ă  se structurer avec notamment la naissance de l'Union rĂ©gionaliste bretonne en 1889[7]. François Jaffrennou, alors Ă©tudiant au lycĂ©e de Saint-Brieuc, sous la supervision de son professeur de breton François VallĂ©e , tous deux futurs membres de la Gorsedd de Bretagne, créée l'annĂ©e suivante, entreprend d'adapter les paroles de l'hymne gallois en breton. Il s'inspire de ses paroles, tout en utilisant sa maĂźtrise du gallois pour remonter au texte original sans en faire une traduction littĂ©rale, crĂ©ant la version que l'on connaĂźt aujourd'hui[4]. Son texte est publiĂ© une premiĂšre fois en 1898 dans l'hebdomadaire, La RĂ©sistance de Morlaix, et est imprimĂ© sur feuilles volantes avec le sous-titre Henvelidigez Adaptation. Il paraĂźt dans le recueil de poĂšmes de Jaffrennou, An Delen Dir, en 1900 la harpe d'acier »[7]. Adoption et diffusion[modifier modifier le code] Livret intitulĂ© Chants nationaux bretons » et contenant le Bro Gozh. L'hymne est une premiĂšre fois chantĂ© lors d'un congrĂšs de l'Union rĂ©gionaliste bretonne Ă  Guingamp en 1900, mais ce n'est que plus tard que ce mouvement lance un concours pour sĂ©lectionner un hymne. Jaffrenou en propose deux, le Sao Breiz izel et le Bro Gozh[7]. C'est ce dernier qui est choisi par le jury de l'Union rĂ©gionaliste bretonne et proclamĂ© chant national », au nom de la fraternitĂ© qui rapproche Bretons et Gallois au congrĂšs de Lesneven le 5 septembre 1903[8]. Une controverse concernant la paternitĂ© du morceau Ă©clate quelques annĂ©es plus tard entre Jaffrenou et Jones. Ce dernier considĂšre que Jaffrenou l'a plagiĂ©, et il proteste en 1904 dans une lettre adressĂ©e Ă  la librairie Le Dault. Il explique que le texte de Jaffrennou a une forme un peu modifiĂ©e » de sa composition, mais la librairie tranche en faveur de Jaffrennou[4]. Ce dernier sans nier l'origine galloise dĂ©clarera plus tard Je n’ai pas inventĂ© l’air du Bro goz ma zadou. Je l’ai transplantĂ© et popularisĂ© en Bretagne »[9]. Le morceau commence Ă  ĂȘtre mĂ©diatisĂ© lors des annĂ©es suivantes, et connait plusieurs adaptations. Le 24 avril 1905 a lieu la premiĂšre exĂ©cution publique parisienne Ă  l'occasion de la premiĂšre de la piĂšce de théùtre en breton, Marvaill ann Ene Naounek de Tanguy Malmanche[10]. Une partition pour piano d'Owen Alaw est le fait du pĂšre de Camille Le Mercier d'Erm, imprimeur Ă  Niort[11]. En 1906, Maurice Duhamel Ă©crit une nouvelle harmonisation pour piano et il est enregistrĂ© par PathĂ© frĂšres, de Paris, sur disques phonographiques en 1910[12]. D'autres accompagnements ont Ă©tĂ© Ă©crits, entre autres, par Georges Arnoux et l'abbĂ© Jean-Louis Mayet, organiste de la cathĂ©drale de Quimper[13]. Popularisation[modifier modifier le code] L'hymne commence Ă  sortir du cercle des milieux rĂ©gionalistes dĂšs 1900. Il est ainsi adoptĂ© Ă  cette Ă©poque par les Ă©tudiants bretons de Rennes, qui en font leur chant de ralliement[N. 2], et son utilisation est toujours attestĂ©e dans les annĂ©es 1930[14]. Il est Ă  la mĂȘme Ă©poque connu dans les cercles bretons de Paris[15] Lors de sa visite Ă  Morlaix le 30 mai 1920, le marĂ©chal Foch, qui avait une rĂ©sidence prĂšs de cette ville, avait prononcĂ© aprĂšs avoir entendu le Bro Gozh de Taldir Votre chant est aussi beau que la langue qui l'exprime et que le cƓur qui l'inspire. Gardez bien l'un et l'autre. »[rĂ©f. nĂ©cessaire] Il est jouĂ© sur les quais de la gare de Guingamp en 1923 pour accueillir le prĂ©sident du Conseil, Raymond PoincarĂ©, venu cĂ©lĂ©brer Ă  TrĂ©guier le centenaire de la naissance d'Ernest Renan. François Jaffrennou relĂšve qu'en 1930, le prĂ©sident de la RĂ©publique, Gaston Doumergue, a pu aussi Ă©couter son exĂ©cution sur le Cours d'Ajot Ă  Brest par une chorale carhaisienne. Le 3 aoĂ»t 1940, il est diffusĂ© par Radio Londres, dans une Ă©mission consacrĂ©e Ă  la Bretagne[16]. Ce chant est entonnĂ© par des otages du camp de Chateaubriant avec L'Internationale en breton, le 15 dĂ©cembre 1941, lorsque le Dr Jacq, militant communiste et mĂ©decin au Huelgoat, est fusillĂ© par des soldats allemands[16]. Le Dr Jacq a dispensĂ©, durant sa captivitĂ©, des cours de breton pour les autres otages du camp et mis en place une chorale bretonne. Il existe plusieurs traductions en français[5]. La premiĂšre traduction fut publiĂ©e en 1936 par Henry Lemoine, Ă©diteur Ă  Paris, dans le livret Ugent Kanaouen "20 chants". D'aprĂšs Griffiths, cette version aurait Ă©tĂ© faite par Taldir lui-mĂȘme. La seconde version est publiĂ©e chez le mĂȘme Ă©diteur en 1933 sous le titre Vieille Terre de Mes PĂšres. Aucune de ces traductions n'a acquis la popularitĂ© de la version en breton. Une version en gallo a Ă©tĂ© publiĂ© par l'hebdomadaire Ya ! le 16 mars 2012. Elle est signĂ©e Fabien LĂ©cuyer. Au centre de Lesneven, ville oĂč il a Ă©tĂ© lancĂ© solennellement, une place a reçu le nom de Bro goz ». En 2014, la chaĂźne France 3 Bretagne lance sur Internet le dĂ©fi Bro Gozh », un jeu-concours faisant appel aux internautes pour rĂ©interprĂ©ter l'hymne et partager les vidĂ©os au plus grand nombre. Le dĂ©fi est remportĂ© par la chanteuse Kaelig, accompagnĂ©e dans sa vidĂ©o par Dour/Le Pottier Quartet, qui gagne un tour du monde de trois semaines pour promouvoir l'hymne[17]. Utilisations[modifier modifier le code] Politiques[modifier modifier le code] L'hymne a Ă©tĂ© repris Ă  plusieurs reprises par des personnalitĂ©s politiques bretonnes, ou lors d'Ă©vĂ©nements officiels. En ouverture du procĂšs de l'Amoco Cadiz en 1982 Ă  Chicago par 150 Ă©lus bretons[18], ou par la prĂ©fĂšte de rĂ©gion Bernadette Malgorn lors de son dĂ©part de la rĂ©gion en 2006[19]. Ce chant est Ă  plusieurs reprises chantĂ© au sein du Conseil rĂ©gional de Bretagne, notamment le 24 juin 2011 lors de la visite du Premier ministre du pays de Galles Carwyn Jones[20],[21], ou lors de l'Ă©lection du nouveau prĂ©sident du conseil rĂ©gional LoĂŻg Chesnais-Girard le 22 juin 2017[22]. Le 22 juillet 2011, dans le cadre du festival de Cornouaille, le Bro Gozh est mis en valeur Ă  l'occasion de la cĂ©rĂ©monie du Collier de l'Hermine avec la participation des chƓurs de Plomelin et Concarneau[23]. Le chant national est entonnĂ© lors des rassemblements du collectif des Bonnets rouges, Ă  Quimper[24], Ă  Carhaix[25] fin 2013 ainsi que lors des manifestations Ă  Nantes pour la rĂ©unification de la Bretagne 19 avril et 28 juin 2014. Le 11 janvier 2018, au Couvent des Jacobins Ă  Rennes, les hymnes nationaux gallois et bretons sont interprĂ©tĂ©s devant Carwyn Jones, Premier ministre gallois, et Loig Chesnais-Girard, prĂ©sident du Conseil rĂ©gional de Bretagne, par l'Orchestre Symphonique de Bretagne et 160 choristes dont 50 du BBC National Choir of Wales. Le 6 avril 2021, sur les marches du Palais Bourbon, Ă  Paris, le Bro Gozh est interprĂ©tĂ© par le dĂ©putĂ© Paul Molac et ses collĂšgues bretons Ă  la suite de l'adoption de sa loi de promotion des langues rĂ©gionales par l'AssemblĂ©e nationale[26]. Sportives[modifier modifier le code] Le Bro Gozh est jouĂ© lors des rencontres de l'Ă©quipe de Bretagne de football[rĂ©f. nĂ©cessaire] le 21 mai 1998 Ă  Rennes contre le Cameroun, le 20 mai 2008 Ă  Saint-Brieuc contre la RĂ©publique du Congo, le 19 mai 2010 Ă  Ajaccio contre la Corse et le 21 mai 2010 Ă  Bastia contre le Togo. Il a Ă©galement Ă©tĂ© jouĂ© le 2 juin 2011 Ă  Saint-Nazaire contre la GuinĂ©e Ă©quatoriale et le 28 mai 2013 Ă  Carquefou face au Mali. Lors de la finale de la Coupe de France de football 2008-2009 qui opposa deux clubs bretons, le Stade rennais FC et l'En Avant de Guingamp[27], le prĂ©sident de rĂ©gion Jean-Yves Le Drian Ă©tait intervenu pour que l'hymne soit jouĂ©[28] l'interprĂ©tation enregistrĂ©e du groupe Mouez Port-Rhu de Douarnenez[29] est diffusĂ©e au Stade de France avant le match, en dehors du protocole officiel[30]. À la fin de la rencontre, le chanteur Alan Stivell demande le micro de l'animateur, et avec l'accord d'un reprĂ©sentant de la FFF, il chante l'hymne a cappella[31],[32]. Cet hymne est Ă©galement diffusĂ© avant chaque rencontre Ă  domicile du Stade rennais, au Roazhon Park, lors des matches de championnat et de coupe[33]. Le Bro Gozh est interprĂ©tĂ© lors de la rencontre internationale de football gaĂ©lique entre les Ă©quipes de Bretagne et de Galice le dimanche 11 aoĂ»t 2013 Ă  Lorient[rĂ©f. souhaitĂ©e]. Pour la premiĂšre fois dans l'histoire de la finale de la Coupe de France de Football organisĂ©e par la FĂ©dĂ©ration Française de Football, un second hymne le Bro Gozh est intĂ©grĂ© au protocole officiel au cĂŽtĂ© de l'hymne français, La Marseillaise, lors de la finale du samedi 3 mai 2014 entre les deux clubs bretons Guingamp et Rennes[rĂ©f. nĂ©cessaire]. C'est Ă  la demande du Conseil rĂ©gional de Bretagne que cette prĂ©sence du Bro Goz est officialisĂ©e[rĂ©f. souhaitĂ©e]. Au Stade de France Ă  Saint-Denis, le Bro Gozh est intĂ©grĂ© dans le protocole officiel et est interprĂ©tĂ© par Nolwenn Leroy devant 80 000 spectateurs dont François Hollande, prĂ©sident de la RĂ©publique et Jean-Yves Le Drian, ministre de la DĂ©fense, notamment[rĂ©f. souhaitĂ©e]. En 2016, le Bro Gozh est interprĂ©tĂ© lors d'un match de hockey sur glace Ă  Brest entre les Albatros brestois et les Red Devils de Cardiff[34], ainsi qu'Ă  plusieurs reprises lors du Championnat europĂ©en des luttes celtiques organisĂ© Ă  Brest Arena par la fĂ©dĂ©ration de [[gourengouren[rĂ©f. souhaitĂ©e]]]. Depuis la saison 2016-2017, le Rugby club de Vannes met l'interprĂ©tation du Bro Gozh en introduction de ses matchs Ă  domicile en Pro D2[35]. Depuis septembre 2018, le club de football de Lorient, le FCL, diffuse au stade du Moustoir le Bro Gozh lors des mi-temps[rĂ©f. souhaitĂ©e]. Depuis cette saison 2018-2019, le club de basket de Quimper, l'UJAP, ouvre certains de ses matchs Ă  domicile par l'interprĂ©tation du Bro Gozh[rĂ©f. souhaitĂ©e]. En juillet 2019, est signĂ© le protocole des Derbys bretons, au stade de la Rabine Ă  Vannes, Ă  l'initiative du ComitĂ© Bro Gozh en prĂ©sence de Loig Chesnais-Girard, prĂ©sident du Conseil rĂ©gional de Bretagne, de David Robo, maire de Vannes, et des reprĂ©sentants des Ă©quipes de football professionnelles de Bretagne[rĂ©f. nĂ©cessaire] ce protocole qui implique le Conseil rĂ©gional, l'association La Nuit des Etoiles, Sonerion et le ComitĂ© Bro Gozh consiste, lors des Derbys bretons, en une sĂ©rie d'animations dont l'interprĂ©tation du Bro Gozh par un/e artiste ; ce protocole a rencontrĂ© un grand succĂšs populaire jusqu'Ă  son interruption par la pandĂ©mie de mars 2020[rĂ©f. souhaitĂ©e]. Depuis aoĂ»t 2019 , le FC Lorient ouvre systĂ©matiquement ses matches Ă  domicile par le Bro Gozh[rĂ©f. souhaitĂ©e]. Reprises artistiques[modifier modifier le code] Tri Yann, l'un des groupes Ă  avoir repris le Bro gozh ma zadoĂč La chanson est au rĂ©pertoire de nombreuses chorales[36]. Elle a Ă©tĂ© reprise par plusieurs musiciens sur des albums ou en concert, comme Alan Stivell sur l'album Brian Boru avec des chƓurs et sur le live 40th Anniversary Olympia 2012 avec Nolwenn Leroy et Pat O'May, Tri Yann sur plusieurs de leurs albums comme La Tradition symphonique, La Tradition symphonique 2 ou 30 ans au ZĂ©nith, Tri Bleiz Die sur l'album Milendall, Targas sur Buffalo reel, Daonet sur Donemat, Soldat Louis[37], Mouezh Paotred Breizh, Didier Squiban Trio[38], TornaoD dans la chanson Keltia[39], Nolwenn Korbell sur le troisiĂšme CD de L’histoire de Bretagne pour tous[40], ou encore Gwennyn[41]. L'interprĂ©tation par Nolwenn Leroy sur son album Bretonne – vendu Ă  1 200 000 exemplaires – et en tournĂ©e, lui a donnĂ© une diffusion qu’il n’avait jamais connu »[42]. Pour Celebration de Dan Ar Braz, Clarisse Lavanant chante en breton Bro yaouank hon bugale qui cĂ©lĂšbre le jeune pays de mes enfants »[43]. La DJ Miss Blues, connue pour sa Breizh'n'Bass », remixe la musique[44] et rĂ©alise un clip avec les paroles en langue des signes par une jeune Bretonne sourde[45]. Dans le film Turned towards the sun de Micky Burn, un long extrait du Welsh-Breton National Anthem, interprĂ©tĂ© par un chƓur gallois, accompagne les images, commençant par les paroles en breton puis en gallois[46]. En mars 2017 sort le single Bro gozh ma zadoĂč, enregistrĂ© en collĂ©giale par Clarisse Lavanant, Gwennyn, CĂ©cile Corbel, Rozenn Talec, Alan Stivell, Tri Yann, Gilles Servat et Soldat Louis pour l'album Breizh eo ma bro ! Sony Music[47],[48]. Ce collectif est prĂ©sent Ă  Quimper le 5 juillet pour interprĂ©ter la chanson dans le cadre de l'Ă©mission Les Copains d'abord en Bretagne, diffusĂ©e le 23 septembre sur France 2[49]. Culturelles[modifier modifier le code] La SNCF a utilisĂ© ponctuellement l'air de cet hymne en gares de Rennes et de Redon Ă  la fin des annĂ©es 1960[50]. En 2004, le centenaire du Bro gozh est fĂȘtĂ© Ă  Lesneven en invitant notamment une dĂ©lĂ©gation de la ville jumelĂ©e de Carmarthen[51]. Les 10 et 11 janvier 2018, le Couvent des Jacobins Ă  Rennes est inaugurĂ© avec l'interprĂ©tation en commun des hymnes breton et gallois par l’Orchestre Symphonique de Bretagne et 190 choristes dont 50 du chƓur national gallois de la BBC[52]. Le Poellgor Bro Gozh ma ZadoĂč Le Poellgor Bro Gozh ma ZadoĂč ComitĂ© Bro Gozh ma ZadoĂč », est créé en novembre 2010 dans le but de promouvoir l'hymne national breton »[53] par l'Institut Clturel de Bretagne, par la FĂ©dĂ©ration Kanomp Breizh et par le ComitĂ© Bretagne-Pays de Galles. Il organise une sĂ©rie de concerts Ă  l'occasion de la FĂȘte de la Bretagne 2011, avec des chorales bretonnes et un chƓur gallois d'Aberteifi[54]. Un prix Bro Gozh est dĂ©cernĂ© annuellement par ce comitĂ© pour rĂ©compenser la personne, l’artiste, l’association ou l’institution ayant le mieux promu l’hymne national breton l’annĂ©e prĂ©cĂ©dente » ; il est remis Ă  Alan Stivell en 2011[55] Ă  Nolwenn Leroy en 2012[56] au Stade rennais en 2013[57], Ă  la fĂ©dĂ©ration Kanomp Breizh en 2016[58], Ă  Tri Yann en 2017[59], au Rugby club de Vannes en 2018[60]. Le ComitĂ© Bro Gozh a co-produit un DVD sur l'histoire de Bro Gozh, Kan ar Galon, rĂ©alisĂ© par Mikael Baudu ; ce film est diffusĂ© par Ă©pisode sur France 3 Bretagne. Le premier trophĂ©e Bro Gozh est remis en 2016 au ComitĂ© d'organisation des championnats de luttes celtiques Cocelic[58] et Ă  Mikael Bodlore-Penlaez en 2017 pour son ouvrage et la crĂ©ation d'une exposition sur le Bro Gozh ma ZadoĂč[61]. À l'occasion du Festival Interceltique de Lorient de 2018 consacrĂ© au pays de Galles, le ComitĂ© Bro Gozh remet un prix spĂ©cial Ă  Carwyn Jones, Premier ministre du pays de Galles et Ă  Lena Louarn, vice-prĂ©sidente du Conseil rĂ©gional de Bretagne, pour souligner les relations sĂ©culaires entre les deux nations[rĂ©f. souhaitĂ©e]. Un TrophĂ©e Bro Gozh est remis Ă  la mĂȘme occasion Ă  l'[[Orchestre symphonique de BretagneOrchestre Symphonique de Bretagne[rĂ©f. souhaitĂ©e]]] en la personne de son directeur musical, Grant Llywelyn, lui-mĂȘme gallois. Le samedi 26 mai 2018, le Bro Gozh est entonnĂ© par Clarisse Lavanant pour l'inauguration du MĂ©morial NominoĂ« sur le site de la bataille de Ballon en Bains-sur-Oust, prĂšs de Redon, en prĂ©sence de nombreux Ă©lus et responsables culturels[rĂ©f. souhaitĂ©e]. En aoĂ»t 2019, le Prix Bro Gozh est remis au Festival interceltique de Lorient[rĂ©f. souhaitĂ©e]. Paroles[modifier modifier le code] Breton Traduction en français Ni, Breizhiz a galon, karomp hon gwir Vro! Brudet eo an Arvor dre ar bed tro-do Dispont kreiz ar brezel, hon tadoĂč ken mad A skuilhas eviti o gwad Refrain O Breizh, ma Bro, me 'gar ma Bro Tra ma vo mor 'vel mur 'n he zro Ra vezo digabestr ma Bro! Breizh, douar ar Sent kozh, douar ar Varzhed N'eus bro all a garan kement 'barzh ar bed Pep menez, pep traonienn, d'am c'halon zo kaer Enne kousk meur a Vreizhad taer! Refrain Ar Vretoned 'zo tud kalet ha kreñv N'eus pobl ken kaloneg a zindan an neñv Gwerz trist, son dudius a ziwan eno O! pegen kaer ec'h out, ma Bro! Refrain Mar d'eo bet trec'het Breizh er brezelioĂč braz He yezh a zo bepred ken beo ha bizkoazh He c'halon birvidik a lamm c'hoazh 'n he c'hreiz Dihunet out bremañ, ma Breizh! Refrain Nous, Bretons de cƓur, aimons notre vrai pays! RenommĂ© est l'Armor Ă  travers le monde. Bravement au milieu de la guerre, nos pĂšre si bons, VersĂšrent pour elle leur sang. Refrain Ô Bretagne, mon pays, j'aime mon pays, Tant que sera la mer comme un rempart autour d'elle, Sois sans chaĂźnes mon pays ! Bretagne, terre des vieux saints, terre des bardes, Il n'y a pas d'autre pays au monde que j'aime autant. Chaque mont, chaque vallĂ©e, Ă  mon cƓur est superbe, LĂ  repose plus d'un Breton ardent ! Refrain Les Bretons sont des gens robustes et forts; Il n'y a pas de peuple plus courageux sous les cieux. Complaintes tristes, chansons charmantes germent lĂ , Ô que tu es beau, mon pays ! Refrain Si la Bretagne a Ă©tĂ© vaincue dans les grandes guerres, Sa langue est toujours aussi vivante que jamais. Son cƓur ardent bat encore dans sa poitrine, Tu es dĂ©sormais rĂ©veillĂ©e, ma Bretagne ! Refrain Notes et rĂ©fĂ©rences[modifier modifier le code] Notes[modifier modifier le code] ↑ Par exemple par le ComitĂ© Bro gozh ma zadoĂč, comitĂ© de promotion de ce chant. ↑ Selon la version rapportĂ©e par François Jaffrennou, alors Ă©tudiant Ă  Rennes, dans l'article citĂ© plus haut de An Oaled 1935. RĂ©fĂ©rences[modifier modifier le code] ↑ Le Bro gozh ma zadoĂč » devient l’hymne officiel de la Bretagne », sur Le Telegramme, 24 novembre 2021 consultĂ© le 25 novembre 2021 ↑ Welsh anthem - The background to Hen Wlad Fy Nhadau », BBC, 12 janvier 2008 ↑ François Jaffrennou, Origine du Bro Goz ma Zadou », An Oaled-Le Foyer breton, no 52, 2e trimestre 1935, p. 163. ↑ a b et c Xavier Maugendre, L'Europe des hymnes dans leur contexte historique et musical, Éditions Mardaga, 1996, 456 p. lire en ligne, p. 99-101. ↑ a et b Gwyn Griffiths, L'hymne national gallois » traduction de Jacqueline Gibson, Agence Bretagne Presse ↑ Chartier 2010, p. 259 ↑ a b et c Chartier 2010, p. 253 ↑ Coupe de France. Jour de gloire pour le Bro gozh », Le TĂ©lĂ©gramme, 8 mai 2009. ↑ Chartier 2010, p. 255 ↑ Texte du carton reproduit dans GwennolĂ© Le Menn, Istor ar brezhoneg, 4, Roll-gerioĂč Jabadao 1903, Gaston Esnault 1874-1971. In Hor Yezh, no 234, Mezheven juin 2003, p. 9. ↑ François Jaffrennou, Origine du Bro Goz ma Zadou », An Oaled-Le Foyer breton, no 52, 2e trimestre 1935, p. 164. ↑ Disque PathĂ© saphir 4926 interprĂ©tĂ© par Jaffrennou "Taldir" source "RĂ©pertoire des Disques PathĂ© Ă©dition juin 1912 ↑ François Jaffrennou, Origine du Bro Goz ma Zadou », An Oaled-Le Foyer breton, no 52, 2e trimestre 1935. ↑ HervĂ© Le Goc, L’Association GĂ©nĂ©rale des Étudiantes et Étudiants Rennais de 1919 Ă  1940 Un exemple du corporatisme estudiantin de l’entre-deux-guerres, Rennes, UniversitĂ© Rennes 2 Haute Bretagne, mĂ©moire de maitrise d'histoire contemporaine, 1999, 155 p., p. 83 ↑ Logann Vince et JĂ©rĂŽme Cler directeur de mĂ©moire, DĂ©buts des bagadoĂč, Chroniques d'un succĂšs annoncĂ© L'expansion du nouvel orchestre breton 1943-1970, Paris, universitĂ© Paris IV, 2010 lire en lignep. 143 ↑ a et b Bretons 2013, p. 35 ↑ Emilie Colin, DĂ©fi Bro Gozh Kaelig remporte le concours », sur France 3 Bretagne, 3 dĂ©cembre 2014 ↑ Jean-Laurent Bras, L'histoire de l'hymne breton Ă  l'Ă©cran », Ouest-France, 24 fĂ©vrier 2011. ↑ La PrĂ©fĂšte de RĂ©gion Bretagne chante l'hymne breton pour son dĂ©part », Agence Bretagne Presse. ↑ [vidĂ©o] Conseil rĂ©gional. Le Bro Gozh chantĂ© par l'ensemble des conseillers », Le TĂ©lĂ©gramme, 24 juin 2011. ↑ Didier Gourin, Le Pays de Galles fait envie aux Bretons », Ouest-France, 25 juin 2011. ↑ Philippe CrĂ©hange, Conseil rĂ©gional. Les Bretons ont un nouveau prĂ©sident », dans Le TĂ©lĂ©gramme, le 22 juin 2017, consultĂ© sur le 22 juin 2017 ↑ Le Bro Gozh ma ZadoĂč pour saluer les HerminĂ©s - Quimper », Ouest-France, 23 juillet 2011. ↑ La manifestation des Bonnets rouges Ă  Quimper », 20 Minutes, 4 novembre 2013 "certains ne peuvent s'empĂȘcher de verser une larme" ↑ Plus de 25 000 Bonnets Rouges Ă  Carhaix un succĂšs sans prĂ©cĂ©dent pour faire bouger l'État français », Agence Bretagne Presse, 30 novembre 2013 "un petit garçon qui se mit Ă  entonner avec beaucoup de doigtĂ© et d'assurance, le Bro gozh va ZadoĂč »" ↑ Des dĂ©putĂ©s chantent dans des langues rĂ©gionales devant l'AssemblĂ©e nationale », Ouest-France,‎ 9 avril 21 lire en ligne ↑ L'“hymne” breton retentira au Stade de France », Le Point, 4 mai 2009. ↑ L'hymne Breton au Stade de France ? », Le TĂ©lĂ©gramme, 1er mai 2009. ↑ Mouez-Port Rhu au JT de TF1 lundi midi », Ouest-France, 12 fĂ©vrier 2011 ↑ Coupe de France. L'hymne breton chantĂ© par des Douarnenistes », Le TĂ©lĂ©gramme, 9 mai 2009 ↑ Philippe Chain, Coupe de France. Alan Stivell fait acclamer le Bro Gozh » et la Bretagne par plus de 80 000 personnes au stade de France », Agence Bretagne Presse et Paris Breton,‎ 10 mai 2009 lire en ligne ↑ Stivell. Un Bro Gozh au pied levĂ© », Le TĂ©lĂ©gramme, 14 mai 2009. ↑ L'hymne breton diffusĂ© avant chaque match de Rennes Ă  domicile », Le TĂ©lĂ©gramme, 4 septembre 2009. ↑ Brest-Cardiff. La fĂȘte du hockey celte », Le TĂ©lĂ©gramme,‎ 13 fĂ©vrier 2016 lire en ligne ↑ FrĂ©dĂ©ric Cormary, Rugby galettes, biniou et RC Vannes », Sud Ouest,‎ 25 septembre 2016 lire en ligne ↑ Mouezh Bro Konk. Trois chorales pour un concert, Le TĂ©lĂ©gramme, 11 mars 2013 ↑ Bro gozh ma zadoĂč. Servi Ă  toutes les sauces », Le TĂ©lĂ©gramme, 12 janvier 2012, consultĂ© sur le 12 janvier 2012 ↑ Piste 8 de l'album Concert Ă  Mexico 2008 de Didier Squiban Trio. ↑ Le clip du groupe Tornaod tournĂ© en pleine forĂȘt », Le TĂ©lĂ©gramme,‎ 29 juillet 2006 lire en ligne ↑ FrĂ©dĂ©ric Jambon, Livre. L'histoire bretonne contĂ©e en musique, Le TĂ©lĂ©gramme, 5 avril 2012 ↑ Football. Gwennyn chantera le Bro gozh ma zadoĂč avant Rennes-Lorient », dans ouest-France, le 4 novembre 2014, consultĂ© sur le 4 novembre 2014 ↑ Jean-Laurent Bras, Le Bro Gozh, la jeunesse retrouvĂ©e d’un hymne », Cultures bretonnes 2013 H-S Ouest-France, p. 19. lire en ligne ↑ FrĂ©dĂ©ric Jambon, CĂ©lĂ©bration. SignĂ© Dan Ar Braz, Le TĂ©lĂ©gramme, 20 juin 2012 ↑ Miss Blue, la DJ qui remixe l'hymne breton », Ouest-France,‎ 24 juillet 2016 lire en ligne, consultĂ© le 15 janvier 2018 ↑ France 3 Bretagne, MISS BLUE », sur 30 octobre 2014 consultĂ© le 15 janvier 2018 ↑ Hubert ChĂ©mereau, PremiĂšre bretonne du film Turned towards the sun, ABP, 2 avril 2013 ↑ VIDEO. La crĂšme de la musique bretonne reprend l’hymne de la rĂ©gion », sur 20 mars 2017 consultĂ© le 15 janvier 2018 ↑ Bro gozh. Avant-goĂ»t d'un album collectif sur la Bretagne », Le Telegramme,‎ 10 mars 2017 lire en ligne, consultĂ© le 12 octobre 2017 ↑ Les Copains d'abord Clarisse Lavannant, CĂ©cile Corbel, Gwennyn, Rozen Talec, Soldat Louis, Tri Yann, Renaud Detressan – Bro Gozh Ma Zadou », sur 23 septembre 2017 consultĂ© le 12 octobre 2017 ↑ [vidĂ©o] Accueil SNCF Rennes, Office national de radiodiffusion tĂ©lĂ©vision française, Journal tĂ©lĂ©visĂ© de la nuit, 11 avril 1969, 1 min 6 s, consultĂ© sur le 25 mai 2010. ↑ Hymne gallois. Des Bretons au 150e anniversaire », Le TĂ©lĂ©gramme,‎ 20 juin 2006 lire en ligne. ↑ en-GB BBC National Chorus of Wales to perform with Orchestre Symphonique de Bretagne - Media Centre », sur 8 janvier 2018 consultĂ© le 14 janvier 2018 ↑ Bro gozh ma zadoĂč. Un comitĂ© pour populariser l'hymne breton », Le TĂ©lĂ©gramme,‎ 30 novembre 2010 lire en ligne. ↑ FĂȘte de la Bretagne. Des chorales bretonnes et galloise en choeur. », Le TĂ©lĂ©gramme,‎ 12 mai 2011 lire en ligne. ↑ ComitĂ© Bro Gozh, Le prix Bro Gozh » ↑ Bretons 2013, p. 36 ↑ Édouard Maret, Le prix Bro gozh remis au Stade Rennais, Ouest-France, 24 novembre 2013 ↑ a et b Le prix Bro Gozh sera remis Ă  Kanomp Breizh », Ouest-France,‎ 25 novembre 2015 lire en ligne. ↑ Tri Yann, les rois de l’hymne breton », Ouest-France,‎ 4 mai 2017 lire en ligne, consultĂ© le 5 mai 2017 ↑ Vannes. Le prix Bro Gozh 2018 est attribuĂ© au rugby club », Ouest-France,‎ 20 septembre 2017 lire en ligne, consultĂ© le 14 janvier 2018 ↑ Prix Bro Gozh 2017. Remis ce vendredi Ă  Nantes », Le Telegramme,‎ 10 mai 2017 lire en ligne, consultĂ© le 11 mai 2017 Voir aussi[modifier modifier le code] Bibliographie[modifier modifier le code] Ouvrages[modifier modifier le code] document utilisĂ© comme source pour la rĂ©daction de cet article. Jean-Yves Carluer, Bro Goz ma Zadou, ou Doue ha va bro ? Retour sur une controverse », dans Langues de l'Histoire, Langues de la Vie. MĂ©langes offerts Ă  Fañch Roudaut, Brest, Les Amis de Fañch Roudaut, 2005, p. 309-317. Erwan Chartier, La construction de l'interceltisme en Bretagne, des origines Ă  nos jours mise en perspective historique et idĂ©ologique, Rennes, thĂšse de l'universitĂ© Rennes 2, 2010, 722 p. lire en ligne Georges Cadiou, EMSAV Dictionnaire critique, historique et biographique, Coop Breizh, 2013 Jean Ollivro, Bro gozh ma zadou = l'identitĂ© territoriale bretonne », dans Bretagne 2100 IdentitĂ© et avenir, Presses Universitaires de Rennes, 2001, p. 27-35. Sion T. Jobbins, The Welsh National Anthem Its story, its meaning, 2013, Y Lolfa, 64 p. Mikael Bodlore-Penlaez, Bro Gozh ma ZadoĂč, l'hymne national breton Trilogie des symboles de Bretagne, SpĂ©zet, Coop Breizh, 2015, 36 p. ISBN 978-2-84346-724-0 Articles de presse[modifier modifier le code] Jean-Laurent Bras, Le Bro Gozh, La jeunesse retrouvĂ©e d'un hymne », Cultures bretonnes, Ă©dition 2013, Hors-SĂ©rie Ouest-France, p. 19 Bernard Lasbleiz, Bro Goz Ma ZadoĂč. L'histoire mouvementĂ©e de l'hymne breton », Musique bretonne, no 195, mars 2006, p. 28-33 Donatien Laurent, Deux hymnes cousins », ArMen, no 8, avril 1987, p. 28-29 Maiwenn Raynaudon-Kerzerho, Le Bro gozh ma zadoĂč Les 110 ans d'un hymne mĂ©connu », Bretons, no 90,‎ aoĂ»t-septembre 2013, p. 34-36 Film[modifier modifier le code] Mikael Baudu, Kan ar Galon L'histoire de l'hymne national breton, coproduction Gwengolo FilmoĂč et France 3, 2011, 30 min. versions français et breton, DVD ComitĂ© Bro gozh ma zadoĂč Liens externes[modifier modifier le code] Fichier audio du Bro gozh ma zadoĂč [MP3] site entiĂšrement consacrĂ© au Bro Gozh, hymne national breton blog du ComitĂ© Bro Gozh ma ZadoĂč Ressources relatives Ă  la musique en AllMusic en MusicBrainz Ɠuvres
OBretagne, mon pays, que j'aime mon pays! Tant que la mer te sera une frontiÚre, Que mon pays soit libre! 1.-Nous, Bretons de coeur, aimons notre vrai pays, L'Arvor est renommé dans le monde entier. Sans peur , durant la guerre, Nos pÚres bien-aimés, Ont versé leur sang pour Lui. 2.-Les Bretons sont des gens durs et forts!
Entrez le titre d'une chanson, artiste ou parolesMusixmatchPROPalmarĂšs de parolesCommunautĂ©ContribuerConnexionParolesBro gozh ma zadoĂčDerniĂšre mise Ă  jour le 8 juillet 2022Paroles limitĂ©esMalheureusement, nous ne sommes pas autorisĂ©s Ă  afficher ces place, for music moreCompagnieÀ propos de nousCarriĂšresPresseContactBlogProduitsFor Music CreatorsFor PublishersFor PartnersFor DevelopersFor the CommunityCommunautĂ©Vue d'ensembleRĂšgles de rĂ©dactionDevenir un CurateurAssistanceAsk the CommunityMusixmatchPolitique de confidentialitĂ©Politique de cookiesCLUFDroit d'auteur🇼đŸ‡č Fait avec amour & passion en Italie. 🌎 ApprĂ©ciĂ© partoutTous les artistesABCDEFGHIJKLMNOPQRSTUVWXYZ
Sisa reprise de La jument de Michao est superbe, d'autres morceaux mĂ©riteraient plus de prĂ©sence sur les plateaux ou les radios, en particulier les morceaux en breton comme Karantez vro et surtout son Ă©lectrique Bro Gozh va ZadoĂč qui coĂŻncide avec la sortie du film de Mikael Baudu sur le mĂȘme thĂšme. ABP 21008 _____
AuteurMessageSquaw28Nombre de messages 6Age 72Lec'hiadur/Localisation Eure et LoirDate d'inscription 03/06/2013Sujet Traduction de "mamie" Mer 30 Sep - 1808 Bonjour Ă  tous,J'aimerais savoir s'il existe un diminutif affectif de grand-mĂšre mamm gozh en breton, comme mamie, maminou en françaisMerci beaucoup Ă  tous ceux qui voudrons bien me rĂ©pondreBonne fin de journĂ©eChantal OstatuBreton PassionĂ©Nombre de messages 3655Age 55Lec'hiadur/Localisation Lutetia ParisiorumDate d'inscription 06/05/2008Sujet Re Traduction de "mamie" Mer 30 Sep - 1852 sur le modĂšle de tata-gozh tata = papa, mama-gozh mama = maman OstatuBreton PassionĂ©Nombre de messages 3655Age 55Lec'hiadur/Localisation Lutetia ParisiorumDate d'inscription 06/05/2008Sujet Re Traduction de "mamie" Mer 30 Sep - 1855 "Mevelien ar marichal o skeiñ war an tomm a bep eil – Tata, mama ! tata ! mama !les aides du forgeron battant le fer forgeant alternativement – tata, mama ! bis papa, maman !"TDBP - J. GROS OstatuBreton PassionĂ©Nombre de messages 3655Age 55Lec'hiadur/Localisation Lutetia ParisiorumDate d'inscription 06/05/2008Sujet Re Traduction de "mamie" Jeu 1 Oct - 046 Selon un informateur de Santec tad-kozhig, mamm-gozhig Jean-Claude EVENBreton acharnĂ© Nombre de messages 1947Age 75Lec'hiadur/Localisation Lannuon. Breizh IzelDate d'inscription 24/04/2005Sujet Re Traduction de "mamie" Jeu 1 Oct - 1458 pas Mammig-GozhJCE OstatuBreton PassionĂ©Nombre de messages 3655Age 55Lec'hiadur/Localisation Lutetia ParisiorumDate d'inscription 06/05/2008Sujet Re Traduction de "mamie" Jeu 1 Oct - 1532 A-priori les formes tad-kozhig, mamm-gozhig seraient aussi connu en pays Bigouden si on en croit cet article paru dans Arvor datĂ© du 15 aoĂ»t 1943 "Dastumet eo bet ar rimadelloĂč-mañ e Sant-Gwenole-Penmarc'h gant Kerlann....O c'hoari lammat gant ar gordenn e kan ar merc'hed evel-hen - Mamm-gozhig, tad-kozhigDa belec'h 'maoc'h o vont ?- D'an iliz, da bediñDeus asambles ganeomp..." OstatuBreton PassionĂ©Nombre de messages 3655Age 55Lec'hiadur/Localisation Lutetia ParisiorumDate d'inscription 06/05/2008Sujet Re Traduction de "mamie" Jeu 1 Oct - 1548 Jean-Claude EVEN a Ă©crit pas Mammig-GozhJCE voir ar c'hazh Ma zadig-kozh oa logotaer, Ma mammig-kozh a oa ivezHa ren-da-ren ma breudeur ha me !La priĂšre du chat Mon petit grand-pĂšre Ă©tait souricier,Ma petite grand-mĂšre l'Ă©tait aussi, Et pareillement mes frĂšres et moi !RĂ©n-da-rĂ©n se prononce en roulant le r trĂšs fortement pour imiter le ronron du chat."TDBP - J. GROS Squaw28Nombre de messages 6Age 72Lec'hiadur/Localisation Eure et LoirDate d'inscription 03/06/2013Sujet Re Traduction de "mamie" Jeu 1 Oct - 1916 Bonjour,Merci pour vos mon petit fils ne pourra prononcer cela pour le moment, c'est trop compliquĂ© et je vais ĂȘtre obligĂ©e de me contenter de mamie Ă  mon grand regretDommage................;Bonne continuation et encore merci Tonton JobBreton acharnĂ© Nombre de messages 1503Age 38Lec'hiadur/Localisation Bro-GwenedDate d'inscription 27/11/2010Sujet Re Traduction de "mamie" Dim 4 Oct - 1959 Pour dire "mamie" on emploie aussi mammig "petite mĂšre", dans un sens affectueux, qui est court et facile Ă  prononcer [mamik]. Notez qu'aujourd'hui certains enfants bretonnants emploient aussi ce mot pour dire "maman", mais il est bien attestĂ© dans le sens de "mamie". Squaw28Nombre de messages 6Age 72Lec'hiadur/Localisation Eure et LoirDate d'inscription 03/06/2013Sujet Re Traduction de "mamie" Lun 5 Oct - 1007 Bonjour,Merci beaucoup Tonton Job, effectivement ce sera plus !!!Bonne journĂ©eChantal Tonton JobBreton acharnĂ© Nombre de messages 1503Age 38Lec'hiadur/Localisation Bro-GwenedDate d'inscription 27/11/2010Sujet Re Traduction de "mamie" Lun 5 Oct - 1702 Attention Ă  bien prononcer la prononciation la plus rĂ©pandue est [mĂŁmik], comme le man de manchot et le mique de cosmique. jejeEcuyerNombre de messages 415Age 66Lec'hiadur/Localisation naonedDate d'inscription 16/07/2009Sujet Re Traduction de "mamie" Lun 5 Oct - 1952 A noter que tadig "grand-pĂšre", et pas au sens "papa, pĂšre" qui est de nos jours assez usuel chez les nĂ©o-bretonnants Ă©quivalent masculin de mammig Ă©tait employĂ© en Loire-Atlantique, Ă  Bourg-de-Batz = Batz-sur-Mer, si on en croit l'Atlas linguistique de Basse-Bretagne. Squaw28Nombre de messages 6Age 72Lec'hiadur/Localisation Eure et LoirDate d'inscription 03/06/2013Sujet Re Traduction de "mamie" Mar 6 Oct - 1307 Merci beaucoup pour la prononciation, c'est ça se prononce comment tadique ou tandique ?Bonne journĂ©e Jean-Claude EVENBreton acharnĂ© Nombre de messages 1947Age 75Lec'hiadur/Localisation Lannuon. Breizh IzelDate d'inscription 24/04/2005Sujet Re Traduction de "mamie" Mar 6 Oct - 2245 Je pense qu'il faut se rattacher au temps historique de l'appellation pour un enfant - au niveau du pĂšre et de la mĂšre, c'est en filiation directe, donc connu, a priori,- au niveau du grand-pĂšre et de la grand-mĂšre, c'est dĂ©jĂ  relatif,- au niveau de l'arriĂšre grand-pĂšre et de l'arriĂšre grand-mĂšre c'est dĂ©jĂ  souvent alĂ©atoire. Du fait des conditions sociales, des guerres, des maladies, et autres misĂšres, beaucoup d'enfants n'ont mĂȘme pas connu leurs grands-pĂšres, ni leurs grands-mĂšres, que sous forme de portraits au-dessus de la Ă©voquer Tadig, ou Tadig-Koz, ou Mammig, ou Mammig gKoz, c'Ă©tait souvent, malheureusement, pour beaucoup d'enfants, Ă©voquer des parents de gĂ©nĂ©rations antĂ©rieures qu'ils n'avaient pas connues, quelle que soit la gĂ©nĂ©ration tenu de mortalitĂ©s frĂ©quentes de jeunes femmes en couches, beaucoup d'enfants ont Ă©tĂ© Ă©levĂ©s par des mĂšres ou des grands-mĂšres autres que leurs propres Ă©tant dit sans chercher Ă  "plomber" l'amour des aĂŻeuxTadig se prononce, chez moi, en TrĂ©gor, Taa-dig, avec un a long, tout Even Squaw28Nombre de messages 6Age 72Lec'hiadur/Localisation Eure et LoirDate d'inscription 03/06/2013Sujet Re Traduction de "mamie" Mer 7 Oct - 1408 Merci beaucoup pour les dĂ©tailsTrĂšs bonne journĂ©e Tonton JobBreton acharnĂ© Nombre de messages 1503Age 38Lec'hiadur/Localisation Bro-GwenedDate d'inscription 27/11/2010Sujet Re Traduction de "mamie" Jeu 8 Oct - 1257 Squaw28 a Ă©crit Tadig, ça se prononce comment tadique ou tandique ? Ca se prononce tadique [tadik] . Il n'y a pas de n ni de m aprĂšs le a donc on entend a, alors que dans mammig on entend an Ă  cause du m qui suit sauf en haut-vannetais. Squaw28Nombre de messages 6Age 72Lec'hiadur/Localisation Eure et LoirDate d'inscription 03/06/2013Sujet Re Traduction de "mamie" Jeu 8 Oct - 1306 Encore un grand merci de prendre du temps pour initier ceux qui comme moi ne connaisse pas la langue. Si j'avais connu mes racines Pluherlin, Morbihan, plus jeune, j'aurais aimĂ© apprendre le breton, Ă  prĂ©sent, je ne m'en sent pas capable et c'est bien continuationChantal Le fier boucanierGalaad Nombre de messages 922Age 71Lec'hiadur/Localisation Cap SizunDate d'inscription 27/06/2007Sujet Re Traduction de "mamie" Ven 9 Oct - 1030 Il serait peut-ĂȘtre bon de voir dans la version originale donc en breton du Cheval d'orgueil de P-J HĂ©lias, comment il parle de ses deux grands ne connais que la version ne me souviens pas si il parle de ses grands mĂšres. Tonton JobBreton acharnĂ© Nombre de messages 1503Age 38Lec'hiadur/Localisation Bro-GwenedDate d'inscription 27/11/2010Sujet Re Traduction de "mamie" Sam 10 Oct - 1242 Squaw28 a Ă©crit Si j'avais connu mes racines Pluherlin, Morbihan, plus jeune, j'aurais aimĂ© apprendre le breton, Ă  prĂ©sent, je ne m'en sent pas capable et c'est bien dommage. Il n'est jamais trop tard pour s'y mettre et ce n'est tout de mĂȘme pas un exploit surhumain d'apprendre le breton. Il suffit d'ĂȘtre motivĂ©. Au minimum on peut trĂšs bien apprendre quelques bases avec une mĂ©thode de breton, par exemple, ça ne demande pas de gros efforts et c'est un plaisir !Si le breton vous tient Ă  cƓur je vous encourage Ă  vous y intĂ©resser de plus prĂšs, vous ne le regretterez pas. Offrez-vous ou faites-vous offrir une mĂ©thode de breton et un dictionnaire français-breton, pour commencer. Tonton JobBreton acharnĂ© Nombre de messages 1503Age 38Lec'hiadur/Localisation Bro-GwenedDate d'inscription 27/11/2010Sujet Re Traduction de "mamie" Dim 11 Oct - 1508 Notez que Pluherlin est en pays gallo, donc si votre famille est originaire de cette rĂ©gion elle n'a sĂ»rement jamais parlĂ© le breton mais le gallo ce qui n'empĂȘche pas de s'intĂ©resser au breton, bien sĂ»r. Contenu sponsorisĂ© Traduction de "mamie"
LenaLouarn a mentionnĂ© le dynamisme de la ville et du bassin de Saint-Brieuc en ce qui concerne le breton : Ă©coles Diwan et publiques bilingues, cours de breton Ă  l’universitĂ©, formation de 6 mois pour adultes ; nombreuses associations trĂšs actives : Ti ar Vro, Telenn, Abherve, centre de loisirs Dudi, entre autres. Et selon les rĂ©sultats de l’enquĂȘte rĂ©alisĂ©e Ă  la demande de la
GĂ©nĂ©ralitĂ©s - Illustrations sonores Une illustration sonore des chansons sur ImprimĂ©s populaires est proposĂ©e par 113 interprĂ©tations de 79 chansons-types sur disques 78 tours. Ces exemples ont Ă©tĂ© pris dans la collection de 78 tours de Kristian Morvan. Ces interprĂ©tations sont variĂ©es chant, chant accompagnĂ©, chorale. Elles reprĂ©sentent un Ă©chantillon de ce qui se faisait entre 1932 Ă  1955, souvent bien Ă©loignĂ© de ce que l’on a l’habitude d’entendre aujourd’hui. Ces chansons sont interprĂ©tĂ©es par Bars, AndrĂ© & Robertis Gwerz ar vezventi 2 QuĂ©inecBars, Mme & Bars, AndrĂ© Peder maleur, Paotr ar galleg plad, Son ar c’hafe [Paotr TreourĂ©], Job al lonker, Al lizher d’ar galant aet kuit d’an ItaliaBars, Mme & Robertis Lezenn votiñ ar merc’hed, Mari-Janig vrao, Teñzor Marianna, GizioĂč kozh ha gizioĂč nevezCercle Celtique de Paris & le barde Suscinio, Jean Soudard yaouank Kastell-Paol 2Chorale de Saint-Jean Brevalay Eur bolennad en dornChorale du Petit SĂ©minaire de Sainte-Anne d’Auray Ar mevel bras, Ni ho salud o leun a c’hras, ar santelañ zo bet
, En ho kavell, Kemeromp an hent treuzChorale Kanerien Bro LĂ©on Landiviziau Bro gozh ma zadoĂč, Ar baradoz, Dalc’h soñj, o Breizh-Izel, Ar yarig wenn 1, Spered Santel, Luskell va bag, Pebezh trouz zo war an douar gouel Nedeleg, Alan al louarn Barzaz Breiz, An tri anjeluz, Noz Nedeleg, noz santel, Glenan, Klemmgan ar varc’hegerien, Marionig ar Faoued, An div Vreizh, Kantik ar Purgator, Patromez dous ar Folgoad gwechall SalaunChorale Saint-Corentin Adoromp hollChorale Saint-Martin de Brest Bro gozh ma zadoĂč, SilvestrigCueff, Émile Ar pilhaouer, Kousk Breizh-Izel, Bro gozh ma zadoĂč, Dalc’h soñj, o Breizh-Izel, HirvoudoĂč, Ma zi bihan, Matilin an Dall QuĂ©rĂ©Cueff, Émile & Cueff, Mme Disul vintin ha pa savan, war chase ar c’had paz aenCueff, Émile & Leibovici piano Ar vatez vihan, Paotred RoskoCueff, Émile & Orchestre Symphonique Direction Bervily, E. Kousk Breizh-Izel, Bro gozh ma zadoĂčFanch, Alan Bro gozh ma zadoĂčGourvil, Fañch Ar pilhaouer, KlemmoĂč gwreg al lonker, War bont an Naoned 2Haas, Armand Anjeluz PaskHaas, Armand & De Villers, Suzanne Ar pilhaouer, Bro gozh ma zadoĂč, HirvoudoĂč, Ma zi bihan, Matilin an Dall QuĂ©rĂ©, Soudard yaouank Kastell-Paol 2, Disul vintin ha pa savan, war chase ar c’had paz aen, Anjeluz PaskHerrieu, Loeiz Kousk Breizh-Izel, Pardon Kelven, Men dous, Sonnen HelenKerys, Mona Kanenn DahudKerys, Mona & MĂ©rer, Lucien Kousk Breizh-Izel, Bro gozh ma zadoĂč, Dalc’h soñj, o Breizh-Izel, Me zo ganet e-kreiz ar morLe Nestour, NoĂ«l & Mlle Dodon Ma zi plouzMilbeo, Stanislas Bro gozh ma zadoĂč, Petra hoc’h eus kavet, Yannig?Moal, Francis Diwallit, diwallit, merc’hed, Hiraet o deus ho lostennoĂč, Va dousig koant 1 Francis Moal, O Breizh-Izel, o kaera bro !, Ar butun-friMoal, Francis & Deprince Roit deomp labourMoal, Francis & Sellers, Georges Ar plac’h diaes da gontantiñ, War vordig an dour [Francis Moal], Perag e choman paotr yaouank F. Moal, Gwir Vretoned 1, Son an teodoĂč fall, Son ar pinard »Moal, Francis & Stephan, François Na zimezit ket d’an arc’hant, An doryphora !Monjarret, ZaĂŻg & Pondaven, GĂ©rard Kousk Breizh-Izel, Bro gozh ma zadoĂč, Ar baradoz, Tuchant Ă© arriĂčo an hañv, Kendalc’homp !, An teir seizen, Spered an tan, Lavaromp ar chapeled stouet war an douar, Flod GwaienNoĂ«l, Freddy Gwin ar C’hallaoued, Ar voraerienPronost, Éliane & Pondaven, GĂ©rard Kenavo deoc’h, gwir Vretoned, BleunioĂč o tremen, Pebezh trouz zo war an douar gouel NedelegSerres, Marthe de l’opĂ©ra comique Ar pilhaouer, [Les gars de LocminĂ©]Stephan, François C’hoant he doa mont da Bariz, Diwallit Paotred ! HX5mdxL.
  • k8xd3coygj.pages.dev/801
  • k8xd3coygj.pages.dev/548
  • k8xd3coygj.pages.dev/690
  • k8xd3coygj.pages.dev/906
  • k8xd3coygj.pages.dev/358
  • k8xd3coygj.pages.dev/240
  • k8xd3coygj.pages.dev/174
  • k8xd3coygj.pages.dev/550
  • k8xd3coygj.pages.dev/487
  • k8xd3coygj.pages.dev/8
  • k8xd3coygj.pages.dev/103
  • k8xd3coygj.pages.dev/565
  • k8xd3coygj.pages.dev/185
  • k8xd3coygj.pages.dev/828
  • k8xd3coygj.pages.dev/261
  • bro gozh ma zadoĂč traduction breton français